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Mois emblématique !

Publié le vendredi, 01 mars 2024

Le mois de mars pointe son nez. Troisième mois du calendrier grégorien, introduit par le pape Grégoire VIII en 1582, le mois de mars entre dans la période climatique charnière, le début du climat intermédiaire devant déboucher vers l’hiver, valable dans la zone géographique de l’Océan Indien  incluant Madagasikara. Mois difficile pour les sujets aux allergies chroniques. Mois chargé d’emblème thématique et porteur de message patriotique destiné aux générations d’aujourd’hui et de demain. Avec le mois de juin, le mois de mars, les deux à la fois d’ailleurs, sont les mois de l’année qui pèsent le plus sur l’attention des malagasy. 

Sous le thème « Préserver l'environnement, prospérer, léguer pour l'avenir », la Douane malagasy a inauguré son projet annuel de reboisement avec une approche novatrice axée sur le développement durable. L'événement, supervisé par le directeur général de la Douane, Lainkana Zafivavona Ernest, a réuni plus d'une centaine de représentants de divers partenaires, issus du secteur privé et public, ainsi que du ministère de l'Economie et des Finances. Au cours de cette initiative écologique, pas moins de 2.500 arbres fruitiers ont trouvé leur place dans la terre fertile. Parmi eux figurent 580 mandariniers, 530 papayers, 430 pommiers, 100 poiriers, 540 pêchers et 320 avocatiers. 

Une bonne nouvelle pour les artistes malagasy.  Les cinq projets culturels lauréats pour la deuxième promotion d’« Ony Booster » viennent d’être officiellement dévoilés. « Ony Booster » un programme créé en 2023 par Ahélya Randriambolaina et le rappeur français Orelsan avec l’ambition de soutenir le développement des industries culturelles et créatives à Madagascar. Parmi les nombreuses actions réalisées à travers ce programme, le « Booster » permet à de jeunes créateurs de bénéficier d'une année d’accompagnement avec un dense programme d'accélération comprenant mentorat, bourses, « Summer schools » et formations personnalisées. 

La Commune urbaine d’Antananarivo accueille un nouveau patron. Richard Ramanambitana a été nommé président de la délégation spéciale (PDS) d’Antananarivo suite au départ de Naina Andriantsitohaina, en janvier dernier pour intégrer le Gouvernement. La nomination du PDS a été officialisée par le ministère de l’Intérieur. Homme de confiance, réputé proche du Président Andry Rajoelina, Richard Ramanambitana a notamment occupé des postes de responsabilité au sein du QG de campagne du Chef de l’État. Il a aussi été nommé sénateur sur le quota du Président de la République. 

Jour J pour le « diplomacy forum 2024 » hier à Antalya, en Turquie. La cérémonie d’ouverture officielle s’est tenue hier au Nest Convention Center en présence du président Turc, Recep Taiiyp Erdogan. Un évènement majeur au cours duquel 19 Chefs d’Etat et de Gouvernement, dont le Président Andry Rajoelina, ont été invités. Près de 73 ministres des Affaires étrangères sont également présents à ce forum qui s’étendra sur trois jours et ce, autour du thème « promouvoir la diplomatie en temps de crise ».

La une du 01 mars 2024

Publié le jeudi, 29 février 2024

Gel !

