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Outre les lampions et accessoires lumineux, le marché de drapeaux fleurit depuis le week-end dernier. « Contrairement à l’année dernière, bon nombre de ménages ont commencé à lever le drapeau chez eux depuis le début de ce mois de juin. La plupart d’entre eux en ont acheté récemment. D’autres sortent du placard leur drapeau de l’année dernière », constate Désiré R., chef secteur dans le Fokontany d’Ankaditoho-Marohoho. José Rakotondriana, parmi les marchands de drapeaux en centre-ville, confirme ce fait. « Ces marchandises trouvent preneurs. J’arrive à en écouler une vingtaine par jour, que ce soient des petits, moyens ou grands modèles. Les acheteurs se composent non seulement de simples citoyens mais aussi de responsables d’établissement, associations, ONG et autres », avance le détaillant.
José collabore avec une couturière et grossiste à Isotry pour vendre en détail les drapeaux. « En partant de chez moi à Talatamaty vers 6 h du matin, je récupère d’abord les marchandises auprès de la grossiste avant de les vendre à Analakely. Je rentre chez moi vers 18 h, en encaissant 15.000 à 20.000 ariary d’intérêt par jour », nous confie l’homme âgé d’une vingtaine d’années. Un drapeau petit modèle se vend entre 3.000 et 4.000 ariary du côté d’Analakely. Le drapeau moyen est proposé entre 7.000 et 8.000 ariary, tandis que le grand modèle s’acquiert à partir de 15.000 ariary.

Des dimensions à respecter

« Tout dépend de l’endroit où le drapeau va être hissé ». Une responsable au sein du Comité technique national d’organisation de la célébration de la Fête nationale le précise, questionnée sur les différentes dimensions du drapeau. « Pour une maison basse, la dimension d’un drapeau étant de 30 cm x 45 cm, contre 75 cm x 90 cm pour une maison à un étage. Pour un immeuble ou bâtiment à plus de 2 étages, la dimension étant de 90 cm x 135 cm », illustre notre interlocutrice. Les couturiers devraient connaître ces mesures avant de concevoir un drapeau. Il en est de même pour les 3 couleurs composant le drapeau, à savoir le blanc, le rouge et le vert. Ces couleurs représentent respectivement l’innocence, le sacrifice et l’espérance. Les bandes horizontales évoquent l’idée d’un avenir radieux pour les Malagasy, tandis que la bande verte symbolise les richesses naturelles de la Grande île.
Le drapeau symbolise l’identité et l’unité nationale. Il s’agit d’un emblème important pour les Malagasy, tant au niveau national qu’international. Le hisser haut sur les toits et sur tous les bâtiments et espaces publics marque la souveraineté et la fierté. « Le refus de brandir le drapeau national parce que l’on s’oppose aux dirigeants actuels est tout simplement insensé », avance Felantsoa R., secrétaire médicale. Pour leur part, les divers responsables depuis les Fokontany enchaînent les sensibilisations depuis quelques jours afin de conscientiser les habitants sur l’importance de hisser le drapeau en ce mois de l’Indépendance...
Recueillis par P.R.


Coup de théâtre au moment de l'embarquement du passager d'un vol d'Ethiopian Airlines à l'aéroport d'Ivato, mercredi dernier . L'individu en cause, qui est de nationalité malagasy mais dont l'identité n'a été révélée, avait transporté clandestinement des devises étrangères, soit 108 200 euros dans ses bagages et fut arrêté pour cela par les agents de la douane, spécialement de la brigade canine. Le chien renifleur a décelé la présence des devises dissimulées dans les affaires du passager. Du coup, le voyage de celui-ci à destination de Guangzhou en Chine via le vol ET 852 avec ses euros s'est rapidement abrogé avant même qu'il n'ait pu atteindre le tarmac. "Actuellement encore (Ndlr, hier), le suspect est soumis à un interrogatoire et aura à répondre de l'infraction dont on l'incrimine auprès de la douane.
Une infraction car transporter 1000 euros ne pose aucun problème pour toute personne se rendant à l'étranger, étant son droit. "Entre 1000 et 10 000 euros, il lui faudra se munir d'une attestation de change. Au-delà de 10 000, cela est impossible et considéré comme une infraction au même titre que les exportations illégales des richesses nationales avec la poursuite y afférente", explique une source au niveau de la douane.
D'après toujours les informations, la douane aurait confisqué le surplus d'euros sur le passager, soit 107200 euros tandis qu'on lui a restitué les 1000 euros.
Enfin, cette affaire a montré que les chiens renifleurs sont d'une aide précieuse pour les douaniers de ladite brigade pour contrôler et surtout recéler la présence de toute marchandise suspecte qu'un passager tente de transiter illicitement à l'extérieur, ou à l'inverse faire entrer au pays. Le rôle de ces chiens, lors de ces contrôles de bagages des passagers, consiste justement à retrouver les traces d'animaux endémiques comme les reptiles, les drogues, enfin surtout les devises étrangères.


