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Un jeune homme prénommé Hasina a disparu du circuit depuis jeudi dernier. Il a piloté un scooter de marque Cygnus phase 2 type 3 injection, lequel demeure également introuvable, depuis. Comme le mentionne ce communiqué que le propriétaire du deux-roues a diffusé sur les réseaux sociaux, le concerné a commencé à ne plus donner signe de vie en fin d'après-midi, jeudi dernier. Ce jeune homme n'a même pas de carte d'identité tandis qu'il n'avait pas aussi les papiers de cette moto au moment des faits. C'est que le propriétaire du deux-roues, et non moins employeur du jeune porté disparu, déclare avoir oublié ces documents nécessaires dans une autre moto qu'il utilise personnellement, à part la Cygnus qui a disparu avec le jeune Hasina.
Raison de plus pour s'inquiéter davantage à propos de ce jeune homme. Car selon toujours notre interlocuteur dépossédé, qui a partagé la nouvelle de la disparition du premier, Hasina n'a pas eu un accident et que la Cygnus en question n'a pas été mise en fourrière, et ce, après une vérification du
 propriétaire.
Le plaignant dans l'affaire a donc quelques hypothèses sinon un soupçon pour tenter de donner une explication à propos de ces disparitions soudaines. D'abord, des personnes auraient informé le propriétaire de cette moto sur le fait que le jeune Hasina aurait une fâcheuse habitude de se comporter de cette façon surtout quand il est question d'argent. En effet, le propriétaire de la Cygnus lui a confié 80 000 ariary pour acheter des pièces. Et quelques moments avant que Hasina ait commencé à ne plus donner de nouvelle de lui, tous les deux ont eu encore une conversation téléphonique".

C'est qu'à l'autre bout du fil, Hasina, déjà en compagnie du mécanicien en charge de l'installation de ces nouvelles pièces, aurait déclaré qu'il manque encore 30 000 ariary pour obtenir les pièces. Ce à quoi, le propriétaire lui rétorque qu'on lui a donné 80 000 ariary, et qu'il n'y a aucune raison de s'en plaindre. Et qu'il lui fallait simplement recompter la somme qu'il a sur lui. Sur ce, Hasina était d'accord pour refaire ses comptes et a déclaré que ce dernier était finalement bon. Et c'était à partir de ce moment que le jeune homme était injoignable.
Revenons donc aux craintes sinon hypothèses avancées par le propriétaire.
Primo, avec la sinistre réputation d'un présumé joueur invétéré de jeux de hasard, notre source craint donc que ce dernier aurait dépensé au jeu, et qu'il n'a plus osé retourner chez son employeur. Deuxio, la plus pessimiste voire terrible hypothèse, c'est qu'on soupçonne au jeune homme d'en faire de la Cygnus un taxi-moto, et que le voleur l'aurait assassiné pour le deux-roues. Enfin le vol : le suspect aurait vendu la Cygnus qu'il a préféré prendre ensuite le large. En tout cas, tout cela n'est qu'une hypothèse. Mais une chose est sûre : le jeune Hasina reste toujours introuvable depuis maintenant plus de 48h.
Orphelin de père, Hasina vient de Sabotsy-Namehana. Pour survivre, il fait alors de petits boulots. Le dernier en date, c'est qu'il se portait volontaire pour se mettre au service d'un haut fonctionnaire de la justice, du moins pour faire les courses avec une moto. En bref, son employeur a confiance en lui, et l'aurait considéré comme un membre de sa famille. Affaire à suivre.
Franck R.

A vos marques !

