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Des zones d’ombre à éclaircir. Une semaine après la « mort suspecte » de « Tahisy » et de son bébé, des rebondissements de l’affaire sont dévoilés. Dernièrement, la mère de la défunte a fait des excuses publiques lors d’une interview exclusive sur une chaîne télévisée privée de la Capitale. Ceci suite à son audition auprès de la Police nationale, en charge de l’affaire. Elle fait partie des parties concernées qui ont été enquêtées par la Police, non seulement venant de la famille de la défunte et sa meilleure amie mais aussi de celle de son concubin, dénommé « Fana ». Selon une source policière, l’enquête menée depuis la semaine dernière avance au point où des premiers résultats sont attendus prochainement.

Pour revenir aux révélations de la mère de la victime, elle a reconnu avoir menti lors de la première interview chez la belle- mère de la défunte car elle était sous pression. Elle n’a pas manqué d’avouer la vérité, sur le fait qu’elle était au courant des maltraitances de sa fille. Celle-ci  s’en est plainte à plusieurs reprises, mais a quand même préféré rester chez sa belle- famille. Quant à son accouchement, une sage- femme aurait pratiqué un curetage alors que le bébé était né prématurément, ce qui aurait conduit à sa mort et celle de sa mère. Toutefois, elle n’a pas osé dire la vérité à cause des menaces et intimidations de la part de la famille de « Fana ». Cette dernière aurait avancé que sa fille a fait un détournement de mineur puisque son concubin est âgé de 17 ans.

Pour sa part, un oncle de la victime a fait d’autres révélations concernant les circonstances du décès de la jeune femme. « Tahisy est morte dans l’après-midi du 10 février chez sa belle famille. Aucun passage chez la morgue ni autopsie ni des enquêtes auprès du BMH n’a été fait puisque la famille de « Fana » a exigé que le corps soit transporté chez la famille de la défunte à Androndra. Toutefois, la belle famille a récupéré le corps le lendemain matin et l’a enterré dans son tombeau familial à Ambatobe », a-t-il dévoilé. « Quelques jours plus tard, la belle famille de ma nièce a emmené les parents de Tahisy chez elle pour une interview avec des journalistes d’une chaîne télévision, sans que les autres membres de la famille en soient au courant. Le père était inconscient et endormi dans une chambre d’à côté pendant que la mère a été interviewée aux côtés du concubin et de sa maman », ajoute l’oncle. Dans tous les cas, la famille de la victime se fie désormais aux résultats de l’enquête de la Police, suite à la sollicitation de la Première Dame. D’ailleurs, elle préfère ne pas porter plainte d’autant plus que les internautes et habitants suivent de près cette affaire…
La Rédaction

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La une du 19 février 2020

Depuis qu’une nouvelle, se rapportant sur l’arrestation supposée de l’auteur présumé  du meurtre d’une femme enceinte de 7 mois, a été propagée sur Facebook, la ville d’Ambilobe est en ébullition. Notons que la victime a commencé à ne plus donner aucun signe de vie depuis le 3 février dernier avant que son cadavre atrocement mutilé ne soit retrouvé récemment. Or, une vérification faite ultérieurement  auprès de différentes sources, dont celles de la Gendarmerie, a confirmé que ladite arrestation n’était qu’une rumeur. Et que sur le terrain, une atmosphère de rébellion régnait. Elle  a provoqué une colère sans précédent chez la population de Mantaly, District d’Ambilobe, localité où les faits s’étaient déroulés.

 

Principale source de revenu pour 90% des habitants dans le District d’Amboasary Atsimo. Ces derniers vivent de l’exploitation du sisal en tant que salariés d’un groupe implanté dans la Région Anosy, composé de 4 sociétés dirigées par des étrangers. Toutefois, les patrons et les employés sont en conflit depuis des années. « Les employeurs ne respectent pas nos droits fondamentaux. Outre le non-paiement régulier et à temps de nos salaires, ils n’hésitent pas à couper nos indemnités. Pourtant, nous travaillons très dur pour un maximum de production », se plaint le porte-parole des employés.

La dépression tropicale Francisco a déjà péri en mer, tandis que les pluies qui l'ont accompagnée ont laissé des traces dans la partie Est de Madagascar. A Mahanoro, dans la Région d'Atsinanana, plus de 400 personnes sur les 1 171 sinistrés ont dû quitter leurs foyers pour se refugier dans des sites d'hébergement. Actuellement, tout le District est sous l'eau autant que les champs de culture. Outre le problème d'approvisionnement en nourriture, ces gens sinistrés sont également confrontés au phénomène d'insécurité.

