Publié dans Sport

CAF - Election présidentielle

Publié le vendredi, 11 septembre 2020

L’Assemblée générale élective (AGE) de la Confédération africaine de football (CAF) se tiendra finalement à Rabat. La date reste inchangée mais l'événement a été délocalisé. Prévue initialement en Mauritanie, l'AGE se tiendra finalement au Maroc. Les prochaines élections de l'instance panafricaine auront lieu à Rabat le 12 mars 2021, au lieu de la Mauritanie. La CAF a annoncé ce jeudi que le dépôt des dossiers de candidature se fera à partir du vendredi 11 septembre 2020. Les prétendants auront jusqu'au 12 novembre pour postuler à l'élection. L'instance dirigeante du football africain dévoilera les noms des candidats le 11 janvier 2021, a-t-elle annoncé sur son site web. C'est l'une des décisions importantes prises ce jeudi, à l'issue de la réunion du comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF).

 

Ahmad n’a pas encore pris sa décision, quant à un éventuel deuxième mandat. Il a maintenu le flou durant la visioconférence de presse de cet après-midi, à la sortie de la session ordinaire de la Confédération africaine de football au Caire, en Egypte.

« On n’a pas encore finalisé toutes les réformes. Il reste encore des réformes statutaires à reprendre. Je remercie le comité exécutif d’avoir validé ce qui a été proposé aujourd’hui. Pour l’instant, je suis en train de finaliser le bilan de ces années de mandat que j’ai exercé en tant que président. Lorsque j’aurais tous les détails de mon bilan en main, je reviendrai vers les groupements d’intérêt qui m’ont sollicité auparavant », a-t-il lancé.

« Une telle position dans un continent n’est pas une ambition personnelle. C’est un engagement sollicité par différents groupes d’intérêt. À ce moment-là, je déciderai. C’est ce qui s’est passé en 2016. Certains peuvent spéculer. Mais j’essaie toujours d’être cohérent et sincère dans ma démarche », a-t-il rajouté.

Élu le 16 mars 2017, le président de la CAF, Ahmad Ahmad, arrive bientôt au terme de son premier mandat. Il avait, pour rappel, battu Issa Hayatou (34 voix contre 20), qui dirigeait l’organisation depuis 1988.

Recueillis par E.F.

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Editorial

  • A quoi bon !
    Des nouveaux membres de la Haute Cour de justice (HCJ) ont prêté serment. Du coup, des observateurs s’interrogent sinon s’exclament « à quoi bon ! » Une remarque quelque peu désobligeante à l’égard d’une prestigieuse et haute institution judiciaire, soit. Mais, la réalité est là. Et elle s’entête. Les précédents membres de la HCJ ont terminé leur mandat respectif sans avoir pu faire valoir leur compétence dictée par la loi et ce à cause d’un blocage à l’Assemblée nationale de la mandature précédente. Rappelons que le manquement à la mise en place de la Haute Cour de justice avait valu à Hery Rajaonarimampianina, Président de la République, au moment des faits, des mesures disciplinaires de la part de la Haute Cour constitutionnelle du fait que le Président Rajaonarimampianina n’a pas respecté le délai de douze mois prescrit par l’article 167 de la Constitution pour la mise en place de la…

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