Publié le jeudi, 29 février 2024


Détrompez-vous, par le mot « gel », il ne sera pas question de produit de … beauté ! Rassurez-vous, ce qui importe n’est pas du tout le luxe ni les futilités. En ces temps-ci où le pays va mal, le plus urgent consiste à relever la tête, redresser le corps et relancer les activités du développement. Et pour y parvenir, il va falloir resserrer la ceinture !
Le moment propice arrive de reconsidérer sinon redynamiser le sens du terme « austérité » pour adjuger dans sa juste valeur sa notoriété. Certains jugent que le terme « austérité » est un mot tabou de ce régime. La preuve, on l’a jamais mentionné, pas même une fois, dans les consignes ou les mesures à prendre. Certes, il y a eu des dispositions venant d’en haut enjoignant les responsables ministériels d’éviter les fastes cérémonies mais au fait, ce n’étaient que mesures timides.  On est tenté de croire que « resserrer la ceinture » ne fait pas partie de la culture à adopter et inscrite dans la bonne gouvernance du pays. Les termes empruntés à travers cette colonne paraissent être durs mais la réalité est là ! Quand on observe le train de vie que mènent certains hauts dirigeants du pays, on a l’impression de vivre dans des pays nantis. Il semble que personne, les hauts responsables, ne songe point restreindre les dépenses sortant de la caisse publique. Salaires et avantages extravagants, véhicules de grosses cylindrées, villas luxueuses, etc. Alors que le peuple vit dans la misère extrême. Ce que la Banque mondiale vient de publier, pour confirmation, dans son dernier rapport relatif aux indices de pauvreté de Madagasikara qui, selon cette respectable Institution de Bretton Woods, se dégradent. Et d’après les dires de l’ambassadrice près de la délégation européenne à Madagasikara, à l’issue d’une conférence de presse, dont certains propos frisent l’ingérence dans les affaires nationales mais toujours est-il qu’Isabelle Delattre ne s’inscrit pas en faux quand elle déclare que les routes nationales et les grands centres urbains se trouvent « déjà » dans un état de dégradation avancé. Sur ce point, il fallait reconnaitre qu’elle dit vrai ! A Antananarivo-ville comme dans les grands axes nationaux, RN 1, RN 2, RN 4, etc. l’état des routes accuse un état lamentable sinon honteux en dépit de supposées grandes réparations il y a quelques années.
Le Gouvernement malagasy vient de suspendre temporairement les recrutements des fonctionnaires. Veuillez bien noter le mot « temporairement ». Ceci étant, c’est une suspension qui ne cadre pas sur le définitif mais on ne sait pas jusqu’à quand ! Cela pourrait être du temporaire « définitivement ». En tout cas, c’est déjà encourageant de l’arrêter un peu. L’Etat ne peut ou ne doit pas donner éternellement l’image de recruteur. La caisse publique ne supportera pas toujours à la situation pléthorique du personnel de l’Etat. Il faudrait plutôt encourager l’essor du secteur privé comme étant pourvoyeur de travail. Evidemment, on avance des raisons techniques justifiant la décision mais la mesure prise vaut le coup. Le recrutement des Secrétaires d’Etat peut attendre. Chaque département doit assumer leurs tâches respectives.
Le gel des recrutements des fonctionnaires s’avère une nécessité. A chaque ministère de bien s’organiser pour le bon déroulement des affaires nationales. 
Ndrianaivo

Actu-brèves

Publié le jeudi, 29 février 2024

40 ha de terrain seront aménagés en un parc solaire géant à Tsimahabeomby. Un grand pas de plus a été réalisé dans la réalisation de projets énergétiques verts à Madagascar. En effet, la Commune d’Imerintsiatosika aura l’honneur d’accueillir un central solaire qui vise à s’ajouter au réseau électrique de la JIRAMA, mais également à desservir la ville nouvelle de Fieferamanga. Ce dernier fait partie du projet « Ankohonana Miarina » dont l’objectif est d’accueillir les familles nécessiteuses afin qu’elles puissent subvenir à leur besoin quotidien. La création du parc solaire a été entérinée par le Conseil des ministres du mercredi dernier. Ce projet fait partie des initiatives visant à mettre en œuvre des projets énergétiques dans un délai de 100 jours selon la politique du Gouvernement. Cette décision témoigne de l'engagement de Madagascar à développer des sources d'énergie renouvelable et à réduire sa dépendance aux combustibles fossiles. Le parc solaire de Tsimahabeomby représente un pas significatif vers un avenir énergétique plus propre et plus durable pour le pays.

USAID Madagascar a mis en terre 1 500 arbres autochtones et fruitiers hier. Cela vient s’ajouter aux 2 000 arbres plantés durant les deux dernières années. Les jeunes plants ont été achetés aux sœurs Ursulines de Sabotsy Namehana afin de les soutenir dans leur engagement à éduquer 45 orphelins et enfants abandonnés. Cette initiative de reforestation, organisée avec Sandandrano, contribuera à préserver les sols et à aider plus de 10 000 communautés locales d'Ambohijanaka à bénéficier de l'eau d'irrigation et d'eau potable. "Par le simple fait de planter un arbre, nous semons les graines d'un changement positif, favorisant un héritage qui transcende les frontières et les générations" », a souligné la cheffe de mission adjoint, Stephanie Arnold, lors de cette journée de plantation d'arbres. "En nous engageant dans cette initiative, nous atténuons non seulement l'impact du changement climatique, mais démontrons également notre engagement commun envers des pratiques durables".

Un pas de plus dans les relations militaires entre Madagascar et le Japon. Lors de la rencontre du ministre des Forces armées, le Général Sahivelo Lala Monja Delphin avec la commandante Keiko Kawashima, attachée à la défense auprès de l'ambassade du Japon, le 29 février, plusieurs sujets ont été abordés, dont la coopération en matière d'équipement des troupes de secours et la sécurité maritime. Les discussions ont également porté sur l'établissement de relations militaires entre le Japon et Madagascar, inexistantes jusqu'à présent, avec une volonté d'échanger des expériences et de collaborer dans des domaines d'intérêt mutuel. La visite de courtoisie du commandant Kawashima fait également suite à la nomination du Général de corps d'armée en tant que ministre des Forces armées, soulignant ainsi un échange d'honneur et de valeur militaire entre les deux nations insulaires.

