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La bataille sera rude. Dix équipes ont pu échapper à la première phase de la ligue des champions D2 sur les 22 ligues. Hormis Androy, Sava et Melaky qui n'ont pas de représentants dans cette phase, seule la ligue Analamanga compte deux équipes dans la course. La Fédération malagasy de football a dévoilé la liste des dix clubs rescapés. Pour rappel ce sont les deux premières équipes des quatre poules, lors de la phase 1, qui sont qualifiées pour cette phase 2.

 

Du remous du côté du Pôle anti-corruption ou PAC aux 67ha, hier. L'ancien ministre de la Communication et des Relations avec les institutions malagasy, Harry Laurent Rahajason alias Rolly Mercia, aurait été aperçu avec certains de ses co-accusés dans les couloirs de la Cour d'Appel de ce pôle, selon une source. Motif : faire une démarche pour tenter d'obtenir une liberté provisoire, et ce, pour la énième fois, après leur condamnation pour atteinte à la Sûreté de l'Etat, une affaire qui remonte en juillet dernier.

 

Auparavant considéré comme une pathologie de la soixantaine. L'accident vasculaire cérébral (AVC) affecte ces derniers temps davantage de jeunes « Des jeunes âgés de moins de 40 ans font partie des patients atteints de l'AVC qui suivent des traitements, hospitalisés ou opérés auprès de notre service. De nombreux facteurs favorisent la hausse des cas d'AVC, entre autres la consommation d'alcool et de tabac, le surpoids, le stress quotidien surtout en ville ou encore l'hygiène de vie laissant à désirer. Toutefois, l'hypertension artérielle (HTA) constitue la principale cause de l'AVC. Ce dernier peut être ischémique, c'est-à-dire que les vaisseaux sanguins de la victime sont bouchés.

Plusieurs box et kiosques illicites démolis, des anciens lieux de commerce transformés en jardin public. L'assainissement continue dans la ville d'Antananarivo et cela concerne actuellement les tenanciers de bouffe-mobile. Ayant été confrontés durant des années à des grandes difficultés dans la régularisation de leur situation, une dizaine d'entre eux ont signé un nouveau contrat. Valable durant 3 ans, la signature de convention entre les deux parties s'est tenue jeudi dernier à l'Hôtel de ville à Analakely.  

Le mal-être social profond

Publié le vendredi, 04 décembre 2020

Les escrocs pullulent ! Les bandits de grand chemin fourmillent ! Les violeurs de tout acabit grouillent. Les corrompus et corrupteurs règnent en maître, etc. Des ravages en découlent. Le mal-être ronge la société malagasy, en général, qui en fait accuse une allure de décadence. Le mal rampe et arpente pour atteindre le haut de la morale.

 

La coalition « Publiez ce que vous payez » (PCQVP), dirigée par Transparency International Initiative Madagascar (TI-IM), a publié un rapport d’une enquête qu’elle a menée à propos de la pollution de l’eau à Mandena. La présentation officielle s’est tenue hier au centre Arrupe, Faravohitra. Selon Ketakandriana Rafitoson, coordinateur général, 52 % de la population interrogée dans les fokontany de Mandromondromotra, Emanaka, Andrakaraka, Amparihy et Ampasy Nahampoana puisent de l’eau servant à la cuisine et l’hygiène au niveau des eaux de surface provenant des rivières, des cours d’eaux, des ruisseaux situés autour du site.

En raison du tarissement de l’eau au barrage d’Andekaleka, la JIRAMA a dû procéder au cours des deux derniers jours, à ce qu’elle appelle « une opération d’effacement ». Cette opération consiste notamment à couper l’alimentation en électricité dans plusieurs quartiers de la Capitale pendant à peu près deux heures, parce que la production d’électricité ne suffit pas à répondre aux besoins de tous les usagers de la société d’eau et d’électricité dans cette zone. Les réserves d’eau approvisionnant la centrale hydroélectrique d’Andekaleka sont pratiquement à sec actuellement. Pourtant, celle-ci fournit près du tiers de la production d’électricité dans le Réseau interconnecté d’Antananarivo.

Le prix de référence du « kapoaka » de riz importé est dorénavant de 550 ariary, soit moins de 2000 ariary le kilo. La décision a été annoncée par le Premier ministre Ntsay Christian hier. Ce fut en marge d'une réunion de crise sur le prix du riz organisée au Palais d'Etat de Mahazoarivo. En effet, une réunion a été convoquée par l'Exécutif face à la hausse du prix du riz sur le marché intérieur. Une hausse qui impacte grandement sur le pouvoir d'achat des ménages qui relève à peine la tête suite à la crise sanitaire provoquée par la Covid-19.

 

L’heure est au bilan pour l’Armée malagasy. Depuis jeudi et jusqu’à hier, les hauts responsables au sein de l’Armée malagasy ont effectué un grand rassemblement à Ambatomirahavavy. Une rétrospective sous forme de rapport d’activités au cours de cette année 2020 a été au programme. Présent lors de l’ouverture de cette réunion hier, le Premier ministre Christian Ntsay a fait part de sa reconnaissance pour les actions entreprises par l’Armée tout en rappelant les mots d’ordre en matière de sécurité.

 

LA UNE DU 05 DECEMBRE 2020

Publié le vendredi, 04 décembre 2020

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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