Publié le vendredi, 14 juillet 2023


Le Gouvernement publie le calendrier de l’élection présidentielle. Le décret pris par l’exécutif entérine la proposition de la CENI. Le premier tour aura lieu le 9 novembre tandis que le second, au cas où, le 20 décembre 2023. Contre toute visée de certains détracteurs, le scrutin pour la course à Iavoloha aura bel et bien lieu cette année. Le pays aura certainement et effectivement un président élu en janvier 2024. On est bien dans un Etat de droit !
Après avoir fait attendre les impatients, les inquiets et les pressés, Ntsay Christian le Premier ministre, Chef de Gouvernement, en personne donne le signal de départ.
Le Code électoral malagasy, en vigueur, n’autorise pas mais n’interdit pas non plus les activités politiques de la pré-campagne. Il laisse à la bonne appréciation des futurs postulants et les états-majors politiques le soin d’agir selon leur convenance tout en respectant de façon stricte le prescrit de la loi en vigueur. Donc, au fait, la voie est libre mais dans un cadre légal précis.
Le Gouvernement donne le coup d’envoi de la course pour le trône de la magistrature suprême du pays. Il s’agit exactement du maitre des céans du troisième mandat présidentiel de la Quatrième République.
Rajaonarimampianina Rakotoarimanna  Hery Martial fut le premier président de la Quatrième République. Il entra en fonction le 24 janvier 2014 après avoir été solennellement investi à Mahamasina. Son mandat fut émaillé de scandales, des malversations financières et divers aspects de détournements dont l’axe central tourne autour de la Première Dame, son épouse. Des « prédateurs » inassouvis évoluent au sein de la sphère du pouvoir central. Le minable score (7,8 %) obtenu en 2018, une débâcle qu’aucun président africain candidat à sa propre succession n’aurait obtenue en pareille circonstance, le justifie amplement.
Rajoelina Andry Nirina prend le relais à partir du 19 janvier 2019. Deuxième Président de la Quatrième République, Rajoelina Andry assisté de son épouse Mialy Rajoelina, la Première Dame, dirige le pays jusqu’au terme de leur premier mandat avec les efforts nécessaires. Les détracteurs ne leur ont donné l’occasion de souffler. Des hauts et des bas ponctuent le régime Orange. Malheureusement, des affaires de détournements, de vols et de mauvaises gestions tant dans certains Etablissements à caractère public que dans l’Administration en générale ternissent, au final, l’image de marque de l’homme fort d’Iavoloha. Sans parler des fuites, sans suites, de certains hauts responsables. Toujours est-il que le mandat de l’actuel locataire, probablement candidat à sa propre succession, peut fièrement faire état de plusieurs réalisations, par le biais des infrastructures « manara-penitra » que d’autres avant lui n’ont pu effectuer. Beaucoup ont été concrétisés mais beaucoup aussi reste à faire ! Raison pour laquelle, selon toute probabilité, que Rajoelina Andry se présentera comme candidat pour le second mandat pour parachever. Evidemment, la question de double nationalité, un faux débat, ne se pose pas en tant qu’obstacle.
Ainsi donc, à vos marques ! La course est lancée ! Le calendrier étant affiché publiquement, il appartient à chaque état-major politique de se positionner. Comme disent les confrères, il n’y a pas de la place pour les aventuriers. Hormis les critères exigés pour que le dossier soit recevable, la caution révisée à la hausse n’offre aucune chance aux farfelus.

