Encourager la consommation des produits « Vita malagasy ». Du 16 octobre 2019 au 16 janvier dernier, Holcim Madagascar a lancé son programme de fidélité « Holcim Mizara », visant à récompenser les revendeurs de ses produits. Durant trois mois, chaque quincailler devait cumuler des points à travers la vente de ciment, au préalable acheté directement chez Holcim ou auprès de ses distributeurs agréés. Chaque point correspond notamment à une tonne de ciment. Plus de 500 quincaillers ont ainsi atteint les objectifs fixés par le programme de fidélité d’Holcim. Tous ceux ayant cumulé plus de 60 points ont ainsi été récompensés.
Pour Antananarivo et ses environs, la cérémonie de distribution des lots s’est faite vendredi dernier au Pavé, Antananinarenina. 60 heureux gagants ont pu ainsi récupérer leurs cadeaux pour l’occasion, dont le gros lot est un voyage tous frais payés à destination de l’île Maurice. « Ce programme a été mis en place pour deux raisons, notamment pour gratifier les efforts de vente de nos revendeurs et également afin de promovoir le savoir-faire et les produits « Vita malagasy », plus particulièrement le ciment. Pour cette première cérémonie de remise de lots, chaque participant au programme a reçu une récompense en fonction du pallier de points atteints. La valeur minimale de chaque lot distribué est de 100 000 ariary. Et nous allons procéder de la même façon dans les différentes Régions de Madagascar », a expliqué le directeur commercial d’Holcim Madagascar, en marge de cette cérémonie.
« Holcim Mizara » en est à sa première édition. « Toutefois, nous comptons bien renouveler ce programme tous les ans afin de soutenir les quincaillers malagasy dans la promotion des produits " Vita malagasy " conçus par Holcim, ajoute le responsable. En tout cas, en tant qu’industrie produisant des matériaux de construction, Holcim Madagascar s’est toujours engagée à fournir des produits de qualité suivant les normes pré-établies et répondant aux besoins du secteur de la construction dans la Grande île.
Rova Randria

Publié dans Economie
mardi, 17 mars 2020

Du calme !

Les grandes surfaces prises d’assaut. Les officines de pharmacie débordées. Sur les étals, les prix des PPN s’envolent. A ce rythme, les rayons des grands magasins et ceux des pharmacies  seraient vides.  Un vent de panique souffle dans un état de psychose généralisé. Terreur dans la ville ! En cause : Coronavirus ! 
Mais, y a-t-il vraiment de quoi à s’inquiéter ? A vrai dire, il n’y a aucune raison à paniquer ! Jusqu’à preuve du contraire, les dirigeants du pays assistés par les services d’experts à l’instar de l’Institut Pasteur de Madagascar maitrisent la situation. Pour le moment, il n’y a aucune trace du COVID-19 dans le pays. Certes, la pandémie « débarque » déjà dans l’océan Indien, à la Réunion et à Mayotte. Elle se trouve à mille kilomètres de nos côtes mais ce n’est nullement une raison de s’affoler. Doit-on le rappeler que le virus dont il est question ici ne se transmet point dans les airs mais par contact.
Madagasikara figure parmi les pays qui ont pris des mesures de prévention drastiques à temps. Des dispositions de vigilance maximale ont été mises en place bien avant. Le centre hospitalier « Manara-penitra » d’Anosiala a été affecté spécialement pour traiter les éventuels cas ou s’occuper de la mise en quarantaine systématique des passagers en provenance des pays à risque. D’autres viendront rajouter. Ce n’est pas l’œuvre du hasard si le pays se trouve, pour le moment, épargné de cette pandémie. Espérons que cela dure pour toujours.
Les mesures réfléchies et appropriées prises par l’Etat et annoncées par le Président Rajoelina samedi dernier s’inscrivent dans le cadre d’un renforcement de dispositions déjà entamées  auparavant. Faudrait-il préciser que lesdites mesures adoptées n’ont pas été arrêtées à la légère ni le fruit d’un simple « coup de tête » d’un homme ! Ce sont les résultats directs des consultations et études approfondies.
Mais pourquoi cet affolement malgré les efforts des tenants du pouvoir pour rassurer l’opinion et  appeler constamment au calme ? Au fait, les détracteurs invétérés du régime qui jouent le diable et agissent de façon irresponsable y voient une aubaine pour déstabiliser les esprits. Ils sautent à toute occasion pour ébranler le socle du régime en place. Ayant échoué avec les numéros identiques des CIN et voilà ils se rabattent sur le coronavirus. Tous les moyens sont bons !
Les effets pervers des rumeurs infondées balancées sur les réseaux sociaux impactent sur le comportement des concitoyens. Le vieux réflexe de surapprovisionnement de la période noire de graves crises resurgit. Il incombe directement à l’Etat de faire savoir les procédures nécessaires pour endiguer autant que possible les effets néfastes des réseaux sociaux. La toile devient un instrument par excellence entre les mains des opposants pour fomenter des troubles. Une autre paire de manche que les responsables étatiques se doivent de veiller au grain réside sur cette recrudescence inexpliquée de l’inflation touchant de plein fouet les PPN dont le riz.
Les conséquences négatives notamment sur le plan économique des mesures adoptées existent incontestablement. Le secteur tourisme en est l’une des premières victimes. Le Président Rajoelina ne sous-estime pas les faits avérés.  Mais, la vie des hommes prime. Déclaration universelle des droits de l’Homme oblige !
Du calme, Mesdames et Messieurs !
Ndrianaivo

