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Sur la bonne voie. Malgré les différents aléas climatiques et la propagation de la pandémie de coronavirus à Madagascar, la production rizicole sera globalement bonne pour cette année. Effectivement, après des enquêtes et des calculs, les techniciens au niveau du ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche estiment que la production devrait atteindre les 4 860 000 tonnes de paddy pour cette année. « Les prévisions sont notamment en hausse de 5 % en comparaison avec l’année dernière. Nous sommes aujourd’hui en période de grande récolte. De ce fait, les 75 % de ces chiffres sont déjà atteints. Quant aux 25 % restants, ils devraient être remplis d’ici la fin de l’année. Il ne faut pas oublier que certaines campagnes rizicoles débutent encore comme le " vary jeby " ou encore le " vary aloha " », a soutenu Lucien Ranarivelo, ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche.

 

Depuis la suspension de la voie aérienne en fin du mois de mars, les vols de rapatriement des étrangers, toute nationalité confondue, s’enchaînent. Chaque ambassade collabore avec les compagnies aériennes et facilitent le retour de ses compatriotes vers leur pays d’origine. En général, la majorité de ces étrangers quittent volontairement la Grande île. Leurs papiers sont ainsi en règle, que ce soit leur visa ou les contrats de travail avec les entreprises. C’était le cas par exemple des 850 employés de la compagnie minière d’Ambatovy.

La plainte pour diffamation déposée par la nommée Rasoloharivony Marie Héloïse à l’encontre de deux journaux de la place, à savoir les quotidiens « Inona no vaovao » et « Tia Tanindrazana », a amené les gens des médias à se pencher sur l’affaire à la source de cette action judiciaire intentée contre leurs confrères. Les articles incriminés portaient en fait sur un litige immobilier concernant la propriété «  Bibliocafé Tsarajoro », sise à Mandrosoa Ivato,  un contentieux dont l’issue, jusqu’ici, laisse pantois  le simple citoyen. A la lumière des éléments d’information recueillis en effet, force est de constater que les décisions judiciaires intervenues dans le cadre de cette affaire sont pour le moins incomprises par les non-initiés aux arcanes du droit.

 

LA UNE DU 13 JUIN 2020

Publié le vendredi, 12 juin 2020

la une du 12 juin 2020

Publié le jeudi, 11 juin 2020

Madame la ministre, de par votre expérience de journaliste et de dirigeante d’un groupe de presse, vous êtes sans nul doute mieux placée que quiconque pour saisir l’importance vitale pour le pays de l’adoption rapide d’une loi sur l’accès à l’information devant permettre à tous les citoyens malagasy d’être correctement informés de l’action des pouvoirs publics.
Longtemps, la perspective de l’adoption d’une telle loi a été repoussée à cause d’un manque de volonté politique de la part des dirigeants du pays. Dès votre nomination à la tête du ministère la Communication et de la Culture, et c’est tout à votre crédit, vous vous êtes publiquement engagée pour l’adoption rapide d’un cadre légal devant permettre l’expression de ce droit à l’information.
Des consultations ont été engagées par votre ministère dès l’année dernière afin que vous puissiez être en mesure de déposer un projet de loi sur l’accès à l’information au cours de la première session parlementaire de l’année 2020 qui se déroule actuellement.
Nous avons pu consulter et commenter ce texte et nous vous remercions pour cette opportunité. Bien qu’il nécessite plusieurs points d’amélioration, le texte qui nous a été partagé est un pas en avant vers l’exercice du droit à l’information dans notre pays. Ces points d’amélioration peuvent être rapidement corrigés afin que le texte qui soit finalement présenté au Parlement soit compatible avec votre engagement de doter Madagascar d’un cadre légal solide pour l’exercice par tous les citoyens de leur droit à l’information.
Nous sommes conscients que la situation sanitaire a pu ralentir les consultations nécessaires pour la finalisation du texte. Toutefois, nous ne pouvons pas nous permettre de repousser plus encore l’adoption de ce cadre juridique sur l’accès à l’information, un outil plus important que jamais dans l’époque trouble que nous traversons. Nous vous proposons donc de poursuivre sans attendre les consultations, en utilisant notamment les nouvelles technologies de communication et en respectant strictement les prescriptions sanitaires en vigueur.
Nous, organisations de la société civile signataires de cette lettre, sommes disponibles pour vous appuyer à respecter votre engagement de doter rapidement Madagascar d’un cadre légal permettant aux citoyens malagasy d’exercer leur droit d’accès à l’information.
L’adoption de cette loi complètera les premiers pas déjà franchis par le Gouvernement par l’adoption du décret n°2019-236 du 26 novembre 2019 portant accès aux données « Base paiement et encaissements relatives à l’exécution budgétaires des Organismes publics ». Décret dont nous attendons toujours l’implémentation, notamment à travers la création d’un portail des données ouvertes. La non-adoption de la loi durant la session parlementaire en cours signifierait un nouveau recul qui serait à l’évidence préjudiciable à tous, et en premier lieu aux citoyens.
Restant disponibles pour tout échange, nous vous prions, Madame la ministre, de recevoir nos salutations respectueuses.
 