Le talent malagasy se fait découvrir à l’étranger. Diverses expositions consacrées à la photographie se déroulent actuellement en France ou encore à Londres (Royaume-Uni). On notera particulièrement l’événement « Tate Modern » qui se déroule à Londres et auquel Malala Andrialavidrazana y participe. Il s’agit d’une nouvelle exposition imaginée par le commissaire Osei Bonsu qui réunit 36 artistes utilisant la photographie pour imaginer la nouvelle place de l’Afrique dans le monde.
L’artiste malagasy, Malala Andrialavidrazana expose trois œuvres, dont une récente tirée de sa série « Figures » débutée en 2015. Architecte de formation, cette artiste pioche dans l’iconographie des atlas, cartes postales, billets de banque, pochettes d’albums, timbres, drapeaux,… pour construire des collages visuels dessinant des récits qui ont l’Afrique et l’océan Indien comme territoires. Avec ses œuvres, Malala Andrialavidrazana tente d’écrire, à partir de l’imagerie populaire occidentale, une contre-histoire du continent et de ses peuples.
En outre, six photographes malagasy feront également une exposition de photographies documentaires à la galerie « Aux Docks d’Arles » située en France. Il s’agit d’une manifestation baptisée « From Antananarivo to Arles », concoctée par le photographe professionnel Rijasolo et la commissaire d’exposition Marie Lelièvre. Grâce au soutien du Fonds Yavarhoussen, cette autre exposition va permettre à six photographes malagasy de la nouvelle génération de montrer leur travail durant les Rencontres de la photographie d’Arles, un grand rendez-vous international des photographes et amateurs de photographie.
Près de 140 images seront exposées durant un mois dans la galerie « Aux Docks d’Arles ». Les commissaires ont choisi ces œuvres dans le travail de Miora Rajaonary, Henitsoa Rafalia, Viviane Rakotoarivony, Christian Sanna, Ako Randrianarivelo et bien sûr Rijasolo qui exposera sa série « La guerre du zébu », laquelle a reçu l’an dernier un prix « World Press Photo Award ». L’événement se tiendra du 19 juillet au 19 août au 44, rue du Docteur Fanton, Arles (France).
Par ailleurs, l’exposition « Lamba forever mandrakizay » qui se déroule à « Hakanto Contemporary » imaginée par les trois commissaires Joël Andrianomearisoa, Ludonie Velotrasina et Rina Ralay-Ranaivo invite aussi le public de la Capitale à y jeter un œil. Sur les lieux, le public découvrira une nouvelle facette de l’écrivain Jean-Luc Raharimanana. On connaissait l’auteur de « Tisser » ou des « Rêves sous le linceul » ou encore le  co-scénariste de « l’Ile Rouge », un film de Robin Campillo. Cependant, à « Hakanto Contemporary », cet écrivain malagasy présente pour la première fois une série de dessins originaux extraits de ses carnets de notes pour la préparation de ses écrits, « des ratures sans prétention dans lesquelles il habille ses pulsions, déshabille les amertumes d’une société et déchire le voile de l’incertitude », comme le notent les commissaires de l’exposition.
Si.R


Jeudi dernier à Abidjan, la CAF a procédé au tirage au sort des groupes éliminatoires au Mondial 2026 qui sera organisé conjointement par les Etats-Unis, le Canada et le Mexique. Cette 23e édition est nommée « United 2026 » et sera la première à réunir 48 équipes au lieu de 32.
Ce tirage au sort des groupes éliminatoires au Mondial 2026 a lieu à l’occasion de son Assemblée générale à Abidjan, en Côte d’Ivoire. Ainsi, les 54 sélections en lice sont réparties en neuf groupes de six équipes chacun. Pour cette édition il y aura 9 groupes avec 9 qualifiés direct et 4 équipes en play-offs.
Madagascar a été représenté par le président par intérim de la Fédération malagasy de football, Victorien Andrianony, à la 45e  Assemblée générale ordinaire de la CAF à Abidjan.
Basés sur le dernier classement FIFA, le Maroc, le Sénégal, la Tunisie, l’Algérie, l’Égypte, le Nigeria, le Cameroun, le Mali et la Côte d’Ivoire ont hérité du statut de tête de série et étaient assurés de ne pas tomber dans le même groupe en étant dans le pot 1.
Figurant dans le pot 3, Madagascar a été tiré au sort dans le groupe I. Un groupe pas très clément avec le Mali, Ghana, Centrafrique, Comores et le Tchad. Ce groupe I est d’apparence difficile. Ainsi, les quatre équipes qui le composent doivent se méfier les unes des autres notamment les Comores, sans parler du Mali et du Ghana et la Centrafrique qui semble être la bête noire des Barea.
Pour cette édition du Mondial 2026, l’élargissement à 48 équipes va permettre au continent africain d’envoyer 9 à 10 représentants contre 5 auparavant. Mais le chemin sera encore long avant de décrocher le ticket. Les premiers de chaque groupe valideront leur billet pour la phase finale.
Un mini tournoi sera programmé entre les quatre meilleures deuxièmes parmi les neuf poules. L’équipe qui en sortira vainqueur après avoir disputé une-demi-finale et une finale rejoindra un pool de barragistes composés de six équipes issues des qualifications en Asie, Océanie, et Amérique centrale. Deux équipes sortiront de ces barrages intercontinentaux pour se qualifier à la Coupe du Monde 2026. Pour l’équipe africaine, il faudra gagner deux autres rencontres pour enfin valider cette fameuse dixième place pour le continent.
Recueillis par E.F.
Le calendrier des éliminatoires
13 au 21 novembre 2023 : 1ère et 2e journées des éliminatoires
3 au 11 juin 2024 : 3e et 4e journées
17 au 25 mars 2025 : 5e et 6e journées
1er au 9 septembre 2025 : 7e et 8e journées
6 au 14 octobre 2025 : 9e et 10e journées
10 au 18 Nov 2025 : Tournoi de barrage de la zone CAF pour la Coupe du Monde 2026
Mars 2026 : Tournoi de barrage de la FIFA pour la Coupe du Monde 2026


