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La une du 5 août 2025

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Assez !

« La maison brûle, nous regardons ailleurs ! ». Par cette célèbre phrase devenue légendaire et historique que Jacques Chirac, alors Président de la République française, devait entamer son discours lors de l’ouverture de l’Assemblée plénière du IV ème  Sommet de la Terre le 2 septembre 2002 à Johannesburg, en Afrique du Sud. Le Président français voulait faire allusion sur le danger réel que le monde encourt à cause du réchauffement climatique mais les hommes affichent leur indifférence sinon leurs attentions s’orientent ailleurs.

Alors que le pays traverse une zone de forte turbulence, nous les concitoyens, les compatriotes, nous passons le clair de notre temps à nous chamailler. La tempête si puissante risque d’emporter le navire, les passagers à bord, trop occupés à se quereller, ne sont pas conscients du péril en la demeure. Jacques Chirac interpelle les « occupants » de la maison de leur ignorance et leur indifférence de ce qui se passe réellement.

Alors que le pays se trouve en face d’un danger réel suite à l’éclatement des affaires pouvant entrainer des conséquences désastreuses, nous les Malagasy, les « occupants » de la maison, nous nous lançons à des débats stériles et inutiles. Cette histoire d’empoisonnement et cette scélérate affaire de 5 Boeing 777 nous empoisonnent tous au point que nous ne savons plus faire la différence entre affaire politique et affaire familiale. On se lance à bloc, par réseaux sociaux interposés ou par le biais des communiqués de presse opposés dans de vaines escarmouches. Et nous oublions que le risque de sanctions internationales plane sur nos têtes. Une épée de Damoclès qui ne fait pas de distinction entre camps opposés. Ressaisissons-nous et assez de bavardages !

Alors que le pays s’apprête à recevoir sur son sol un grand rendez-vous, une rencontre internationale dont la portée influe certainement et positivement sur l’avenir de la Nation et son peuple. En effet, des apports constructifs durables se trouvent à la portée des malagasy à travers cette 45ème édition du Sommet de la SADC qui se tiendra incessamment à Antananarivo au Centre de conférence international à Ivato. Nous les concitoyens de ce pays, apparemment, nous ne sommes pas conscients du caractère crucial que revêt pour nous ce « Sommet » sinon de l’opportunité qui en découle. Le combat que le pays mène quotidiennement afin de redresser l’économie nationale pourra bénéficier une des issues, celle la plus performante. L’isolement de la Grande île depuis un certain temps a fini par hypertrophier nos possibilités de développement. L’engagement de Madagasikara au sein de la Communauté des pays de l’Afrique australe apportera de l’énergie à notre économie. Les 15 pays membres de la SADC, le grand marché à notre portée, apporteront leur savoir-faire et leurs atouts au pays notamment pour l’industrie. Le thème du Sommet « promouvoir l’industrialisation, la transformation agricole et la transition énergétique pour une SADC résiliente » doit nous inciter à foncer avec.

Le début des réunions à haut niveau commençait avant-hier. Le Sommet entre dans sa phase décisive devant préparer les réunions capitales, objets des rencontres entre ministres des Affaires étrangères et surtout entre les Chefs d’Etat et de Gouvernement.

Assez de chahuts et criaillements ! Le moment est venu pour tout le monde de se montrer sérieux et dignes.

Ndrianaivo

Hier, lors de la cérémonie solennelle d’installation de la Commission malagasy de l’Informatique et des Libertés (CMIL) à la Cour Suprême d’Anosy, le Premier ministre malgache a confirmé la présence d’agents du FBI sur le sol malgache, venus dans le cadre d’une enquête conjointe concernant des avions Boeing 777 frauduleusement immatriculés à Madagascar et retrouvés en Iran.

Le chef du Gouvernement a tenu à clarifier que cette présence n’est pas le fruit d’une intervention unilatérale, mais bien d’une demande officielle de la part des autorités malgaches. « Nous, Malgaches, avons sollicité l’arrivée du FBI afin de mener une enquête rigoureuse et approfondie », a-t-il souligné. Une démarche qui traduit la volonté de Madagascar de lutter efficacement contre les crimes transnationaux et les trafics illicites utilisant le pays comme plateforme.