Publié dans Editorial

Toujours sous le coup d’un avis de recherche depuis le 26 février dernier, l’ancien directeur de la CNAPS et actuel président de la Fédération malagasy du football (FMF), Raoul Arizaka Rabekoto est toujours introuvable. Néanmoins, la procédure engagée à la suite de son « évasion » se poursuit. Aux dernières nouvelles, 4 suspects ont été interpellés par les Forces de l’ordre. Ils auraient aidé l’ex – DG de la CNAPS à quitter le territoire malagasy vers Mayotte où il a, par la suite, pris un vol vers le pays de sa destination finale. Une destination qui reste hypothétique pour l’instant.
Les quatre individus précités ont été appelés à la barre au cours d’un procès hier au Tribunal d’Anosy. Il s’agit, d’un chauffeur, du conducteur et du propriétaire du bateau qui l’a transporté ainsi que du gendre du président de la FMF. Ce dernier s’est marié avec la fille du principal suspect samedi dernier. La veille de cette cérémonie organisée en l’absence du père de la jeune fille, le futur époux a été gardé à vue à  la Brigade criminelle avant d’être libéré. Au cours de son interpellation, le jeune homme aurait été en possession d’un billet d’avion Mayotte – Tanà. Il aurait donc accompagné son beau – père sur cette île sœur avant de revenir au pays.
Demande d’arrêt des poursuites
Pour la défense du gendre, son avocat, en la personne du maître Willy Razafinjatovo, a plaidé pour son geste en tant que membre de la famille. Par conséquent, une demande d’arrêt des poursuites contre les suspects ou du moins contre le gendre en question a donc été évoquée durant le procès d’hier. Après cette comparution, les suspects ont pu regagner leur domicile respectif. Le verdict sur cette affaire est attendu le 24 mars prochain.
Parallèlement, les recherches contre l’ancien numéro un de la CNAPS continuent. Pour rappel, Arizaka Raoul Rabekoto est au cœur d’une affaire de malversations et détournement de plusieurs dizaines de milliards d’ariary au sein de la CNAPS. Des magouilles confortées par de nombreuses preuves découvertes à l’issue de l’enquête du Bureau indépendant anti – corruption (BIANCO) d’après des sources au courant du dossier. Saisi de l’affaire, cet organe anti – corruption a démarré l’enquête ayant abouti à la confirmation de l’existence desdites malversations durant le mandat de Raoul Arizaka Rabekoto à la tête de la CNAPS. L’ex – DG a ignoré la première convocation de l’équipe d’investigation le 20 février. Il a ainsi fait l’objet d’une 2ème convocation à laquelle il n’a évidemment pas répondu.
Concernant la disparition de l’homme fort de la FMF, un détail intrigant a interpellé les internautes hier. En effet, le concerné a changé la photo de profil sur son compte Facebook hier. Un mouvement qui suscite des interrogations car survient justement au jour du procès relatif à son évasion.
S.R.

