Société

Le « Princia II », ce boutre qui a transporté clandestinement 130 passagers, chiffres officiels, a sombré au large de Soanierana-Ivongo, vers 9h lundi matin dernier. Un bilan établi hier vers 8h du matin fait état de 24 morts dont deux nourrissons, tandis que 50 autres passagers ont pu être sauvés. Mais dans l’après-midi d’hier, ce bilan a malheureusement augmenté avec la découverte de 13 autres corps. Le capitaine qui serait à la fois l’armateur fait partie de la liste des survivants. D’ailleurs, des bruits circulent qu’il a été repéré en train d’arpenter tranquillement les rues à Soanierana-Ivongo.L’opération en vue…
Un grand ouf de soulagement pour les chrétiens car ils pourront célébrer la naissance du Christ dans les églises, malgré quelques restrictions. En effet, à cause de la propagation de la pandémie de Covid- 19 dans le pays, il a été annoncé que le rassemblement de plus de 100 personnes est désormais interdit. En conséquence, les églises se sont organisées pour bien accueillir Noël, plus précisément, durant la nuit du 24 et 30 décembre.« Nous avons programmé quelques changements pour la veillée de Noël et le réveillon. On a divisé nos fidèles en deux groupes ainsi que les enfants qui…
Des épines dorsales dans le développement de Madagascar. L'Organisation internationale du travail (OIT) renforce son soutien aux secteurs de la digitalisation et de l'économie bleue. Le premier secteur permet de changer la nature des professions et des offres. D'ailleurs, améliorer les compétences digitales permet de booster la création d'emplois. Hier, ledit Organisme onusien tripartite a remis des matériels informatiques au ministère de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle (METFP), afin de contribuer à la digitalisation dudit département.
Les réseaux sociaux représentent actuellement une plateforme de partage la plus prisée par la population malagasy. En plus de la création des relations entre les membres, les médias sociaux permettent également de partager ou de publier divers contenus. Ces derniers mois, l’aspect de diffusion immédiate et rapide des informations a été très bénéfique pour les usagers, notamment en cas de dénonciation des injustices, une pratique qui est de plus en plus répandue sur les réseaux sociaux.
Depuis hier, des nouveaux tarifs sont appliqués au niveau de la gare routière Maki, sise à Andohatapenaka. Pour relier Mahajanga, les frais de transport coûtent désormais 40 000 ariary contre 30 000 ariary auparavant, tandis que le ticket pour Toamasina vaut 25 000 à 30 000 ariary. Il s'agit de tarifs « standard » de basse saison, selon les transporteurs. D'après Fidy Ranaivosoa, directeur adjoint de la gare Maki, cette décision a été prise à l'issue d'une rencontre entre présidents de coopérative. Une réunion qui s'est tenue le 18 décembre dernier. Cette hausse des tarifs concerne non seulement ces deux…
Il a fallu attendre presque un mois, et ce, après l'arrivée de la cargaison de vaccin Pfizer à deux injections pour pouvoir en profiter. Le ministère de la Santé publique a annoncé, hier, le début de l'administration des 398 970 doses du vaccin Pfizer à Antananarivo-ville et dans les Districts Atsimondrano et Avaradrano. Particulièrement pour la Commune urbaine d'Antananarivo, l'inoculation du vaccin va se faire auprès des vaccinodromes installés à l'HJRA, Hôpital Befelatanana, stade Barea Mahamasina, Théâtre de verdure Analamahitsy, Site de vaccination des Nations unies Andraharo et dans le campus universitaire Ankatso.
Sur son compte Twitter du 14 décembre dernier, la Fondation Mérieux a affirmé avoir détecté la présence du variant Delta sur le territoire malagasy à travers le Centre d’infectiologie Charles Mérieux (CICM) sis à Ankatso. « A Madagascar, le CICM entame le criblage des variants SARS-COV-2 par rt-PCR ciblé. Alors que dans le pays, le nombre de nouveaux cas de Covid-19 repart à la hausse, le variant Delta est détecté par ce criblage ». Déjà en plein rebondissement de l’épidémie, cette nouvelle information sous-entendant l’existence d’une nouvelle souche a vite circulé sur les réseaux sociaux et a même créé une…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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