Tentative d'assaut contre la localité d'Andekaleka-
10 membres du gang arrêtés les uns après les autres
. Un gang composé de 18 individus armés ont voulu faire incursion dans la localité d'Andekaleka, vers 18h, mercredi dernier. Mais grâce à la vigilance et à la ruse du fokonolona, la tentative des bandits a échoué. Mieux que ça ! Une bonne partie des agresseurs, soit dix, étaient tombés les uns après les autres dans le traquenard tendu à leur endroit.
Les agresseurs auraient commis l'erreur de s'infiltrer à Antanambao par petits groupes. C'était dans ces circonstances que trois d'entre eux étaient tombés rapidement dans le piège du fokonolona. Les quatres autres larrons furent capturés et séquestrés par le fokonolona, à leur tour. Il en fut de même pour les trois autres à Ambatovola, Moramanga. Les coups de filet des 10 suspects seraient les fruits d'une opération conjointe et tripartite fokonolona-police-gendarmerie. Par contre,huit autres seraient encore en cavale.

Toamasina
-Piège mortel
Deux auteurs tombent sous les balles de la Police
. Des coups de feu ont déchiré la tranquillité des habitants vers 2h du matin, hier, dans le quartier de Tanambao 5 à Toamasina. Sur le terrain, 2 cadavres de suspects gisaient sur le sol. Les éléments de l'UIR de la Police venaient de les abattre alors qu'avec leurs deux acolytes, les concernés, qui étaient armés, ont attaqué le passager d'un cyclo-pousse, en réalité un montage de la Police, juste à son passage sur la nouvelle rocade au niveau de l'école Séraphin à Tanambao.
Pourquoi montage ? Parce qu'en fait de passager, c'était en réalité un élément en tenue civile de l'UIR qui était sur le cyclo-pousse, histoire d'attirer les bandits dans un leurre. Ceux que la Police a éliminés, ont fait les objets de nombreuses plaintes pour des actes similaires.

Viol sur une malade mentale
-Le suspect atterrit à Tsiafahy. 
Actuellement, un homme, encore jeune a été incarcéré à Tsiafahy pour le viol d'une femme souffrant d'une maladie mentale. Lorsque les gendarmes étaient venus l'arrêter, le suspect aurait été pris en flagrant délit d'actes, selon une source de la Gendarmerie.
Tout a commencé le 25 février dernier lorsque les proches de la victime s'étaient alarmés en ne la voyant pas chez elle. Le lendemain même de cela, les gendarmes ont retrouvé ses traces, dans le domicile du suspect.



Une nouvelle affaire retentissante secoue la JIRAMA. Une affaire qui plonge la compagnie nationale dans l'obscurité d'un scandale financier.
Les sources d'informations officielles sont jusqu’ici silencieuses. Un épais brouillard entoure pour l'instant ce scandale. Ce sont des bribes d'information qui ont permis de savoir que cette semaine, une procession de hauts dirigeants de la compagnie aurait convergé vers Ambohibao, où le Bureau indépendant anti-corruption (BIANCO) mène des interrogatoires serrés. Quatre administrateurs et trois hauts cadres supérieurs se retrouveraient dans le collimateur des investigateurs, certains auraient même été placés en garde à vue. Le conditionnel est ici de rigueur.
L'affaire qui les accable tournerait autour d'une acquisition de groupes électrogènes, apparemment réalisée sans validation du Conseil d'administration et sans recours à un appel d'offres. Les premières indications suggèreraient l'utilisation d'un faux procès-verbal du CA pour débloquer les fonds nécessaires à cet achat controversé.
Des incohérences dans la procédure auraient soulevé des suspicions. Habituellement, entre la réunion du CA et la publication du procès-verbal, il s'écoule de 5 à 8 jours. Cependant, dans ce cas, seulement deux jours séparent ces deux événements, laissant présager une manipulation orchestrée pour hâter l'achat des groupes électrogènes.
Cette acquisition se serait en outre réalisée sans appel d'offres, par une acquisition directe, toujours d’après nos sources. Plus troublant encore, le fournisseur retenu n'apparaîtrait pas dans la base de données de la JIRAMA, constituée l'année précédente pour des achats du même acabit. De plus, ces équipements auraient été acquis à un coût deux fois supérieur au prix du marché, suscitant encore plus des interrogations. A ces éléments déjà lourds de conséquences s'ajouterait la non-conformité des groupes électrogènes aux normes requises.
Ce nouveau scandale ébranle encore plus la confiance envers la JIRAMA et soulève des questions sur la transparence de ses pratiques et la responsabilité de ses dirigeants. La compagnie, habituellement en charge de l'approvisionnement énergétique, se retrouve elle-même plongée dans une sombre panne de crédibilité. Le déferrement de cette affaire devant le Pole anti-corruption devrait se tenir ce jour.
La Rédaction

