Société

Une mère de famille de 30 ans a été interpellée par la Brigade criminelle pour le meurtre de ses filles de 7 et de 10 ans au cours du week-end dernier. Son arrestation s’est produite à sa sortie même de l’hôpital HJRA, hier. Après avoir été soumise à une enquête de la Police, la concernée fut déférée au Parquet, puis finalement placée sous mandat de dépôt à la prison d’Antanimora en début de soirée, hier. Parallèlement à cela, les victimes ont été inhumées le même jour. Toutefois, aucun autre complément d’information n’a été divulgué là-dessus, du moins du côté de…
Innommable ! C’est ce qu’on peut qualifier du geste d’une mère de famille d’une trentaine d’années. Les faits se sont déroulés la nuit du vendredi dernier dans le quartier d’Ankasina aux 67ha. Le lendemain, sur le lit d’une chambre d’hôtel de ce quartier, les corps sans vie de deux fillettes de 9 et de 12 ans entouraient encore celui de leur maman, qui était dans le coma lorsque les secours sont intervenus pour les sauver. D’après une information, les petites mouraient à la suite d’un empoisonnement, probablement avec de l’insecticide. A l’index : leur propre maman.
Deux jours d’activités pour la préservation de l’environnement. Dans le cadre de la 11ème édition du projet « Tagnamaro », initié par le ministère de la Communication et de la Culture (MCC), des centaines de collaborateurs issus de différents services de ladite entité se sont mobilisés ces deux derniers jours. Le premier projet « Tagnamaro » de cette nouvelle année 2020 est marqué par un reboisement, l’événement qui coïncide avec le lancement national des opérations dans le cadre du reboisement 2020. Samedi dernier, plus de 500 personnes issues du ministère de la Communication et de Culture, venant d’Antananarivo, se sont…
Parmi les 8 500 nouveaux recrus au titre de l’année 2019. Plus de 500 enseignants recrutés en tant que fonctionnaires viennent de recevoir officiellement leurs contrats de travail, samedi dernier à Mahamasina. Il s’agit de la seconde vague, après la première composée de 700 enseignants dont les contrats de travail leur ont été remis la fin de l’année dernière. La plupart d’entre ces nouveaux recrus sont des sortants du Centre régional de l’institut national de formation pédagogique (CRINFP) Analamanga et de l’Ecole normale supérieure (ENS).
Le secteur privé en phase avec le projet gouvernemental. Le groupe Sodiat a marqué sa présence durant le lancement de cette campagne à Firarazana. Le Président directeur général, Mamy Ravatomanga, a d'ailleurs témoigné son enthousiasme pour ce reboisement. Outre le fait qu'il a mis en terre les pépinières, le PDG a mobilisé 150 employés pour participer activement à la cause. « Je suis tellement heureuse de participer à ce reboisement. Vu les enjeux climatiques auxquels nous faisons face actuellement, il est grand temps de penser à l'avenir de la génération future.
Chaque élève ayant rempli les critères requis pourra passer l’examen officiel du CEPE, BEPC ou Baccalauréat. Pourtant, des écoles privées à Antananarivo et dans les autres régions bafouent ce droit, si l’on tient compte des plaintes reçues auprès du ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et professionnel (MENETP) ainsi que par l’Office national de l’Enseignement privé (ONEP). « Certains établissements imposent d’autres critères à leurs élèves inscrits aux examens officiels. Ceux qui obtiennent une moyenne inférieure à 10/20 sont écartés à toute participation. Il en est de même pour ceux dont les parents n’ont pas pu régler à temps…
Demande de démission du ministre Blanche Nirina Richard !Tel est l’un des messages que l’on peut lire affichés sur des banderoles à l’esplanade de l’Université d’Antananarivo dans le cadre de la grève du Syndicat des enseignants- chercheurs et des chercheurs-enseignants (SECES) ces derniers jours. Au final, c’est la principale revendication que l’on retient de cette longue période de grève. Un message, à forte connotation politique, qui n’étonne pas une grande partie de l’opinion publique. En effet, beaucoup soupçonnaient déjà que les revendications avaient une autre finalité que celle de la question du paiement des indemnités, des heures supplémentaires et autres.…

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Editorial

  • Nécessité impérieuse
    L’Assemblée nationale vote la Loi de finances 2026. Après moult débats souvent houleux assortis de 24 amendements, les députés ont finalement adopté le Projet de la LFI – 2026 dans la journée du mardi 25 novembre 2025. C’est la première fois dans les annales des travées de l’Hémicycle de Tsimbazaza que de vifs débats agitaient les réunions en commission, en séance plénière des représentants du peuple. L’adoption du Projet de la LFI 2026 suscitait des intérêts particuliers des parlementaires. Le ministre de l’Economie et des Finances, le grand argentier de la République, Dr Herinjatovo Ramiarison, devait signaler une note positive et encourageante face à ce regain d’intérêt et d’attention que nos élus éprouvent à l’endroit des Finances de l’Etat, le « nerf de la guerre ». Pour la première fois dans l’histoire des législatures du pays que les députés ont bien voulu prendre conscience des responsabilités qui pèsent sur leurs…

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