L’affaire concerne notamment des Boeing 777 immatriculés de manière frauduleuse à Madagascar avant d’être localisés en Iran.  « Nous ignorons encore qui sont précisément les opérateurs derrière ces opérations. », rappelle-t-il. Une enquête approfondie est donc indispensable pour identifier tous les acteurs impliqués.

Au-delà de cette affaire aérienne, la présence du FBI s’inscrit dans une stratégie plus large visant à renforcer la lutte contre les crimes transnationaux qui exploitent Madagascar comme base d’opérations. « Nous voulons empêcher que notre pays soit à nouveau utilisé pour des actes répréhensibles de cette nature », a-t-il insisté.

Face à la multiplication des rumeurs et des accusations infondées qui circulent dans la société malgache, notamment par rapport à cette affaire, le Premier ministre a fermement condamné ces pratiques. « Je rejette totalement la diffusion de fausses informations et de calomnies, notamment celles visant injustement les proches du Président de la République. Ce jeu malsain doit cesser », a-t-il déclaré. Il a rappelé que le débat politique doit rester axé sur les idées et non sur des attaques personnelles.

Par ailleurs, le Premier ministre a rappelé que Madagascar s’apprête à assumer la présidence en exercice de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), une étape historique qui suscite une grande fierté nationale. « Après 45 ans d’existence, c’est la première fois que Madagascar prendra la tête de la SADC. C’est un honneur pour notre peuple, et cette responsabilité ne doit pas être entachée par des querelles politiques », a-t-il insisté.

Et lui de rappeler  aussi que le gouvernement prône la transparence dans le déroulement de l’enquête. « Il est essentiel que toutes les investigations soient menées de manière ouverte, pour que la vérité éclate et que justice soit rendue. », signifie-t-il.  

 

C’est dans un silence de cathédrale que l’assistance a écouté avec attention et émotion la prestation de 15 minutes livrée par les deux jeunes émissaires de Madagascar lors de l’Assemblée des Jeunes, dans le cadre des Jeux de la CJSOI aux Seychelles. Le thème abordé par les représentants des sept pays membres de la CJSOI portait sur le changement climatique, ses effets dévastateurs et les solutions envisageables.

Aiky Iloaina Rajaonson (15 ans) et Kaliana Iarantsoa Andriamanana (16 ans), les deux porte-voix de la jeunesse malagasy, ont littéralement capté l’attention de l’auditoire en illustrant, à travers une série d’images saisissantes, l’ampleur tragique des conséquences du dérèglement climatique à Madagascar, plus particulièrement dans la région sud du pays. Les photographies bouleversantes de femmes et d’enfants frappés de plein fouet par la famine (Kere), accompagnées de statistiques alarmantes, ont profondément ébranlé l’assistance. Des larmes  ont coulé sur les visages de certains qui quelques heures plus tôt avaient savouré un petit déjeuner opulent, presque princier.

Une vérité brute, implacable, douloureusement lucide — c’est ce que ces deux jeunes Malagasy ont déposé au cœur de cette assemblée, sans filtre ni détour. Ils n’ont pas hésité à exposer, avec une rare franchise, la réalité accablante de leur pays : une pauvreté structurelle, des enfants privés d’accès à l’éducation et aux soins de santé les plus élémentaires.

« Le Kere à Madagascar c’est la famine climatique de l’ère moderne du changement climatique », ont-ils affirmé avec gravité, en écho au cri d’alerte lancé par le Programme alimentaire mondial (PAM).

Et d’enchaîner, avec une justesse désarmante : « Madagascar, tout comme les pays africains et insulaires de l’océan Indien, figure parmi les territoires les moins pollueurs au monde. Et pourtant, ce sont bien nous qui supportons le plus lourd tribut des dérives climatiques provoquées par les pays industrialisés. »

Ce constat sans appel a déclenché les seuls applaudissements spontanés de toute l’assemblée. Un moment suspendu, chargé de vérité et d’émotion.