Publié dans Politique

Quelques jours après la descente effectuée par le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat au marché d’Anosibe, les grossistes osent encore augmenter le prix du riz. Ainsi, depuis la fin de cette semaine, la plupart des ménages se plaignent de cette hausse, évaluée entre 100 à 500 ariary par kilo. Au niveau des grossistes, le kilo du « Makalioka » blanc varie entre 2 000 et 2 100 ariary, s’il est de 1 800 à 1 900 ariary la semaine dernière, tandis que le kilo du « Vary gasy » coûte entre 1 760 et 2 000 ariary selon sa qualité, contre 1 700 à 1 900 ariary auparavant. Seuls le riz importé comme le « Stock » et le riz de luxe n’ont pas subi cette hausse puisque leurs prix sont restés respectivement à 1 700 et 1 800 ariary. Pour les détaillants, le prix du « Makalioka » est fixé actuellement entre 2 300 et 2 400 ariary le kilo.  Le « Vary gasy » coûte 2 000 à 2 400 ariary, tandis que riz de luxe est vendu à 2 100 ariary le kilo.
Comme d’habitude, les grossistes avancent une pénurie du riz, plus précisément le « Makalioka » et la période de soudure comme raisons de cette hausse. Ceux qui disposent encore des stocks tirent profit de cette situation. « En l’espace de quelques jours seulement, j’ai constaté que le prix du riz a augmenté pas moins de trois fois », avance une mère de famille habitant près du marché d’Anosibe.  Toutefois, la pénurie avancée par les grossistes n’est qu’un pur mensonge afin de spéculer sur ce produit. En effet, la ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat a affirmé durant sa visite à Toamasina, la semaine dernière, qu’il n’y a pas de pénurie de riz. L’approvisionnement peut encore couvrir le besoin local durant 4 mois. Ainsi, le riz précoce commence à être vendu sur les marchés locaux. Quoi qu’il en soit, les consommateurs attendent des nouvelles dispositions prises par le ministère afin de fixer ce prix, d’ici fin mars.
Anatra R.