Les organisations impliquées dans le combat pour la transparence et l’accès à l’information à Madagascar (par ordre alphabétique) :
CCOC, Collectif des citoyens et des organisations citoyennes
Mouvement ROHY, Rindran’ny Olompirenena Hiarovana ny Iaraha-manana
MSIS TATAO, Tohana sy Ainga ho an’ny Tambazotran’ny Olompirenena
ONG HITSY
ONG IVORARY
ONG SAHA, Soa Afafy Hampahomby ny ho Avy
ONG TOLOTSOA
TI-MG, Transparency International - Initiative Madagascar


La ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et professionnel par intérim Béatrice Assoumacou a rencontré hier les sénateurs au Sénat Anosy. Elle a évoqué l’affaire des « bonbons sucettes » où des enquêtes sont en cours par l’Inspection générale de l’Etat et par le BIANCO.
La séance de questions – réponses entre l’Exécutif et le Législatif se poursuit. Hier, le ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et professionnel par intérim, Béatrice Assoumacou a présenté le rapport d’exécution du programme d’activité du ministère qu’elle dirige. De nombreux sujets ont été soulevés. Mais ce qui a le plus attiré l’attention est l’affaire des « bonbons sucettes » d’un montant de 8 milliards d’ariary qui aurait coûté la place de l’ancienne ministre Rijasoa Andriamanana.
Lors de sa rencontre avec les sénateurs, la ministre a affirmé qu’elle n’a pas évoqué cette affaire avec son prédécesseur. Une affirmation qui coupe court aux éventuelles questions des sénateurs sur le sujet. Tel était le cas lors de la passation entre Béatrice Assoumacou et Rijasoa Andriamanana. Aucune allusion sur cette affaire n’a été soulevée par les deux ministres lors de la passation de service.
Quoi qu’il en soit, la ministre de l’Education par intérim a affirmé qu’une enquête est en cours actuellement. C’est l’Inspection générale de l’Etat et le BIANCO qui effectuent les enquêtes. Il s’agit de deux entités différentes, ayant leur propre mode d’enquête, leur propre mode opératoire. D’aucuns attendent alors la publication des résultats des enquêtes par ces deux entités incessamment.
Pour rappel, cette affaire a éclaté au grand jour suite à la révélation des parlementaires. Il y a eu dans un premier temps des volte-face. Mais au final, l’ancienne ministre a affirmé que le ministère qu’elle dirigeait avait bel et bien eu l’intention d’acheter les bonbons pour les distribuer aux écoliers qui prennent le Covid- Organics. Seulement, aucun décaissement n’a été fait et que ce montant exorbitant serait affecté à d’autres priorités. Bref, c’était un projet mort-né…
La rédaction