Mais loin de se limiter à un plaidoyer de détresse, Aiky et Kaliana ont fait preuve d’un esprit constructif, en formulant plusieurs propositions concrètes et audacieuses pour atténuer les effets du changement climatique et espérer inverser, à terme, la courbe. Parmi les pistes qu’ils ont évoquées entre autres, l’éducation climatique dès le primaire et dans les centres des jeunes, l’instauration d’un fonds national et régional pour les projets jeunes et de résilience climatique insulaire, financement par le pays du Nord à l’adaptation des pays vulnérables dans le cadre de la justice climatique.

A travers leur prise de parole, les deux  jeunes  malagasy ont montré que la jeunesse du Sud ne se contente plus d’espérer : elle exige, elle propose, elle agit. Et surtout, elle refuse de se taire face à l’urgence. « Ensemble, faisons du Kere un souvenir, pas une fatalité », lancent en chœur Aiky et Kaliana en guise de conclusion de leur plaidoyer sur l’injustice climatique à Mafagascar partagée aux jeunes de la région de l’océan Indien.

La rédaction

Entre dimanche et lundi derniers, une série d'accidents a occasionné la mort de 2 personnes et des blessés, une dizaine, dans la Capitale.

A commencer par celui survenu sur la rocade saisonnière de la Francophonie près du Madinox à Ankasina, vers 12h 30, hier.

Une  Mitsubishi Pajero Sport venant justement d’Ankasina, et conduite par une gérante de société de 51 ans, a fait une brutale sortie de route en voulant rejoindre le rond-point Maki Andohatapenaka. Echappant au contrôle, le véhicule a alors heurté successivement deux piétons qui marchaient tranquillement sur le côté droit de la chaussée, tuant l'un d'eux, un homme de 35 ans, sur le coup, et dont l'identité n'est pas connue tandis qu'un autre de 50 ans est blessé. Et par ricochet, une moto scooter Yamaha Jog appartenant  à un homme de 23 ans, mais aussi deux bicyclettes avec le propriétaire de 18 ans, enfin une marchande ambulant ainsi que des marchandises.

En continuant sa course folle, la même voiture a fait un tonneau avant de basculer dans un ravin du côté droit de la chaussée. Là, elle a encore heurté une autre moto de type Yamaha Rsz appartenant à un homme de 35 ans, pour finir sa course en butant contre un talus.

Outre cette perte en vie humaine, la violence du choc fut telle aussi qu'il a fallu transporter d'urgence la conductrice en cause à l'HJRA pour soins, avec les autres personnes blessées.

La concernée et ses proches auraient demandé à la Police une escorte pour l'évacuation à l’HJRA, selon une source au niveau de cette Force.

L'autre drame de la veille

Mais la veille même de cela, un autre accident aussi dramatique que le précédent, s'est également produit vers 14h30, à Anosipatrana. Sur les lieux, le chauffeur d'un camion  a dû être emmené précipitamment au Commissariat central Tsaralalàna afin d'éviter une vindicte populaire. En cause, il a percuté un cycliste à un point sis près du lavage à Anosipatrana. Pour ce dernier, la mort fut sans appel.

L'identité de la victime reste inconnue pour le moment.

Les éléments de la Brigade des accidents de la circulation (BAC) Tsaralalàna, étaient déjà sur place car saisis de l'affaire.

Toujours dimanche dernier, mais très tôt le matin, un autre accident corporel de la circulation s’est produit à l’entrée de l’hôtel C., à Ambodihady.

Un scooter de marque Kymco G5 dont l'identité du pilote n'a pas été communiquée, et qui venait d’Andranomena, est entré en collision frontale avec une Peugeot 205, conduite par un homme de 35 ans qui circulait en sens inverse.

Le conducteur du scooter a été blessé et évacué au CHU HJRA.

Franck R.

Le Programme alimentaire mondial (PAM Madagascar) a reçu hier des dons composés de 115 tonnes métriques de dattes de la part du royaume d’Arabie saoudite. Cette contribution est destinée à la fois au programme d’alimentation scolaire et aux opérations d’assistance alimentaire d’urgence. 69 tonnes métriques seront allouées au programme de cantines scolaires afin d’améliorer la nutrition des enfants et d’encourager leur assiduité scolaire. Les 46 tonnes métriques restantes appuieront les opérations d’urgence du PAM, en fournissant une assistance alimentaire essentielle aux communautés touchées par les effets du changement climatique, notamment dans la partie sud de la Grande île.