Publié dans Société

En action. Après avoir distribué des savons lors de la remise officielle des Rakibolana au gymnase Mahamasina vendredi dernier pour prévenir de la Covid-19, l’association Fitia sous l‘égide de la Première Dame Mialy Rajoelina monte à la vitesse supérieure. En collaboration avec le Ministère de la Santé Publique (MSP) et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Ministère de l’Education Nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation Professionnel (MENETP), une campagne de sensibilisation des élèves inscrits auprès des Ecoles Primaire publiques (EPP) et des Collèges d’Enseignement Général (CEG) situés dans la capitale est actuellement programmée. Cette semaine, 4 équipes sont déployées   sur 4 sites différents tous les jours  et ce jusqu’au lundi 23 mars pour partager la mesure de santé publique des plus élémentaires dans le monde entier.
Hier, des membres actifs de  l’association Fitia se sont repartis  au niveau des EPP Analamahitsy Cité et Soavimasoandro ainsi que des CEG situés  à Sabotsy Namehana et Ankadilkely Ilafy. L’une des 4 équipes mobilisées est allée à la rencontre des apprentis de l’Ecole Primaire Publique  Soavimasoandro pour apprendre les gestes à adopter     afin de prévenir la propagation du coronavirus. Vers  9 heures, de milliers d’élèves se sont intéressés aux  interventions des personnels de santé du CSB II  Alarobia Amboniloha et de ladite association sur comment réagir face à cette pandémie qui sévit dans le monde entier.
Le premier exposé du personnel de santé a été de rassurer les élèves âgés entre 4 ans à 16 ans que Madagascar n’enregistre pas encore un cas confirmé du coronavirus.  Et qu’une ligne verte « 910 » est opérationnel à toute heure de la journée pour toute information s’y rapportant. Toutefois, pour  prévenir des mesures devraient être prises et c’est la raison de leur venue.  Une des membres de   l’association Fitia a par la suite expliqué les élèves  la distance  d’un mètre à respecter pour éviter de transmettre un virus et d’autres mesures.  Etant donné que le lavage des mains est également essentiel pour protéger contre les infections et prévenir la propagation de la COVID-19, une démonstration avec la participation d’un des écoliers a été effectuée. Une étape qui les a beaucoup ravivé du faut aussi que Fitia leur a remis des savons à la fin de leur intervention.  Selon Rasoaveloholiarilalao, directrice  de cet établissement scolaire public, le problème d’approvisionnement d’eau demeure un obstacle pour  la réalisation de ces énoncés. Cependant, avec les 25 enseignants, elle va  déployer tous les matériels nécessaires  notamment en augmentant le nombre de bidon remplis d’eau pour éviter toute contamination.
KR.


Publié dans Société

Tous les vols internationaux de passagers à destination de Madagascar sont suspendus, a indiqué hier le Président de la République Andry Rajoelina.
En 72 heures, soit depuis la dernière déclaration officielle du Chef de l’Etat malagasy, la maladie a été recensée dans 14 nouveaux pays africains, ce qui augmente à 28 le nombre de pays du continent où le virus a donc été détecté. Si Madagascar est à l’heure actuelle encore épargné par la pandémie, dans ses proches voisins de l’océan Indien tels que La Réunion, Les Seychelles et Mayotte, et dans des pays avec lesquels il a des liaisons aériennes, tels que l’Afrique du Sud, le Kenya, l’Ethiopie, etc. des cas de coronavirus ont été confirmés. Le virus est également enregistré dans d’autres pays africains comme le Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Ghana, Guinée, Niger, Tanzanie, Togo, Tunisie, etc. Face à cette rapide progression de la propagation de la pandémie dans le monde et surtout en Afrique, le Président de la République a convoqué un Conseil des ministres restreint. Un plan d’urgence a été annoncé. Toutes les dispositions nécessaires seront renforcées, annonce le Président de la République, en marge du Conseil des ministres restreint d’hier.
Il a été décidé, face à la rapide propagation de la maladie, de suspendre tous les vols commerciaux régionaux et internationaux, à l’exception donc des vols transportant des marchandises, pour une durée de trente jours. Une disposition qui concerne notamment les vols en provenance de Kenya, Afrique du Sud, Maurice et Ethiopie, lesquels étaient encore ouverts ces derniers jours. Il convient de rappeler que le Chef de l’Etat avait annoncé samedi soir la suspension «jusqu'à nouvel ordre» de ces vols en provenance d’Europe, de La Réunion et de Mayotte afin de prévenir la propagation du nouveau coronavirus. L’Etat a néanmoins autorisé jusqu’à ce vendredi les vols en provenance de ces pays pour permettre aux ressortissants malagasy notamment de revenir au pays.
A ce sujet justement, le Président de la République annonce particulièrement l’importation par l’Etat de tests de diagnostic rapide du coronavirus. Ce nouveau dispositif qui permettra de dépister la maladie en 20 minutes sera obligatoire pour toutes les personnes qui débarqueront dans la Grande île jusqu’à ce vendredi. Cette mesure s’ajoute à celles déjà prises, notamment l’auto-confinement des personnes qui ont débarqué et qui débarqueront dans la Grande île ces prochains jours. Une disposition qui concerne le ministre de la Population, de retour d’un déplacement à l’étranger. Ceux qui ne résident pas à Antananarivo sont confinés dans des centres mis en place à cet effet, à Andohatapenaka, à Vontovorona et à Anosiala, selon des précisions.
Par ailleurs, le Président de la République appelle à ne pas céder aux tentatives d’instaurer des troubles. Des « fake news » annoncent que Le Figaro aurait évoqué  que cinq cas positifs de coronavirus ont été détectés à Nosy-Be. Une information qui a été démentie par le journal en question, par le ministère de la Santé publique et l’Organisation mondiale de la Santé qui ont dénoncé une information non fondée et indiquent qu’aucun cas n’a encore été enregistré à Madagascar. Pour information, 12 cas suspects sont actuellement confinés à l’hôpital d’Anosiala.
La Rédaction