Le 9 juin, le Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations unies (OCHA) a mis en ligne un document de 30 pages intitulé Emergency Appeal For Covid-19. Madagascar (Appel d’urgence Covid-19. Madagascar). Pr Charlotte Faty Ndiaye, le coordonnateur résident par intérim du Système des Nations unies à Madagascar, préface le document en insistant, à la fin de sa note, que la Grande île a urgemment besoin de 82,26 millions de dollars pour faire éviter au pays une situation catastrophique.
Madagascar, qui est l’un des pays les plus à risques en Afrique et extrêmement vulnérable au changement climatique, est constamment affecté par des épidémies qui sont souvent endémiques du pays, observe la médecin-diplomate. Ces cinq dernières années, le pays a connu deux occurrences majeures d’épidémies en deux années d’affilée, la peste pulmonaire en 2017 et la variole en 2018.
La recrudescence de la peste affectait sérieusement l’économie nationale, notamment les secteurs du tourisme et des transports. Alors que le pays a tiré des leçons et de bonnes pratiques de ces expériences, l’avènement de la pandémie du coronavirus lui pose un certain nombre de défis majeurs. Il s’agit en effet d’une épidémie non endémique du pays mais plutôt de virus importé de l’étranger.
Difficiles à contrôler
Dès que l’existence du coronavirus était annoncée en Chine, Madagascar se préparait déjà en révisant le plan de contingence nationale, en renforçant la surveillance aux frontières et en y déployant des médicaments et accessoires nécessaires. Tous les vols à destination et en provenance de la Chine ont été suspendus depuis le 10 février même si la prise de décision était difficile en raison de l’importance des relations commerciales entre les deux pays. Les conséquences socioéconomiques se faisaient déjà sentir bien que le pays n’eût pas encore connu des cas de contamination à la pandémie de Covid-19.
Quelques semaines plus tard, les pays voisins étaient contaminés par le coronavirus et Madagascar confirmait les premiers cas le 20 mars. Etant donné la fragilité du système de soin de l’île et les mauvaises conditions d’hygiène et d’assainissement, la pandémie de Covid-19 s’est propagée rapidement. Le pays compte en ce moment un millier de cas positifs détectés et une dizaine de décès officiellement déclarés. Beaucoup d’entre eux sont enregistrés à Toamasina et à Antananarivo.
Les épidémies antérieures montrent que les contacts communautaires sont difficiles à contrôler à Madagascar. Ils sont la source primaire des cas de décès vu la faiblesse du système de surveillance. Pire, l’acheminement des échantillons à analyser en laboratoire relève d’une tâche compliquée exigeant des journées entières. Du reste, la capacité financière du pays est très limitée pour répondre à tous les besoins. Près de 80 % du budget annuel du pays viennent encore des appuis budgétaires alloués par les partenaires.
Pays à faible revenu
Par exemple, la requête pour endiguer l’épidémie de peste en 2017 était seulement de 13 millions de dollars dont une large part était fournie par les partenaires. S’agissant de la requête pour la pandémie de Covid-19 en particulier, le budget nécessaire dans l’immédiat pour la réponse d’urgence à lui seul s’élève à 132 millions de dollars.
Il ne comprend pas encore les besoins financiers pour la protection et la couverture sociales qui sont en cours de finalisation dans le plan socioéconomique. Pour un pays à faible revenu comme Madagascar, il est impératif de contrôler la pandémie le plus tôt possible parce que ses conséquences socioéconomiques seront catastrophiques. Le ministère de l’Economie prévoit déjà une baisse drastique de la croissance économique à 1,5 pour cent pour l’année 2020, initialement estimée à 5,5 pour cent.
« Face à ce contexte, je lance cet appel d’urgence de 82,26 millions de dollars pour permettre aux acteurs à Madagascar de contribuer aux besoins les plus urgents pour sauver des vies et pour contenir rapidement l’épidémie afin de limiter ses désastreuses conséquences socioéconomiques », insiste Pr Charlotte Faty Ndiaye.
Recueillis par M.R.



Si la dernière valeur du financement de la lutte contre le coronavirus se chiffrait à 440 millions de dollars, le ministère de l’Economie et des Finances a mis à jour les informations, mercredi dernier. A l’heure actuelle, l’ensemble de cet appui financier arrive jusqu’à 598 millions de dollars. Mais toute cette somme n’est pas encore versée dans la caisse de l’Etat. 226 millions de dollars attendent encore l’approbation du conseil d’administration des partenaires tandis que d’autres sont en cours de négociation. Mais en général, les financements proviennent des Partenaires techniques et financiers (PTF) habituels comme l’Agence française de développement (AFD), le système des Nations unies, l’Union européenne, le Fonds monétaire international (FMI) ainsi que la Russie. Selon le rapport du ministère, l’Etat gèrera la majorité du budget pour aider la balance de paiement, équiper les laboratoires, appuyer toutes les activités dans la lutte contre le covid- 19 comme les ambulances, les équipements de protections individuelles, les kits de dépistage.
Il faut dire que la pandémie a vraiment touché de plein fouet la finance publique. Les dépenses sociales augmentent considérablement alors que les recettes de l’Etat diminuent à cause du ralentissement des activités économiques. C’est une des raisons pour laquelle le Gouvernement s’est tourné vers le financement extérieur. Selon le ministre de tutelle, Richard Randriamandrato, notre pays ne court pas encore le risque de surendettement. La dette publique représente 36% du Produit intérieur brut alors que la moyenne en Afrique est de 46%. 
Etant donné que l’affectation de ces ressources a auparavant créé une polémique auprès de la population, les députés, les sénateurs ou les membres de la société civile, la publication du rapport du financement dans la lutte contre le coronavirus entre dans le cadre de la transparence. Le document contient tous les détails du budget que ce soit le montant, les gestionnaires ou sa destination. Les informations sont disponibles dans le site web du ministère.
Solange Heriniaina