F.R.

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Agenda du week-end

Vendredi 7 juin
Rija Ramanantoanina
Le crooner Rija Ramanantoanina annonce un nouveau rendez-vous  musical. Il sera attendu ce soir pour faire vibrer le jardin de Masha, By Pass. En effet, après avoir offert un spectacle au Noor Tower Ambohitrarahaba, célébré son 59ème anniversaire au mois dernier sur la scène du Pavé Antaninarenina, ou encore enflammé le public de Toamasina le week-end dernier, le crooner poursuit ses apparitions scéniques en proposant ce soir à partir de 20h un show baptisé « Takariva an-jaridaina ». Encore une fois, avec son charme, sa voix ainsi que ses compositions romantiques, ce célèbre chanteur séduira à nouveau ses inconditionnels. Certes, son spectacle s’annonce toujours prometteur de joie et d’allégresse. Et comme à l’accoutumée, Rija Ramanantoanina égayera encore plus le public avec cette aura de générosité qui lui est propre.
Farakely
De quoi passer un bon moment avec de la musique acoustique. Ce soir, la chanteuse à la voix douce et pétillante Farakely sera de nouveau sous le feu des projecteurs. Cette fois-ci, elle va occuper la scène située au restaurant Pitou, Behoririka, à la grande satisfaction de ses fans. Avec ses deux albums « Tafaray isika roa » et « Nofiko », la chanteuse a réussi son pari et s’est imposée dans le paysage musical malagasy. Aujourd’hui, elle s’est fait un nom et a déjà partagé la scène avec de nombreuses stars de la Grande île. Avec le temps et ses expériences scéniques, Farakely est une artiste à part entière qui n’a rien à envier à ses pairs. Les premières notes de musique résonneront vers 20h.
Iraimbilanja
Après avoir enflammé la salle du vieux carré Behoririka à la fin du mois de mai dernier, les papys du rock ne veulent pas prendre une pause. Effectivement, le groupe Iraimbilanja est de retour avec plus de ferveur et opte pour cette fois-ci un concert dans l’une des salles les plus populaires de la Capitale. Ainsi, Batata et ses complices ont choisi de faire une descente dans l’antre du PK0 Antanimena, ce soir à partir de 21h. Comme au bon vieux temps, les membres du groupe vont une nouvelle fois démontrer qu’ils n’ont rien perdu de leur énergie et de leurs talents. Toujours en jouant de la musique rock, Iraimbilanja sait toujours bercer son public avec ses titres, et ce après plus de 40 ans de carrière. Les spectateurs aiment toujours entendre les tubes comme « Tao an- tsekoly », « Mosoara » ou « Tsy ho ahy ianao » à chaque concert offert par le groupe.
« Ciném’Alliance »
« Ciném’Alliance », un évènement culturel consacré aux jeunes, se tient une fois par mois à l’Alliance française de Tananarive (AFT), située à Andavamamba. Cet évènement permet aux spectateurs de profiter de l’expérience inégalable du grand écran, que ce soit en famille, entre amis ou en solo. Cette fois-ci, la séance débutera à partir de 14h. Au programme : un film français à suspens, intitulé « Seuls », dédié aux jeunes mais aussi à (re)découvrir en famille. Avec cette affiche, les plus jeunes ne risquent pas de s’ennuyer, en entamant déjà le week-end avec une demi-journée passée devant le grand écran. L’entrée est libre, mais il faudra s’inscrire au préalable pour pouvoir visionner le film.
Jaojoby
Il a chauffé cette même scène le week-end dernier. Ce soir, il remet déjà le couvert et promet une soirée 100 % « salegy », au plus grand plaisir de ses fans. Ce vendredi, la salle de cabaret Jao’s Pub accueillera de nouveau son propre prioritaire. Jaojoby, déjà considéré comme un artiste de renommée international, enflammera les noctambules de la Capitale, en particulier ceux qui résident aux alentours du quartier populaire d’Ambohipo. Avec son statut de grand artiste, Jaojoby fait toujours plaisir au public en quête d’une ambiance tropicale, surtout avec ce froid hivernal qui persiste. Bref, le quartier populaire d’Ambohipo abritera aujourd’hui l’une des meilleures soirées du week-end. Le show débutera à 21h.
Samedi 8 juin
Solo Andrianasolo
Le chanteur Solo Andrianasolo propose une soirée de jazz pour chauffer la scène du Fara West, Faravohitra. Le spectacle se tiendra demain soir à partir de 20h. Encore une fois, avec son charme, sa voix ainsi que ses compositions romantiques, ce jazzman séduira ses inconditionnels à l’occasion de ce rendez-vous intime. Il démontrera encore une fois à ses aficionados qu’il ne suffit pas d’avoir une belle voix. Cependant, la maîtrise de celle-ci est tout de même très importante dans ce domaine artistique. Mais Solo, c’est surtout aussi un doigté d’or quand il s’amuse avec les cordes d’une guitare. Il est le seul à pouvoir colorer ses fameux airs comme « Fanekem-pinoana », ou encore l’inusable « Hasambarana » grâce à ses touches personnelles de guitare.
Si.R