La réhabilitation des rues de la Capitale a été avancée de quelques jours si initialement, il a été annoncé que les travaux devraient débuter dans un mois. En effet, devant l’urgence de la tâche, il a été décidé que les travaux commenceront d’ici peu. Il s’avère que leur dégradation avancée a des répercussions désastreuses sur la vie quotidienne des Tananariviens.
Il faudra encore patienter quelques jours avant le début des travaux qui concernent également la réhabilitation de RN 2. Bénéficiant de la qualité de « procédure d’urgence »,  le déblocage des fonds y alloués a été facilité. Selon une source au sein du ministère des Travaux publics, on n’attend plus que la planification des sites où les premiers chantiers seront installés.
Il est à rappeler que le Conseil des ministres du mercredi dernier a précisé l’enclenchement de la procédure d’urgence pour que les travaux commencent dans l’immédiat. Il a également été détaillé les différentes portions de routes qui feront l’objet de ces travaux de réhabilitation. On peut citer à titre d’exemples les rues situées au niveau de Bel-Air, Antsakaviro, Ankorahotra, le tronçon Antaninandro-Andravoahangy Fivavahana, celle près du rond-point d’Ambanidia qui a fait l’objet de nombreuses tôlées en raison des embouteillages endurés chaque jour par les automobilistes.
« Espérons que la qualité des travaux soit à la hauteur des impôts que l’on paie. Plusieurs de ces points noirs cités précédemment ont déjà fait l’objet de tip-top et même de travaux de grande envergure. Cependant, l’état des ces rues s’est vite dégradé. Par exemple, le tronçon situé près de l’église d’Andravoahangy a été fermé plusieurs mois pour cause de travaux. Mais la chaussée s’est défoncée après peu de temps, laissant des trous béants à cause de la mauvaise qualité des travaux », selon un riverain.
Nikki Razaf

