Le vent en poupe, la Première dame malagasy, une référence en termes d’œuvres sociales auprès des populations vulnérables et fragiles, victimes des injustices sociales diverses, se voit sollicitée de tous les côtés. Les organismes internationaux, du système des Nations unies manifestent leurs intérêts face aux actions sociales engagées par Mialy Rajoelina. Convaincus de l’efficacité des interventions auprès des gens en situation de précarité, FNUAP et OMS sollicitent la bienveillance de Mialy Rajoelina, la Première dame, à prêter main forte au profit de leurs actions.
Le Fonds des Nations unies pour la Population (FNUAP) qui soutient essentiellement les actions de santé reproductive des femmes et des jeunes filles demande à la Première dame Mialy Rajoelina de bien vouloir accepter d’être ambassadrice du FNUAP dans la lutte contre les Violences basées sur le genre (VBG). Une sollicitation que Mialy accepte volontiers. Et tout le pays reconnait en elle cette volonté inaltérable d’être davantage plus près des concitoyennes en souffrance. Elle fait de ce combat contre les VBG une affaire personnelle de même que le sinistre mariage précoce forcé mettant en péril l’avenir des adolescentes malagasy dans certaines régions de l’île.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) emboîte le pas. Elle sollicite la Première dame Mialy Rajoelina de bien vouloir parrainer les actions de vaccination sur toute l’étendue du territoire national. Soulignons qu’à un certain moment, les parents malagasy, en particulier ceux des régions reculées, étaient un peu réticents à faire vacciner leurs petits. Des rumeurs malveillantes accusant le vaccin comme étant dangereux pour la santé des enfants ont empoisonné les efforts. L’implication directe de l’épouse du Président de la République contribuera efficacement à inverser la vapeur. Les faits constatés sur terrain ne l’ont pas contredit d’ailleurs.
Le pays n’a rien à envier de la prestance de la célébrissime Michèle Obama, l’ancienne Première dame des Etats-Unis d’Amérique. De toutes les Premières dames malagasy qui se sont succédé au Palais, aucune ne peut prétendre avoir l’étoffe ni l’envergure sinon le rayonnement de la présente locataire d’Iavoloha. On est en présence d’une référence vivante de Première dame. Une véritable Mère de la Nation ayant le sens du devoir pour le bien de ses « enfants ». Qui ose dire le contraire !
Ndrianaivo