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Les femmes sont au cœur des équilibres familiaux, culturels, sanitaires et sociaux. A ce titre,  leur autonomisation est l’une des clés indispensables au développement économique de la société malagasy. Mais dans ces domaines, beaucoup d’efforts restent à entreprendre  pour que les femmes aient ces chances d’entreprendre en toute liberté.

Coup d'accélérateur !

Publié le dimanche, 07 juillet 2019

Akinwuni Adesina, le président de la Banque africaine de développement en visite officielle dans la Grande Ile, donna un coup de pouce décisif à la mise en œuvre de l'Initiative pour l'Emergence de Madagascar (IEM). Prêt à soutenir, à fond, le jeune Président de la République Malagasy, le président la BAD confirme sa détermination à apporter l'assistance financière et technique nécessaire.

 

De l'or bleu. Le secteur maritime possède une potentialité économique colossale. Une conférence s'est tenue à l'Alliance française de Tananarive (AFT), Andavamamba, samedi dernier durant le Salon de la mer. Lalaina Rakotoarisoa, consultant économique, spécialiste en macroéconomie, a ainsi minutieusement détaillé les impacts de l'économie marine sur la croissance en prenant l'exemple du secteur pêche. En effet, la majorité de la population, à savoir les couches vulnérables, pratique cette activité.

Dirigeants de SAMADA - De mauvaise foi jusqu'au bout

Publié le dimanche, 07 juillet 2019

Vendredi dernier, après qu'ils furent notifiés par le directeur général par intérim de l'ACM de la décision du ministère de tutelle transférant à la société CSPI-M (Compagnie de sécurité privée et Industrielle-Madagascar) la mission de sécurité et de sûreté des principaux aéroports de Madagascar, activité auparavant  exercée par la SAMADA (Sureté Aéroportuaire de Madagascar), les représentants de cette dernière ont quitté la réunion sous le prétexte de se concerter brièvement pour ne plus y revenir. Il faut savoir pourtant que, vu la nécessité  d'assurer impérativement la continuité de l'activité, une passation en bonne et due forme entre les prestataires sortant et entrant était requise.

 

Les efforts actuels en vue de combattre la corruption à propos des contrôles techniques des voitures pour trancher sur leur aptitude à circuler ou non, ont porté leurs fruits. Ainsi, deux réseaux supposés de faux spécialisés dans la falsification des dossiers nécessaires lors des visites techniques, venaient d’être démantelés. Au total, 8 suspects avaient été interpellés. Trois suspects sont accusés d’avoir fourni à des usagers des certificats de visite technique parallèles, c’est-à-dire des octrois de faux documents en dehors du centre de contrôle officiel des véhicules. Selon la Gendarmerie, 5 d’entre eux sont soupçonnés d’avoir délivré des fausses attestations de véhicules au transport à titre onéreux.  

LA UNE DU 08 JUILLET 2019

Publié le dimanche, 07 juillet 2019

Plus de 38 milliards d’ariary. Tel est le montant des impôts et taxes que la société SAMADA s’est abstenu de verser dans les caisses de l’Etat. Un tel arriéré n’a pu être cumulé que sur plusieurs années. Autrement dit, les dirigeants de cette société se sont superbement foutus des autorités malagasy en général et celles fiscales en particulier. Et ce depuis 2014, date à laquelle elle a commencé ses activités sur le territoire national. Et c’est ce qui sans doute serait à la source d’interdiction de sortie du territoire (IST) prise par les autorités actuelles à l’encontre  de certaines têtes de la SAMADA. Une telle effronterie ne peut s’expliquer que par une collusion avec des barons de l’ancien régime. Avec le recul, on serait tenté d’accorder du crédit à la rumeur qui court selon laquelle l’ancienne Première Dame serait un associé au sein de cette société et c’est la raison pour laquelle certains dirigeants de celle-ci ont bénéficié d’une totale immunité malgré leurs frasques et les propos de lèse-majesté qu’ils proféraient régulièrement en public. Dans tous les cas, cette évasion fiscale de grande envergure a certainement un lien avec la mise sous scellé des matériels de la SAMADA intervenue mercredi dernier et, consécutivement, son éviction de la mission de sécurisation des principaux aéroports de Madagascar et du transfert de cette activité, depuis hier, à la CSPI-M en vue  d’en assurer la continuité.