Ce sera le grand jour pour Madagascar qui va défier les Cœlacanthes des Comores ce jour pour le compte de la 3e journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026.

Le sélectionneur malagasy est sur sa garde et conscient de la situation que ses Barea ne sont pas du tout les favoris de cette rencontre. Il a expliqué ses choix et les attentes pour ces confrontations de derby de l'océan Indien.

L’objectif de Romuald Rakotondrabe est d’arracher au moins les trois points de victoire à l’issue de ces doubles confrontations.

Il a une attention particulière pour le derby de l’océan Indien. « Pour moi, il n’y a qu’un seul match, le premier, celui contre les Comores », a-t-il déclaré.

Rappelons que les Comores n’ont jamais réussi à battre Madagascar jusqu’à présent. Leur dernier affrontement, entre équipes « A », remonte à novembre 2017 lors d’un match amical qui s’était conclu sur un match nul (1-1).

« On a les joueurs pour faire un bon match »

Bien que les Barea connaissent actuellement une période difficile, ils demeurent des adversaires sérieux pour les favoris de cette rencontre, les Cœlacanthes, qui assument leur statut, mais s’en méfient également.

« Je les ai vus jouer, on les a analysés », a déclaré Cusin, sélectionneur des Comores. « C’est une équipe qui est très forte au milieu de terrain et devant, une équipe qui ne méritait pas de perdre contre le Ghana (1-0 en novembre 2023, ndlr). » C’est une équipe qui peut vous mettre en danger à n’importe quel moment parce qu’ils ont de bons joueurs et ils ont aussi la mentalité. Ce sont des accrocheurs, des bagarreurs. C’est une équipe qui est difficile à jouer et aussi expérimentée, donc c’est sûr que ça va être un match difficile, c’est normal ».

Les Cœlacanthes, sur une bonne dynamique, ont aussi des arguments à faire valoir en termes de jeu et d’intensité. « Nous aussi, on est des bagarreurs, on a la qualité, on est des accrocheurs, et je pense qu’on a les joueurs pour faire un bon match, » a-t-il insisté. « J’ai une idée de comment aborder le match, on en parlera avec les joueurs», a-t-il déclaré lors d’une interview sur Comores football.

En réplique pour coach Rôro, le statut de favori s’arrête au premier coup de sifflet. Après le coup d’envoi, aucune équipe n’est favorite.

Recueillis par E.F.






Stratégie. Le ministère du Tourisme et de l'Artisanat de Madagascar a récemment lancé une initiative pour valoriser les richesses touristiques du pays et à cette fin, a fait appel à Adrien Raza, influenceur franco-malagasy et champion européen de skimboard. Avec une audience impressionnante de 4 millions de followers sur les réseaux sociaux, Adrien Raza est en mission pour mettre en lumière les trésors cachés de Madagascar, et ce, en commençant par la Région d'Ampefy. Ainsi, cette localité sera la première étape de ce voyage promotionnel. Connu pour ses paysages pittoresques et ses lacs volcaniques, ce site offre un cadre idéal pour diverses activités touristiques. Adrien Raza, en explorateur moderne, est chargé d'identifier les lieux propices à la pratique du skimboard. Ses aventures et découvertes seront partagées en temps réel sur ses plateformes sociales, offrant à ses millions de fans un aperçu unique de cette Région. Au-delà du skimboard, Adrien mettra également en avant les nombreuses autres activités qu'Ampefy propose, comme les randonnées, les visites de cascade et les explorations de grotte. Après son séjour à Ampefy, Adrien Raza prendra la direction de Morondava.
Audiences européennes
Le passage de l'influenceur dans la Région du Menabe vise à attirer l'attention sur ses attraits touristiques et à montrer les opportunités de skimboard dans des environnements diversifiés, de l'océan aux rivières locales. Cette initiative s'inscrit dans le cadre d'une stratégie plus large du ministère du Tourisme et de l'Artisanat pour développer le marketing d'influence et explorer de nouveaux marchés de niche. En s'associant avec Adrien Raza, le ministère espère non seulement promouvoir les sports nautiques émergents comme le skimboard, mais aussi attirer une audience internationale diversifiée. Le succès de cette campagne repose également sur le soutien de nombreux partenaires et acteurs touristiques locaux. Ensemble, ils collaborent pour offrir à Adrien Raza et à son audience une expérience authentique et mémorable de Madagascar. Des hébergements locaux aux guides touristiques en passant par les opérateurs d'activités, tous sont mobilisés pour garantir la réussite de cette initiative. Le choix d'Adrien Raza comme ambassadeur touristique est stratégique. Sa double culture franco-malagasy lui permet de connecter facilement avec les audiences européennes et locales, tout en partageant son amour et sa passion pour Madagascar. En documentant son voyage et ses découvertes, il offre une vitrine notable au potentiel touristique du pays, suscitant l'intérêt et l'envie chez ses nombreux followers de découvrir à leur tour les merveilles de Madagascar.
Hary Rakoto