 

Dans son discours, la représentante et directrice pays du PAM à Madagascar, Tania Goossens, a avancé que cette donation permet à ladite agence onusienne de renforcer deux volets essentiels de son action dans le pays, notamment les cantines scolaires et l’assistance alimentaire d’urgence. Elle de poursuivre : « Les dattes sont des fruits ayant une grande teneur en vitamines C, E, B2, B3, B5, K, etc.  Ces fruits représentent égalementune source d’énergie. Ils sont riches en fibres et nutriments essentiels, excellents pour les enfants en pleine croissance. Ces dons généreux de la part du royaume d’Arabie saoudite renforcera nos efforts pour améliorer la nutrition à travers les repas scolaires et l’assistance alimentaire d’urgence, et nous apprécions profondément ce partenariat ».

 

Le royaume d’Arabie saoudite est un partenaire de longue date du PAM, animé d’un engagement constant en faveur des opérations humanitaires à travers le monde, particulièrement en Afrique. Ce don marque sa toute première contribution directe à Madagascar, venant renforcer les efforts déployés pour lutter contre la faim et améliorer la situation nutritionnelle dans le pays. Les représentants du Centre d'aide et de secours humanitaires du roi Salman, Abdulmalik Alomar et Faisal Alwadani, ont assisté à cette cérémonie qui s’est tenue hier dans les locaux de la représentation du PAM à Antananarivo.

 

Anatra R.

 

Depuis sa création, FTHM Consulting a accompagné environ 700 organisations, aussi bien publiques que privées. Cette année, le cabinet fête ses 30 ans et reçoit pour la 7ème fois consécutive la certification ISO 9001: 2015, un label international qui confirme la qualité de ses services. Cette certification est délivrée par SGS Madagascar SARL, un organisme reconnu dans le monde entier, leader en matière d’inspection, vérification, analyse et certification. « La certification est valable pour une durée de trois ans. Celle-ci prouve que les clients de FTHM Consulting sont satisfaits et que les méthodes de travail sont efficaces », selon Daniel Julie, manager chez SGS Madagascar. La remise officielle du certificat a eu lieu à Antananarivo, jeudi dernier, lors d’une cérémonie spéciale. FTHM Consulting est le premier cabinet de conseil en Afrique à obtenir cette certification en 2007. « Notre objectif est de toujours améliorer notre façon de travailler. Cela nous a permis d’intervenir dans une trentaine de pays en Afrique, qu’ils soient francophones, anglophones ou lusophones », explique Thierry Rajaona, fondateur et associé-gérant de la société.

 

Ambitions

Depuis 1995, FTHM Consulting a enregistré une croissance moyenne de 15 % par an de son chiffre d’affaires. « Aujourd’hui, une centaine de consultants travaillent pour l'entreprise, mais plus de 800 experts y sont déjà passés au fil des années », a annoncé le fondateur. La société est spécialisée dans différents domaines tels que la gestion, la stratégie, le marketing, les systèmes d’information, les ressources humaines et l’ingénierie financière. Outre son statut de cabinet de conseil, FTHM Consulting propose également des formations pour de nombreux professionnels. « Certains anciens collaborateurs occupent aujourd’hui des postes de direction ou des fonctions ministérielles », a-t-il ajouté. Le cabinet a aussi joué des rôles importants dans le domaine économique du pays. En 1998, il a été choisi pour accompagner la privatisation de la compagnie étatique SOLIMA qui détenait à l’époque le monopole du droit d'approvisionnement, du stockage et de la distribution des produits pétroliers à Madagascar. Cette mission, menée avec un cabinet canadien, a permis à des groupes comme Shell, Total ou Vivo Energy de s’installer à Madagascar. Par ailleurs, le cabinet FTHM Consulting continue également d’accompagner des banques et d’autres institutions dans la mise en place des systèmes d’information. Grâce à cette nouvelle certification, il confirme son ambition de rester un acteur de référence, non seulement dans la Grande île mais aussi en Afrique.

Carinah Mamilalaina

En comptant les résultats du premier week-end, Madagascar comptabilise désormais 28 médailles, réparties comme suit 11 médailles d’or, 9 médailles d’argent, 8 médailles de bronze. 

