Ce soir, l’équipe malagasy Barea fera face à celle de la Tunisie, les Aigles de Carthage, en quarts de finale. Un grand événement que le peuple malagasy tout entier attend avec impatience dont le premier sifflet annonçant le coup d’envoi tout comme celui de la fin du match et désignera le vainqueur. Qui continuera l’aventure ?  Les 25 millions de malagasy résidents dans la Grande île et la diaspora espèrent en tout cas que les Barea de Madagascar arrivent à la phase finale de la compétition de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2019. Joie, pleurs et colère seront au programme ce soir et un petit conseil : faites attention à vos émotions ! Effectivement, la CAN n’a pas fait que des heureux, la compétition a causé également du malheur…malheureusement, plusieurs personnes sont mortes  à cause d’émotions fortes dues à la victoire de l’équipe nationale malagasy. Le plus connu est l’ancien député de Madagascar, Harijaona Randriarimalala alias Jaona Elite qui a tiré sa révérence alors qu’il regardait le match à l’Akoor Digue. Victime d’un arrêt cardiaque, l’intervention des médecins n’a pas pu le sauver. Apparemment, d’autres victimes ont également rejoint les firmaments, toujours à l’issue du match qui mettait à l’affiche les Barea et la République Démocratique du Congo.
L’Hypertension
 Des explications peuvent expliquer la liaison entre l’émotion et l’arrêt cardiaque. En effet, la gestion de l’émotion dépend de chaque individu. L’hypertension, une pathologie cardiovasculaire définie par une pression artérielle trop élevée est une maladie psychosomatique. Cela signifie que des facteurs physiques sont impliqués dans son apparition, tout comme des facteurs mentaux. Cela explique que la relation entre et hypertension est possible. L’hypertension se caractérise par une augmentation de la pression qui pousse le sang contre les parois des artères, au-delà des limites considérées comme normales.

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Le Conseil d’Etat a tranché. Le chantier de construction « illicite » à Alarobia appartenant à un actuel député affirmant être très proche du régime actuel doit être fermé.  Pour comprendre l’histoire il faut remonter à la mi-avril dernier. La Police de l’Aménagement du territoire avait constaté une construction illicite à Alarobia, sur un terrain ayant appartenu  au ministère des Travaux publics d’avant. Le rapport de descente établi le 30 avril 2019 mentionne la constatation d’une construction « sans permis de construire dans l’enceinte dudit terrain ». De ce fait, il a été établi l’arrêté 036 – 2019 du 30 avril 2019 portant arrêt des travaux du chantier de la Construction à Alarobia pour cause d’infraction. « La décision d’arrêt de travaux est justifiée la constatation de construction illicite pour défaut de permis de construire. L’obtention du permis de construire a été refusée par la Commune urbaine d’Antananarivo car le terrain n’appartient pas à l’initiateur de la construction. Ledit terrain selon le dernier Certificat de situation juridique émis par les services des Domaines appartient à la Société GOTAM SIC », précise une voix autorisée.  Suite à la non-observation de cet arrêté, le ministère de l’Aménagement du territoire, de l’habitat et des travaux publics a établi un nouvel arrêté, 11 251/2019 du 03 juin 2019, portant fermeture et scellage du chantier la construction à Alarobia, Commune Urbaine, selon les explications.