CUA, oui mais… !

Publié le jeudi, 11 juin 2020

La nouvelle équipe dirigée par Naina Andriantsitohaina, le nouveau maire, est à pied d’œuvre. En dépit d’une certaine attente, les actions entrant dans le cadre de la concrétisation du « Veliranon’Iarivo » démarrent.
Dès le soir du scrutin des communales et municipales jumelées du 27 novembre, la victoire de Naina Andriantsitohaina, candidat de l’IRK sur Rina Randriamasinoro du TIM à Tanà-Ville se dessine. En effet, selon les résultats officiels provisoires de la CENI, l’ancien ministre des Affaires étrangères obtint 48,97 % des voix contre 45,45 % de l’ancien secrétaire général de la CUA. Le verdict du Tribunal administratif (TA) du 11 janvier 2020 confirma la victoire de Naina au détriment de Rina et l’investit en sa qualité de maire d’Antananarivo, Capitale de Madagasikara.
Le partenariat avec la Fondation Axian permet à la CUA de relocaliser au centre d’accueil d’Anosizato les sans-abris qui squattent la ville. En fait, la dite Fondation entreprend la réhabilitation du centre et assiste la CUA dans les œuvres  sociales pour les besoins quotidiens des locataires du centre.
Pour garantir la visibilité de  la ville, redonner le blason de la Capitale et pour faire respecter la loi, l’équipe de l’exécutif de la CUA sous la houlette du maire et avec la bénédiction du Conseil municipal procède à des démolitions des constructions illicites qui, en fait, pullulent en plein centre de Tanà. Certaines de ces constructions … sauvages sont en dur mais la CUA, décidée d’en découdre, n’en fait pas de détail. Les conseillers TIM se rebiffent mais Naina et consorts ne reculent pas face à ce qu’ils qualifient de bordel dans la Ville des Mille. Il va falloir ou du moins commencer à faire table rase du passé anarchique d’Antananarivo. Et la réhabilitation des « lalan-kely » à l’intérieur des quartiers suit son court. En somme, la nouvelle équipe de l’Hôtel de ville de la Capitale travaille.
Cependant une zone d’ombre ternit le tableau ! L’insécurité. Les habitants ont l’impression d’être des laissés-pour-compte. Les bandits de tout acabit attaquent sans le moindre souci en plein jour. Les cash-point font  la cible privilégiée des malfrats armés. Les points de commerce tels les grossistes et même les petites épiceries paient de leurs vies à n’importe quel moment de la journée. Les Forces de l’ordre arrivent sur le lieu du crime, souvent tard. Des « médecins après la mort » ! Et on se demande « y a-t-il là-haut des responsables qui veillent à la bonne marche de la vie quotidienne, entre autres, la sureté de la population à Tanà ?
Les vendeurs informels sinon sauvages qui  occupent entièrement les trottoirs gênent la circulation. Les jeux de Colin Maillard entre ces hors-la-loi et la Police municipale irritent parfois les gens. La CUA semblent afficher, malgré elle, son impuissance face à l’ampleur du problème. Que dire de ces rabatteurs d’or le long du trottoir du lycée J.J. Rabearivelo. Ils sont là et ne comptent pas, parait-il, à déguerpir.
Certaines promesses électorales tardent à se réaliser. L’Easy Park continue d’exister bel et bien. Pourtant, les premiers mots de Naina, à la Gare, au démarrage de la campagne le concernent, « On va dissoudre Easy Park » ; « On devra renflouer la caisse de la Commune » avait-il déclaré. Et on attend !
Ndrianaivo


 

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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