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Entamées dans le cadre de l’application du Plan sectoriel de l’éducation (PSE). Plusieurs réformes sont attendues dans le système éducatif à Madagascar. La révision du programme scolaire et l’intégration de nouvelle série qu’est l’OSE (Organisation - Société - Economie) en font partie. Pourtant, des révisions s’imposent puisqu’aucun changement majeur n’a été constaté depuis la mise en œuvre du PSE en 2018, à en croire la ministre de l’Education nationale (MEN), Marie Michelle Sahondrarimalala.

 Forum et forum !

Publié le vendredi, 12 août 2022

Qui dit que le régime Orange a horreur ou a peur d’une concertation ou d’un forum ou d’un débat public ? Il va falloir revoir sa copie. Un pouvoir qui rejette le principe d’un échange voire d’un dialogue démocratique fait peur. On a tous les droits de se méfier d’un régime qui botte en touche de façon systématique la pratique d’une table ronde pour débattre de vrais problèmes et cela afin de dénouer une crise, une réelle crise qui bloque le fonctionnement démocratique  du pays.

Statu quo. Jusqu’à présent, l’évolution du renouvellement de l’accord de pêche entre la Grande île et l’Union européenne se fait désirer. Evoqué lors du dernier dialogue politique entre les deux protagonistes, le sujet a été mentionné comme étant parmi ceux qui seront mis en œuvre dans un avenir proche, en marge du nouvel instrument de coopération de l’Union européenne. « Les négociations de cet accord entre l’UE et Madagascar ont repris en juillet.

14 août 1837 - 14 août 2022. Jour pour jour. La commémoration du 185e anniversaire de l'exécution de la première martyre chrétienne malagasy, Rafaravavy Rasalama, se tiendra ce dimanche 14 août. Un événement qui entre également dans le cadre de la célébration du 185e anniversaire de la mise à mort des autres martyrs malagasy. Pour l'occasion, les organisateurs de l'évènement concoctent une commémoration qui se veut être singulière au temple FJKM Tranovato Ambatonakanga.

Faire de Madagascar un pays industrialisé et autonome. Cet engagement pris par le Président  Andry Rajoelina et inscrit aux Velirano 7 et 9 proposés aux électeurs malagasy a fait échos dans le monde entier. Une vision partagée par l’ONUDI qui  a déclaré  « 3e décennie du développement industriel de l’Afrique, la période de 2016 à 2025 ». L’engagement de Andry Rajoelina cadre avec cette déclaration de l’ONUDI qui, de cette période, récompense les dirigeants des pays africains qui œuvrent pour la promotion de l’industrie dans leur pays et au niveau continental.

Alors que les plaies laissées par les massacres survenus à Ambolotarakely Ankazobe et à Kelilalina Ifanadiana sont encore loin de se cicatriser, voilà que Tsapoka à Iabohazo, dans le District de Farafangan, a fait aussi parler de lui. Là, c’était une effroyable effusion de sang : 10 personnes ont été massacrées sauvagement aussi, vers 21h jeudi dernier. Le plus horrible mais aussi le plus cruel dans cette affaire, c’est que sept victimes sont toutes des enfants. Enfin, et pour le comble des atrocités, les assassins ont mis le feu sur les cinq cases d’habitation où furent domiciliées lesdites victimes.

LA UNE DU 13 AOUT 2022

Publié le vendredi, 12 août 2022

La une du 12 août 2022

Publié le jeudi, 11 août 2022

« Allez Ankoay ! »

Publié le jeudi, 11 août 2022

Alefa ! Alefa Ankoay ! Nos « Voromahery » filles et garçons prennent de l’altitude ! A deux doigts du sommet, ils confirment leur noble réputation d’être rois et reines de la hauteur.
Grâce à leur victoire respective à Antsirabe pour les filles et au Palais des sports Mahamasina pour les garçons, nos valeureuses équipes de basket sont en demi-finales. En effet, les Ankoay filles et garçons, disputant les matches qui entrent dans le cadre de l’AfroBasket U 18, ont porté haut jusque-là l’honneur et la dignité du pays. Les filles ont mis à plat les Tanzaniennes par un score sans appel de 61 à 58. Tandis que les garçons écrasèrent les Guinéens par une victoire nette de 59 à 47. Des « sans bavures » qui méritent félicitations et encouragement bien qu’on soit encore en cours de chemin vers le sommet.
Certes, on ne crie pas victoire car on n’est pas encore sorti de l’auberge. Tout de même, la prestation sportive des filles et des garçons nous révèle le talent et la capacité de nos jeunes à relever des défis. Le basketball a été un demi-siècle auparavant une source de fierté des Malagasy. On garde encore en mémoire, pour les aînés, la glorieuse équipe féminine de basketball des années 60-70. La légendaire équipe nationale féminine dirigée par la charismatique Arlette Law Kwan qui arrachait haut la main le championnat d’Afrique de basketball dames en 1970. La valeureuse bande à Arlette a mis à terre la grande équipe nationale féminine d’Egypte alors appelée la République Arabe Unie (RAU) comprenant l’Egypte, la Syrie et le Yémen. Les Oliva (Antsirabe), Lala kely (Tanà), Lilly be (Toamasina), Yock Line (Sambava), entre autres, sans oublier de citer le célèbre Directeur technique national (DTN) Jean Raelison, ils ont rehaussé sur le toit de l’Afrique la fierté des Malagasy.  L’héritage qu’ils ont légué à la génération d’après fera toujours écho.
Ceci étant, le sport en général et le basketball en particulier dispose dans son escarcelle de grands talents qui ne demandent qu’à être mobilisés. Les Barea ne sont et ne seront pas les seuls à remonter le moral de la troupe pour la gloire du sport malagasy. Mis à mal pendant de longues années, le secteur du sport nécessite un effort considérable.
Le département du sport et de la jeunesse doit faire preuve de tangible volonté politique de manière à ce que le secteur sport prenne réellement de l’envol. Nous l’avions souligné en haut que la jeunesse malagasy regorge de talents mais il faudra et surtout appuyer sur le bouton. On le sait qu’ailleurs le sport contribue efficacement à améliorer l’image d’un pays. Encore mieux, les performances sportives attisent la curiosité des autres, entre autres, à le visiter. Certains touristes s’intéressent à connaitre davantage sur le pays d’origine d’un tel ou tel champion du monde. Le Brésil, le berceau du football mondial, attire la curiosité des visiteurs fortunés. Grâce à la célébrité planétaire d’Usain Bolt, la « fusée sur piste », la Jamaïque occupe la scène mondiale et se fait attirer l’attention de tous. Non seulement sur le plan touristique mais aussi dans le domaine économique tout court. Les potentialités, nous en avons, il suffit de les exploiter à bon escient.
Allez Ankoay et bonne chance !
Ndrianaivo