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« Mais jusqu’où vont-ils s’arrêter ces Barea ? », s’exclamait un commentateur d’une chaîne cryptée quand la sélection nationale malagasy marquait son second but face au Nigeria à la dernière journée des matchs de groupe de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2019. A la suite de cette victoire qui les place en tête du groupe B et les qualifie à la grande surprise générale en huitièmes de finales, les Barea de Madagascar continuaient leur route par un autre succès devant la RD Congo.  Quart de finaliste, l’équipe malagasy figure parmi les huit meilleures de la compétition. La question lancée par le commentateur demeure jusqu’à ce jour sans réponse. Pour leur part, les joueurs malagasy ne se mettent pas de pression et affirment prendre du plaisir à chaque sortie. « On gère chaque match sans se focaliser sur un objectif. On donne toujours le maximum pour nos supporteurs et le peuple malagasy. Le reste c’est du bonus », a déclaré Faneva Ima à l’issue de la rencontre gagnée face à la RD Congo. Des propos épousés par ses coéquipiers et auxquels ses compatriotes adhèrent complétement. Ces derniers, dont la plupart n’ont imaginé un seul instant que leur sélection nationale réalise un si beau parcours, commencent à rêver. « Avec cette formation sensationnelle qui semble trouver son appétit en mangeant, tous les rêves sont désormais permis », lance un quadragénaire qui avoue que la qualification en huitièmes de finale des Barea lui a déjà procuré du bonheur. « Pour un essai, cette étape m’a déjà rendu fier de mon équipe et de ma nation. Aujourd’hui, tous les médias internationaux parlent en bien de Madagascar et traitent autrement les Barea », renchérit un autre. Lui qui souhaite à ce que la bande à Ilaimaharitra Marco continue sa route. Et les derniers sondages des internautes publiés par cette chaîne cryptée, plaçant Madagascar parmi les trois potentiels vainqueurs de la CAN, rendent encore plus fous les malagasy, adeptes ou non du ballon rond. Bien que la Tunisie, l’équipe adverse du jour, soit loin d’être la première venue dans la compétition et en plus truffée de joueurs capés, athlétiques, techniciens et évoluant dans les grands championnats européens, le peuple malagasy n’en a cure.  Lui qui veut vivre et profiter de ce rêve, demande à sa sélection nationale de le prolonger le plus longtemps possible….

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mercredi, 10 juillet 2019

L’âpre bataille

  Le combat se poursuit. Parmi les huit équipes ayant obtenu le ticket pour les huitièmes de finale de la CAN 2019, Barea de Madagascar rencontre en cette fin d’après-midi les Aigles de Carthage de la Tunisie au stade de l’Académie Militaire du Caire. Ce sera sans doute un combat ouvert ou une bataille rangée sans complaisance. Si les aigles sont les rois des airs, les zébus sont les maîtres sur terre, du terroir tandis que les requins blancs des océans. Alors, aigles et zébus, deux espèces animales réputées pour leur combativité voire leur ténacité, vont s’affronter. Le vainqueur ira en demi-finale ! Sur le tableau des palmarès, les Aigles de Carthage sont les mieux lotis. Ils n’ont rien à envier des grandes équipes africaines. La première participation de la Tunisie en phase finale de la CAN remontait en 1962. Depuis, elle a été qualifiée 18 fois et sacrée championne en 2004. De même pour le CHAN, la Tunisie se qualifiait deux fois et sacrée championne une fois, en 2011. Sur le plan mondial, l’équipe tunisienne a été qualifiée 5 fois en phases finales. Donc, les Aigles de Carthage ont derrière eux un riche tableau de palmarès. C’est une équipe habituée aux grandes compétitions continentales voire internationales ou mondiales. Certainement, elle fait figure de favorite dans cette CAN 2019 en Egypte. Pour leur part, les Barea de Madagascar n’ont pas grand-chose à étaler en termes de gloires. Parmi les outsiders de la compétition, les Barea appartiennent au  club des « novices » de la CAN 2019. D’aucuns n’ignorent que c’est la toute première participation de Madagascar dans les phases finales de la CAN, valable à toutes phases finales internationales du ballon rond. Ainsi avec un tableau de titres ou de médailles

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Editorial

  • Une Opposition éreintée !
    L’Opposition politique que le pays a l’honneur ou le malheur de disposer aurait-elle les reins solides ? Apparemment non !En un quart de siècle d’existence, le « Tiako i Madagasikara » (TIM) montre déjà des signes d’usure, de faiblesse. Des rides avant l’heure trahissent le visage de ce parti fondé et présidé, d’une main de fer, par l’ex- magnat du lait, l’ancien Chef d’Etat Marc Ravalomanana dont l’empire économique s’effrite au fil des ans. Visiblement, le poids de l’âge pèse trop sur les épaules de « Ramose ». A soixante-quatorze ans, Ravalomanana peine à suivre le rythme mais il persiste à tenir la barre du parti. Ses lieutenants s’irritent de son entêtement. Mais on n’y peut rien ! Dada est intraitable. Et le déclin semble irréversible.Ibidem pour le « Rodoben’ny mpanohitra ho an’ny demokrasia eto Madagasikara » (RMDM), une plate-forme de l’Opposition concoctée par le pasteur Tsarahame et acolytes et…

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