La délégation malagasy continue de briller aux Jeux de la Commission de la jeunesse et des sports de l’océan Indien (CJSOI) 2025, avec une moisson impressionnante de médailles lors de cette quatrième journée de compétition. Ce lundi 4 août a été marqué par de nouvelles performances remarquables, notamment en natation, judo et haltérophilie, portant le total des médailles malagasy à 28 dont 11 en or.

Les nageurs malagasy ont particulièrement brillé ce lundi dans l’après-midi. Rakotobe Tendry Tiavina s’est illustré en remportant deux médailles : l’or sur 50 m papillon et l’argent sur 200 m nage libre. Son compatriote Rabarison Tanteliniaina a également décroché une médaille d’argent dans l’épreuve du 100 m brasse.

Du côté du basketball, les jeunes Ankoay U-17 enchaînent une troisième victoire consécutive, écrasant Maurice sur le score sans appel de 107 à 32.

Déjà dominante depuis le début des Jeux, l’équipe d’haltérophilie continue d’engranger des médailles. Kemba Nomena Finaritra, engagée dans la catégorie des -75 kg, a offert à Madagascar trois médailles de bronze supplémentaires cet après-midi.

Le judo malagasy confirme son potentiel avec quatre nouvelles médailles. Rakotomalala Sandaniaina décroche l’or dans la catégorie des -66 kg, tandis que Andriamandanonarivo Tsiaro monte sur la deuxième marche du podium en -60 kg. A cela s’ajoutent deux médailles de bronze grâce à Fanomezantsoa Joelina Elerson et Rakotondrainibe Malalasoa en -57 kg.

Malgré une défaite serrée en double mixte face aux Seychelles (3-2), les badistes malgaches gardent l’espoir de décrocher deux médailles d’or et deux de bronze dans les compétitions individuelles à venir.

L’haltérophilie reste la discipline phare avec 9 médailles d’or glanées dès les deux premiers jours. Parmi les performances les plus marquantes, Onjatiana Herman s’est imposé chez les moins de 55 kg avec un total de 176 kg (75 kg à l’arraché, 100 kg à l’épaulé-jeté). Dans la même catégorie, Ralijaona a récolté trois médailles d’argent avec un total de 166 kg.

Chez les féminines, Faliniaina Tsiky Fanojo Najaina (moins de 61 kg) a offert une médaille d’or à la Grande île grâce à un total de 131 kg. Chaina Randriamparany, dans la catégorie des 64 kg, a remporté trois médailles d’or, tandis que Nantenaina Randriamilimanana a complété le palmarès avec trois médailles d’argent en -71 kg.

Elias Fanomezantsoa

 

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La UNE du 040825

 Pour leur premier match dans le groupe B du Championnat d’Afrique des Nations (CHAN), les Barea de Madagascar ont accroché un nul (0-0) face à la Mauritanie, vendredi soir, à l’issue d’une confrontation tendue et marquée par l’expulsion de leur capitaine.

Arohasina Andriamirado « Dax » a été contraint de quitter ses coéquipiers dès la 39e minute après avoir reçu deux cartons jaunes. Une situation délicate qui n’a pourtant pas entamé la détermination malgache. Les hommes de Romuald Rakotondrabe ont su faire preuve d’une solidité défensive remarquable et d’une combativité constante jusqu’au coup de sifflet final.

 

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La Une

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Editorial

  • Assez !
    « La maison brûle, nous regardons ailleurs ! ». Par cette célèbre phrase devenue légendaire et historique que Jacques Chirac, alors Président de la République française, devait entamer son discours lors de l’ouverture de l’Assemblée plénière du IV ème Sommet de la Terre le 2 septembre 2002 à Johannesburg, en Afrique du Sud. Le Président français voulait faire allusion sur le danger réel que le monde encourt à cause du réchauffement climatique mais les hommes affichent leur indifférence sinon leurs attentions s’orientent ailleurs. Alors que le pays traverse une zone de forte turbulence, nous les concitoyens, les compatriotes, nous passons le clair de notre temps à nous chamailler. La tempête si puissante risque d’emporter le navire, les passagers à bord, trop occupés à se quereller, ne sont pas conscients du péril en la demeure. Jacques Chirac interpelle les « occupants » de la maison de leur ignorance et leur indifférence…

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