Taux de change - L’euro à un pas des 5.000 ariary

Publié le vendredi, 14 juillet 2023



Inquiétant. A 15 petites unités de la monnaie nationale pour atteindre la barre symbolique des 5.000 ariary, l’euro affole les compteurs sur le marché interbancaire des devises. Hier, la Banky Foibe Madagasikara a indiqué que la monnaie européenne équivalait à 4985 ariary tandis que le billet d’un dollar était affiché à 4482 unité de notre monnaie. Des taux encore jamais atteint jusqu’ici. Un phénomène qui tend à se normaliser depuis peu et qui commence à provoquer les craintes chez les opérateurs, observateurs, analystes, économistes mais surtout des familles à revenus moyennes et modestes qui devront subir de plein fouet cette dépréciation effréné de la monnaie malagasy. En effet, la baisse de vitesse temporaire de l’euro face au dollar, il y a quelques mois, causé par la crise russo-ukrainienne semble déjà faire partie de l’histoire. L’ariary affiche cette chute continuelle sans pour autant que les principaux impactés par ce phénomène ne puissent y faire quoi que ce soit pour tenter de sauver les meubles dans le court terme. Un contexte favorisation un fort risque d’inflation face à laquelle il faut aussi se préparer à court termes si la situation tarde à se stabiliser. Un problème d’ordre structurel qui, selon les observateurs, tire son essence depuis les périodes de détaxation appliquées aux débuts des années 2000. En effet, depuis 2003 et 2004 et jusqu’à aujourd’hui, nous constatons toujours une tendance à la hausse des demandes en importation qui n’a jamais pu être satisfait par rapport à la capacité d’exportation du pays. En parallèle notre flux d’investissement direct étranger (IDE) peine à combler cette situation malgré que l’on soit dans un régime de change flexible avec une forte mobilité des capitaux.
Inflation importée
« L’impact direct de cette dépréciation de l’ariary s’agit, en premier lieu, de l’inflation importée. Tous les secteurs d’activités ressentiront cet impact mais il y aura des secteurs qui seront plus touché que d’autre par cette inflation importée. Le premier exemple concernera surtout le secteur pétrolier où la dégringolade de l’ariary n’a de cesse que de renchérir les coûts d’importation. Des coûts que les opérateurs ne peuvent pas forcément répercuter simultanément à la pompe. Idem pour la plupart des commerces à l’exemple d’un simple quincailler qui importe majoritairement ce qu’il vend » explique un analyste spécialisé dans le domaine du pole intégré de croissance. En effet, le manque d’incitation pour les IDE, et donc de rentrée des devises, ainsi que notre capacité d’exportation n’arrivent pas à combler l’offre de devise disponible sur le marché interbancaire par rapport à nos besoins en importation.Ce qui pourrait, au final, apporter des risques d’inflation importé en plus de l’inflation interne déjà existante sur le marché local. D’ailleurs, selon le dernier indice des prix à la consommation publiée par l’Institut national des statistiques en février dernier, les prix à la consommation augmentent de 0,72 % contre 0,56 % à la même période l’année dernière. Ceux du riz et des PPN augmentent respectivement de 1,10 % et de 0,78 %. Selon l’origine des produits, les prix des « produits locaux » augmentent de 0,77 %. Les prix des « produits semi importés » augmentent faiblement (+0,12 %) et les prix des « produits importés » augmentent de 0,96 %.
La Rédaction

LA UNE DU 14 JUILLET 2023

Publié le jeudi, 13 juillet 2023

La liberté de la femme à choisir d’avoir ou non un enfant est actuellement encore menacée dans de nombreux pays. Même à Madagascar, bien qu’en couple et mariées légalement, beaucoup sont celles qui sont encore sous la coupe de leur conjoint dans la décision d’enfanter. Cette restriction s’accompagne également d’une inégalité en matière d’accès aux soins et aux méthodes de limitation de naissance. Il est donc impératif d’octroyer la capacité aux femmes de choisir librement le nombre de leurs d’enfants et l’utilisation des moyens de contraception.

Un véhicule de transport collectif a fait une sortie de route, faisant au moins 5 morts parmi ses passagers, sans parler bien sûr des blessés. Cela s'est produit hier en fin de journée au PK 168 de la RN 9, dans la localité d'Ankatsakatsa, Fokontany d'Andranoboka. Bien entendu, il s'agit encore d'un bilan provisoire, cette statistique du nombre des victimes étant encore susceptible d'un changement.

54,54 % des candidats dans la Circonscription scolaire (CISCO) d'Antananarivo ville ont réussi leur examen pour l’obtention du Brevet d'études du premier cycle (BEPC). Les résultats ont été publiés hier pour la Région d’Analamanga. Pour la CISCO d’Antananarivo Atsimondrano, le taux de réussite est de 66,49 %. Pour celle d’Antananarivo Avaradrano, 62,29 % des candidats ont réussi l’examen. Des chiffres qui ont chuté de quelques points par rapport à l'année dernière pour Antananarivo ville (56,30 %). Il en est de même pour la CISCO d’Avaradrano car le pourcentage de réussite était de 64,83 % l’année dernière. Par contre, ce taux a connu une hausse pour l’Atsimondrano s’il était de 65,78 % l’année dernière. 

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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