Encore une victoire. C’est le cri de cœur que les millions de malagasy éparpillés dans le monde entier lancent à leur sélection nationale à la veille du match, ô combien capital, du second tour de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2019.  C’est effectivement demain à 19 h, heures de Madagascar, que les Barea disputeront pour la première fois de leur histoire une rencontre à élimination directe dans une phase finale  de la CAN dont c’est également leur première participation. Une belle performance que seules quelques nations, trois au plus, ont pu réaliser dans  cette épreuve phare de la Confédération Africaine de Football (CAF). Et cerise sur le  gâteau, la sélection nationale malagasy est la seconde équipe en 55 ans à ne pas avoir perdu ses trois premières rencontres à la CAN pour une première participation. Et avec la victoire inattendue face au Nigeria (2-0), une archi-favorite, au dernier match de groupe, les Malagasy ont de quoi être fiers de leur Barea. Cependant, bien que la satisfaction ne soit pas en ce bas monde, tout un peuple demande un peu plus à sa sélection. C’est de se qualifier en quarts de finale de la compétition aux dépens de la RD Congo. Rien de plus afin de laver pour de bon l’affront que cette dernière a infligé à l’équipe malagasy lors des éliminatoires de la CAN 2017 où la double confrontation a tourné en faveur des Congolais avec un lourd score  au match retour disputé à Mahajanga,6-1.

La saga judiciaire entre la société CSPI-M (Compagnie de sécurité privée et Industrielle-Madagascar) et la SAMADA (Sûreté Aéroportuaire de Madagascar) vient de connaître enfin son épilogue. Depuis hier, en effet, la mission de Sécurité et de sûreté des huit principaux aéroports de Madagascar a été de nouveau confiée à la CSPI-M, à laquelle la SAMADA s’est indûment substituée depuis octobre 2014. Cette issue intervient après une longue bataille judiciaire  qui a vu les défaites successives de la SAMADA depuis la première instance jusqu’à la Cour de cassation en passant par la Cour d’Appel. Rappelons que l’affaire a trait à un contrat BOT de sécurisation des principaux aéroports de Madagascar dont l’exécution a été  confiée à une société  spécialement créée à cet effet, la CSPI-M. Compte tenu de l’importance des investissements, appel a été fait à un partenaire mauricien, le Durban International traders Ltd, lequel avait injecté la somme de 1.000.000 d’euros.  La suite va être ahurissante.  En effet, sous un prétexte purement fallacieux, les partenaires de  Durban International traders  Ltd ont créé la société SAMADA qui, en un tournemain, va se substituer à la CSPI-M dans l’exécution du contrat BOT. Du jour au lendemain, le siège social de CSPI-M est devenu celui de SAMADA, il en est de même pour les membres du personnel du CSPI-M dont on a seulement changé les écussons, ainsi que les mobiliers,  documents administratifs, matériels et équipements appartenant à la CSPI-M.

A bloc … !

Publié le vendredi, 05 juillet 2019

« Alefa Barea ! » Le Onze national affrontera demain dimanche 7 juillet au stade d’Alexandrie (Egypte) l’équipe nationale de la République Démocratique du Congo (RDC), les Léopards. Les 25 millions de malagasy, du moins ceux qui portent dans le cœur et  dans le sang l’amour, la fierté, l’unité nationale et l’honneur de Madagasikara s’aligneront tous derrière les Barea, et cela, pour le soutenir à bloc. L’équipe avec qui nos champions devront faire face ce dimanche au stade d’Alexandrie, en dépit de sa réputation de robustesse et d’une rapidité ou vitesse de jeu, n’est pas du tout un « mur » infranchissable à nos « boy kely ». Certes, en 2017, lors des phases éliminatoires de la CAN, les Léopards ont écrasé les Barea par 6 buts à 1 à Mahajanga. Franck Rajaonarisamba, l’entraîneur à l’époque, reconnait les défaillances à relever. Mais, au vu du niveau actuel de notre équipe nationale, la RD Congo se trouve techniquement à notre portée. Il n’y a pas de souci à se faire sans, bien entendu, sous-estimer l’adversaire. En battant haut la main le Nigeria, un mondialiste et triple champion d’Afrique, beaucoup reste à faire pour les Barea et certainement le plus dur n’est pas encore derrière nous. L’heure de la vérité est arrivée! Madagasikara doit prouver que malgré les vicissitudes de la politique politicienne, l’unité de son peuple existe et vit toujours. La Grande île est le rare pays d’Afrique d’avoir l’usage d’une langue commune, le Malagasy, dans toute l’étendue du territoire national, le « ciment » qui scelle l’unité du pays. C’est le moment où jamais de montrer aux yeux du monde que le peuple malagasy est un et indivis. Aussi, faut-il resserrer les rangs autour de nos héros. Ils en ont réellement besoin. On dit souvent qu’un « peuple uni vaincra ! »

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Editorial

  • Quelle marge de manœuvre ?
    Dans sept jours francs à compter de ce jour se tiendra le second round de la négociation relative au sort réservé des cinq îles Eparses : Juan de Nova, Europa ou Ampela, les Glorieuses ou Sambatra, Bassas da India ou Bedimaky et Tromlin ou Loza. La première phase du dialogue se tenait en 2019 à Antananarivo. D’aucuns n’ignorent que la réunion se terminait en queue de poisson. Chacun campe sur sa position.

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