« L’accès des élèves dans les établissements scolaires publics, que ce soient les EPP, CEG et lycées, doit être exempt de tout droit d’inscription ou de réinscription ». La note circulaire émanant du ministère de l’Education nationale (MEN) en date du 9 août dernier, le précise. Cette note détaille les directives relatives à l’organisation de la rentrée scolaire 2022-2023. La date y afférente est, rappelons-le, fixée pour le 5 septembre et ce pour tous les établissements publics et privés. Autrement dit, la note ministérielle confirme qu’aucun droit d’inscription ne devra être payé auprès des établissements publics. Toutefois, les parents peuvent se proposer d’apporter leur contribution dans la bonne marche de l’école, comme le précise la note circulaire N° 2021/028/MEN-SG en date du 11 février 2021. Cette contribution devra être fixée par un commun accord avec les parents d’élèves lors d’une l’assemblée générale. Pour l’EPP de Tanjombato, cette cotisation est maintenue à 30.000 ariary par parent. Cette contribution parentale est fixée à 55.000 ariary pour les anciens élèves contre 65.000 ariary pour les nouveaux inscrits au lycée d’Analamahitsy. Quant au CEG de Nanisana, le directeur de l’établissement n’a pas voulu nous communiquer le montant de la cotisation parentale. Celle-ci couvre, notons-le, le paiement du salaire des enseignants FRAM et celui des gardiens ou encore une partie du fonctionnement des établissements. 

Les préparatifs vont bon train

Les inscriptions et réinscriptions sont actuellement dans bon nombre d’établissements scolaires publics. C’est le cas de l’EPP de Tanjombato, où l’inscription a débuté depuis lundi dernier et ce jusqu’à la rentrée scolaire, prévue en début septembre. « L’arrivée des parents d’élèves se fait encore rare. La plupart d’entre eux attendent la fin du mois pour passer aux inscriptions, notamment en raison de leur retard au paiement des cotisations parentales », informe Paul Mallory Randrianarivelo, directeur dudit établissement dans la Circonscription scolaire (CISCO) d’Antananarivo-Atsimondrano. Pour le Collège d’enseignement général (CEG) de Nanisana, les inscriptions et réinscriptions se feront jusqu’au 19 août prochain tandis qu’elles sont déjà bouclées depuis le 8 août pour le lycée d’Analamahitsy. Toutefois, les responsables de cet établissement accueilleront encore lundi prochain les retardataires pour faire des inscriptions et réinscriptions, d’après le proviseur, en la personne de Léa Clarisse Rahantamalala. Dans la majorité des établissements, certains parents ont sollicité les responsables d’attendre le paiement de leur salaire pour régler les cotisations durant les réinscriptions. Une demande prise en compte, avec la situation actuelle…

Patricia Ramavonirina


 

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Editorial

  • Education complète !
    Un sujet délicat ! Une initiative pilote mise sur les rails par le département de l’Education nationale (MEN) en partenariat avec le Mouvement malagasy pour le planning familial (MMPF) dans le cadre du Programme d’appui aux droits et la santé sexuelle et reproductive (PADSSR) dont le lancement officiel s’est tenu ce lundi 5 mai à Antaninarenina – Antananarivo. L’initiative vise à étoffer les jeunes y compris les adolescents (élèves) sur les risques qu’ils encourent dans les aventures précoces aux rapports sexuels. En effet, le projet pilote a pour but de réduire les grossesses prématurées, la propagation des infections sexuellement transmissibles (IST) qui ont malheureusement tendance à s’intensifier surtout dans les milieux populaires et de promouvoir l’autonomie des jeunes en matière de santé reproductive. Louable initiative !

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