 

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Actes concrets et résultats palpables !

Le Gouvernement Ntsay II du régime IEM démarre. Les anciens ministres reconduits se débrouillent tant bien que mal. Tandis que les nouveaux venus s'activent avec peine. Fraîchement débarqués et trop occupés à former leur staff et l'organigramme respectif, les nouveaux casés cherchent difficilement à se frayer le chemin. En ce début de la deuxième année du mandat du Président Rajoelina, le pays traîne encore les « pattes ». Le décollage tant attendu se fait quelque peu désirer. Le Chef de l'Etat lui-même reconnait que certains membres du Gouvernement ne parviennent pas à atteindre la vitesse exigée.

 

 Trop de plomb. Tel a été le constat des Réunionnais en septembre dernier concernant les marmites malagasy. Ces produits fabriqués par nos artisans ont été par la suite retirés de leur marché. Face à cette situation, la Direction générale de l’artisanat a pris une mesure concernant les exportations. Désormais, toutes les marmites malagasy sont soumises à une vérification auprès du Bureau des normes à Madagascar (BNM) avant de sortir du territoire. « Le ministère a validé le 31 octobre la norme NMG-602-1, relative aux limites maximales admissibles d’émission de métaux lourds dans les ustensiles de cuisines ou alliages d’aluminium.

Février, le mois de l’amour. La société « Baolai » ne manque pas de fêter comme il se doit ce 2ème mois de l’année 2020. « A la demande générale, les prix cassés sur nos Smart Tv et téléviseurs Led continuent jusqu’au 29 février prochain. Ils sont disponibles entre 19 et 75 pouces, tous garantis 1 an, dans la limite des stocks disponibles. Par exemple, la Smart TV Changhong 49" est à 1 050 000 ariary jusqu’ à la fin de ce mois. En bonus, il y a un nouvel arrivage de panneaux solaires mono et polycristallins et de convertisseurs.

Dans le temps ! L'avancée des travaux de réhabilitation du stade de Mahamasina ne connaîtra aucun défaut de calendrier, d'après les techniciens, contrairement aux rumeurs véhiculées par les détracteurs du régime. A l'instar du Rovan'Antananarivo, la rénovation de ce stade emblématique de la Capitale, qui portera désormais l'appellation de stade « Barea », s'inscrit parmi les « Velirano » du Président Andry Rajoelina pour la promotion du sport. Au cours d'une descente sur les lieux, le Chef de l'Etat lui - même a pu constater l'évolution de ce grand chantier entamé au mois de janvier dernier.

 

L’autoproclamé ambassadeur, Ny Rado Rafalimanana, fera face au juge d’instruction du tribunal d’Anosy aujourd’hui. Hier, il a été notifié par la Gendarmerie au Toby Ratsimandrava de l’existence de cette affaire d’abus de confiance qui lui a valu un mandat d’amener devant le juge. L’existence de ce document judiciaire signifie que cet opérateur basé à Dubaï, et qui vient d’être frappé d’une Interdiction de sortie du territoire national, est recherché par le Tribunal qui a sollicité l’aide des Forces de l’ordre pour que l’individu soit présenté aux autorités judiciaires. Ny Rado Rafalimanana s’est présenté dans la matinée d’hier à Andrefan’Ambohijanahary d’où il a été emmené au Tribunal qui, de son côté, lui a fixé un rendez-vous ce jour.

 

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Editorial

  • Ouragan
    Entre le Népal et la France, en passant par Israël / Gaza, des rafales de vents violents de la taille des ouragans pouvant atteindre une vitesse de destruction jusqu’à 200 km/h rasent tout sur leur passage. Au Népal, la population, estimée à 30 millions d’habitants, n’en pouvait plus. L’économie népalaise, essentiellement ancrée dans le monde agricole, se sent à l’étroit. Elle dépend globalement de la diaspora travaillant en Inde ou ailleurs pour une main-d’œuvre fragile et vulnérable. Parmi les pays les plus pauvres d’Asie, le Népal ne dispose pas des perspectives d’avenir notamment pour les jeunes. La jeunesse népalaise, lasse de subir les défaillances du système politique et économique corrompu du pays et largement dominé par les voisins géants, l’Inde et la Chine, bravait les restrictions imposées par le Gouvernement. Le vase débordait lorsque les dirigeants népalais ont bloqué les connexions des réseaux sociaux dont entre autres les 26 d’entre…

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