 

« La plupart des individus présentant des troubles mentaux n’ont pas accès à des soins efficaces ». Pourtant, les statistiques, bien que disparates, sont alarmantes en matière de troubles mentaux, de maladies mentales et d’épilepsie. Selon les informations recueillies, 23,4 % de la population malagasy ont des troubles mentaux. 47 % de la population dans la ville d’Antananarivo en souffrent, selon les résultats d’une étude réalisée en 2021. Les habitants âgés entre 15 et 25 ans en sont les principaux concernés. Cependant, le coût des soins semblent exorbitant, hors de portée de tout le monde. Une consultation relative à la santé mentale se facture entre 25.000 et 40.000 ariary. Ceci d’autant plus que les soins en santé mentale et ceux de l’épilepsie sont toujours classés « spécialisés ». A cela s’ajoute la nécessité d’un soutien psychosocial pour les patients, tant par leurs proches que les spécialistes. Le traitement et l’accompagnement psychologique durent des années, ce qui augmente les dépenses. De nombreux patients interrompent le traitement, faute de moyens.
Formation et réinsertion
La santé mentale se manifeste sous 3 formes, selon l’ONG Humanité et Inclusion (HI), à savoir la santé mentale positive, la détresse psychologique et les troubles mentaux. La première manifestation concerne la relation avec son corps et avec les autres. La détresse psychologique étant, quant à elle, réactionnelle. Certaines personnes peuvent vivre avec. Quant aux troubles et maladies mentaux, ceux qui les subissent en souffrent. Toutefois, ils endurent des discriminations et exclusions dans la plupart des cas. Raison pour laquelle le projet « Hifali » de HI mise sur la lutte contre l’exclusion de ces personnes ou encore sur l’insertion socioéconomique après leur guérison. Des formations professionnelles sur la fabrication de savon artisanal, la mécanique automobile, etc., ont été dispensées aux patients résidant à Antananarivo et Mahajanga. Certains d’entre eux sont actuellement opérationnels.
D’un autre côté, le projet « Hifali » a dispensé une formation pour environ 50 acteurs œuvrant dans la santé mentale. En perspectives, un curriculum en la matière, actuellement en élaboration, sera accessible pour les communautés, à l’exemple des agents communautaires, les travailleurs sociaux, les paramédicaux, les chorales, etc., à en croire Eugène Randriamampionona, chef dudit projet. Seule la Faculté de médecine aborde le sujet en ce moment.
Recueillis par P.R.



Rendez-vous du REMAPSEN
« Santé mentale et épilepsie : contextes et perspectives à Madagascar ». Tel a été le thème du rendez-vous du REMAPSEN Madagascar (Réseau des médias africains pour la promotion de la santé et de l’environnement), lequel s’est tenu hier au siège de l’Ordre des journalistes de Madagascar (OJM), sis à Ambohidahy. Une occasion d’informer et de s’informer sur ces deux sujets, depuis la prévention jusqu’au soutien psychosocial, en passant par la prise en charge. Deux spécialistes, composés d’un neurologue et d’une psychiatre, ainsi qu’un chef de projet de réinsertion et un chef de service de la santé mentale auprès du ministère de la Santé publique sont intervenus à propos de ces sujets pendant deux heures. L’objectif étant de susciter un changement de comportement de la communauté à l’égard des personnes atteintes de troubles mentaux ou d’épilepsie.
Faut-il noter que le REMAPSEN Mada regroupe une trentaine de journalistes engagés dans la promotion de la santé et de l’environnement.



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Editorial

  • Souci national
    L’équipe nationale de football, les Barea, touche le fond. Soit ! Un fait, une réalité que personne ne contredit point. Pas besoin d’une longue démonstration par A + B pour le constater. Il suffit de voir, d’écouter et de lire pour s’en rendre compte. Situation catastrophique qui défraie la chronique. En fait, notre Onze national devient un problème national, une honte nationale. Bref, un souci national que même les moins fervents au ballon rond en parlent.Le dernier match des Barea contre nos voisins les Cœlacanthes au cours duquel l’équipe nationale concéda la plus lourde des défaites avec un à zéro balaie définitivement nos espoirs. Un échec qui confirme le classement de la CAF comme quoi Madagasikara se trouve derrière les Comores. La « Grande terre », le dernier de la classe, est l’ombre d’elle-même !Le sport, la grande fenêtre qui ouvre un pays vers le monde extérieur, un tremplin qui…

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