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Actuellement, quatre responsables chinois au sein de l’entreprise d’exploitation de graphite dénommée Gallois à Marovintsy Vatomandry, sont gravement blessés. Certains des employés le sont également.  Mercredi, ces responsables de l’entreprise s’étaient affrontés avec les employés grévistes, des Malagasy. Des véritables batailles rangées au cours desquelles les Chinois ont utilisé des objets tranchants pour charger les salariés, qui ont répliqué à coups de pierres. Mais des villageois se sont mêlés aussi à l’affrontement. Il a fallu l’intervention de la Gendarmerie sur place afin de calmer les esprits. Les victimes se trouvent dans un état critique dont certaines souffrent de multiples fractures.

 

Malgré l’avancée de la technologie dans le monde, Madagascar est toujours en retard quant à l’utilisation de l’internet. A cause de la cherté de la connexion à domicile, la majorité de la population mise encore sur la connexion internet, qui, d’une part, est visible dans toute l’ile et de l’autre, à prix abordable. Cependant, l’utilisation de l’internet est au centre de tous les mouvements dans un pays comme l’éducation, la santé, la sécurité. Elle est inséparable avec l’éducation et notamment le système LMD. D’ailleurs, ce sont les universitaires qui sont les principaux usagers de l’internet. Il est alors important de promouvoir ce secteur dans le pays, et ce, à travers l’accessibilité à l’internet.

 

Après quelques jours de suspense total, la Justice a finalement prononcé sa sentence à la salle no 1 du Tribunal d’Anosy, hier. La directrice de publication d’un quotidien local et l’administrateur d’un compte sur facebook, tous deux accusés de diffamation et de diffusion de fausses nouvelles à propos du motif du survol du stade de Mahamasina par un hélicoptère de l’Armée,  quelques jours avant l’arrivée du Pape François, doivent s’acquitter chacun d’une amende de 10 millions d’ariary, et d’un franc symbolique à titre de dommage envers l’Armée malagasy.

Quelle chance !

Publié le jeudi, 19 septembre 2019

Coup de théâtre ! Ravalomanana Marc n’est pas candidat. Finalement, il décline l’offre des caciques du parti (TIM) et celle du RMDM (plate-forme de l’opposition) qui voulaient le propulser au starting-block à l’élection communale à Antananarivo prévue ce 27 novembre 2019. Le suspens aura duré jusqu’à la dernière minute, au son de cloche de la clôture. En fait, Ravalomanana mit à sa place un jeune de trente-trois ans, Ny Riana Tahiry Randriamasinoro, administrateur civil de son état et secrétaire général de la mairie en cours. Un illustre totalement inconnu du bataillon ! Apparemment, Ravalo a omis de consulter l’état-major du parti, entre autres les députés. Il les a mis devant le fait accompli.

 

Du pain sur la planche ! L'équipe du programme national « Fihariana », pour la promotion de l'entrepreneuriat des jeunes et des femmes a encore beaucoup de travail à faire. Depuis le lancement officiel, elle a en effet collecté en tout 70 284 dossiers de candidature des 22 Régions de la Grande île. « En tout cas, les premiers projets ont déjà pu démarrer au cours des derniers mois. Ils ont effectivement rempli toutes les conditions requises pour obtenir ledit financement. Et actuellement, 3 200 dossiers sont déjà au niveau de la banque.

En tant que membre du Gouvernement, Naina Andriantsitohaina a participé à son dernier Conseil des ministres, avant – hier. Aux dernières nouvelles, il s’est désormais libéré de sa fonction de ministres des Affaires étrangères pour pouvoir se consacrer entièrement à la campagne électorale en vue des prochaines communales et municipales prévues pour le 27 novembre. Une mise à disponibilité conforme aux dispositions légales puisque la loi n° 2003-024 du 13 août 2003 relative aux élections communales stipule dans son article 15 que le mandat d'élu au niveau des Communes est incompatible avec « l'exercice de fonction de : Membre du Gouvernement, secrétaire général, secrétaire général adjoint et directeur général, directeur général adjoint, directeur des institutions de la République et de ministères. Ils doivent démissionner au plus tard le lendemain de leur élection s'ils se portent candidats à l'élection des membres du Conseil ou du maire ».

 

Le Conseil du Gouvernement vient d'adopter mercredi dernier, après la première lecture, l'avant-projet de loi modifiant certaines dispositions de la loi 2016-029 du 14 juillet 2016 portant code de la communication médiatisée. La décision a été annoncée dans un communiqué pris par le ministère de la Communication et de la Culture signée par le directeur général de la communication hier. Dans sa missive, le MCC dirigé par Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo, à l'initiative de cette réforme tout est inscrit ou réinscrit  dans cet avant-projet de loi concocté par les patrons de presse et les journalistes dans tout Madagascar s'est félicité que « cet avant-projet de loi tel qu'il a été initialement présenté aux parties prenantes le 05 août 2019 a été approuvé par le Conseil sans aucun amendement majeur ».

 

LA UNE DU 20 SEPTEMBRE 2019

Publié le jeudi, 19 septembre 2019

Mardi dernier, un chef de famille de 45 ans fut grièvement blessé à la suite de son agression par un rabatteur ou « mpanera » et le fils de celui-ci. Les faits se sont déroulés à la gare routière d’Analavory Itasy. La victime était déjà dans le taxi-brousse pour rentrer chez lui lorsque le rabatteur en cause l’a obligé de sortir du véhicule et de monter dans un autre. Puisque le quadragénaire n’a pas voulu bouger d’un iota, l’agresseur supposé et son fils l’ont entraîné de force hors du véhicule.

 

L’homme de 46 ans qui est pointé du doigt pour une affaire de viol survenue le week-end dernier à Ambohidratrimo, et dont la victime est une jeune fille de 17 ans, sera déféré au Parquet ce jour. Hier, il a été toujours placé en garde à vue dans les locaux de la Brigade de gendarmerie à Mahitsy. Les faits. Vendredi soir dernier, des individus qui ont requis l’anonymat ont informé la compagnie de gendarmerie d’Ambohidratrimo à propos d’un cas de viol survenu dans la localité d’Ambohitrombibe, quartier d’Andakana. Là, deux jeunes filles âgées de 17 et de 20 ans en étaient les victimes dans un 4x4 de marque Hyundai Rexton. La plus âgée a réussi à s’échapper après que l’agresseur l’a brutalisée. Puis,  l’homme a emmené avec lui dans sa fuite celle qui est encore mineure. Plus tard, elle parvenait également à fuir. Nous reviendrons encore sur ces faits.

 

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Editorial

  • Mission délicate !
    Le second round de la négociation entre la France et Madagasikara sur les îles Eparses devait débuter à Paris dans la journée d’hier 30 juin 2025. La première étape de la rencontre entre les deux délégations avait eu lieu à Antananarivo en 2019, au Palais de Premier ministre à Andafiavaratra, tout juste en début du premier mandat de l’actuel Chef d’Etat Rajoelina Andry, et réélu pour un second mandat en 2023. La délégation malagasy conduite par la ministre malagasy des Affaires étrangères, Rasata Rafaravavitafika, composée de huit membres, devait rejoindre la capitale française pour être présente au rendez-vous fixé. Huit membres, des experts dans leur domaine respectif, qui ont la lourde tâche de présenter et défendre la cause nationale sur les îles Eparses. Madagasikara revendiquait depuis toujours du moins depuis la Deuxième République, la souveraineté de la Grande île sur ces « îles » tant convoitées et objet de discorde…

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