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La Une du 06/06/24

Drame au sein d'une famille domiciliée à Marintsoa, un quartier de la ville d'Antalaha, en début d'après-midi le 4 juin dernier. Trois membres de ladite famille ont trouvé la mort après qu'ils ont consommé du poisson, en particulier les branchies, selon une source de la Gendarmerie. Il s'agit de la maîtresse de maison de 26 ans répondant au nom de Roselle, de sa fille de 8 ans prénommée Francia, enfin du dernier-né de la famille, Kokony qui n'avait que 6 ans.

Diminuer à 50% le nombre des accidents de la circulation dans le pays, d’ici 2030. Ces dernières années, le nombre des accidents de la circulation sur les routes nationales, régionales et notamment dans la Capitale ne cesse d'augmenter. La majorité de ces accidents ont engendré des pertes en vie humaine. Cette situation est due à l’imprudence des automobilistes, les cyclistes ainsi que les conducteurs de deux-roues. Viennent ensuite, le non- respect du code de la route, l’intolérance côté conducteur et des piétons. Enfin, la défaillance mécanique.

« A Madagascar, bien que nous ne disposions pas encore de zones désertiques, 13 Régions sont néanmoins touchées par le phénomène de désertification ». Max Fontaine Andonirina, ministre de l’Environnement et du Développement durable, l’a informé hier. Il s’agit des Régions d’Androy, Atsimo-Andrefana, Melaky, Menabe, Ihorombe, Amoron’i Mania, Bongolava, Matsiatra ambony, Vakinankaratra, Boeny, Betsiboka, Anosy et Atsimo Atsinanana. Ce phénomène se manifeste par la perte du potentiel biologique et productif des sols. La désertification touche 52% des terres agricoles dans le monde. Madagascar n’en est pas épargné, alors que 80% de la population vivent de l’agriculture.

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Mois des réjouissances

Si le mois de mai est perçu traditionnellement comme « joli mois », dans la culture sous d’autres cieux, française notamment, le mois de juin est celui des fêtes, entre autres la « fête de la musique », à l’international,  « fête de l’indépendance », à Madagasikara. Bref, le mois des réjouissances ! Mais aussi, soit dit en passant internationalement, c’est le « mois de l’eau » et le « mois de la langue maternelle ».

Une tradition reconnue et fêtée dans plusieurs pays dont la Grande île, le mois de juin est conçu comme le « mois de la musique ». L’Institut français de Madagasikara (IFM), anciennement Centre culturel Albert camus (CCAC) organise, entrées gratuites, chaque année, au mois de juin des manifestations culturelles, genre Jazz ou des variétés musicales, auxquelles des jeunes talents locaux avec des virtuoses venus d’ailleurs présentent des numéros émerveillant le public, en grande partie composé de jeunes.

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Editorial

  • Soixante jours !
    Les deux semaines qui ont vu la présentation des membres du nouveau Gouvernement, sous la houlette du Premier ministre, chef du Gouvernement Herintsalama Andriamasy Rajaonarivelo, arrivent bientôt à leur fin. Onze jours se sont écoulés, il reste quarante neuf jours des soixante jours, temps imparti dicté par le président de la Refondation, colonel Michaël Randrianirina, lors de son discours d’installation dudit Gouvernement le 28 octobre 2025 au palais d’Etat d’Iavoloha. En effet, le Chef de l’Etat Randrianirina a donné, d’un ton ferme, soixante jours francs aux nouveaux membres du Gouvernement de faire leurs preuves, de quels bois ils brûlent, selon une certaine expression ! Le Président de la Refondation de la République se démarque du sentier battu en réduisant la « période de grâce » ou « d’essai » à 60 jours au lieu de 100 traditionnellement appliquée. L’origine des « Cent jours » remonte à l’Empire, phase de l’Histoire…

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