Publié dans Politique

Triste fin. C’est le cas d’un Malagasy retrouvé inconscient dans son appartement, un guest-house, à l’île Maurice. C’était le 10 mars dernier que des occupants du lieu l’ont retrouvé dans cet état. Emmené d’urgence à l’hôpital, il était resté dans le coma jusqu’à son décès, déclaré le week-end dernier. Lundi, le corps a été autopsié pour déterminer la cause exacte de sa mort et grande fut la surprise du médecin-légiste en découvrant 24 boulettes d’héroïne dans l’estomac du défunt. La Brigade anti-drogue a aussitôt ouvert une enquête concernant ce trafic d’héroïne qui s’est mal terminé pour cet homme. En se référant aux autres trafics précédents, il est certain que cet individu n’est qu’une mule utilisée pour transporter de la drogue dure à l’île Maurice. Bien qu’aucune information ne soit divulguée pour le moment, il est certain qu’il est en connaissance du trafic en acceptant d’avaler ces boulettes. Ces dernières qui, dans un tel cas, devraient être « rejetées »  lors de la défécation, mais on ignore si elles ont « explosé » dans son estomac, causant ainsi le coma.
Même si la loi mauricienne est dure envers le trafic de stupéfiants, des Malagasy insouciants acceptent encore d’y participer. Ainsi, des dizaines de ressortissants de la Grande île se trouvent dans les prisons mauriciennes pour purger une peine variant de 10 à 25 ans.
F.R.

Publié dans Société
mardi, 17 mars 2020

La une du 18 mars 2020

Publié dans La Une

Fil infos

  • Président Andry Rajoelina - Début d’une série d’inaugurations dans l’Anôsy
  • Actu-brèves
  • Course pour Tsimbazaza - Une vingtaine de députés renoncent à un nouveau mandat
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  • Ministre des Affaires étrangères du Japon - En visite à Toamasina ce week-end
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  • Mission du FMI à Madagascar - Deux appuis financiers importants sur la table des négociations
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  • Actu-brèves
  • Enseignement supérieur - L'université de Fenoarivo -Atsinanana officiellement inaugurée 

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Editorial

  • D’utilité publique
     Est reconnu « Service d’utilité publique » (SUP) par l’Etat tout organisme (ONG), une entité qui se met au service des intérêts basiques quotidiens des gens. Exemples : le service de la voirie, les caisses de la Trésorerie publique, les banques, les Postes et Télécommunications (téléphonie mobile), les transports en commun, la compagnie nationale d’eau et d’électricité, etc. Leurs manquements répétés créent des désagréments notables voire fâcheux au bon déroulement du train-train de la vie des usagers, en particulier, de la population en général. L’Etat veille au bon fonctionnement des services reconnus d’utilité publique.Vingt inspecteurs et contrôleurs semenciers émargés au sein du ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MinAE) ont prêté serment près du Tribunal de première instance (TPI) à Anosy le week-end dernier. Issus des sept Régions dont Alaotra-Mangoro, Analanjirofo, Atsimo-Andrefana, Vakinankaratra, Boeny, SAVA et DIANA, les nouveaux sortants œuvreront tout droit à l’amélioration de la production des semences…

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