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Bien que le secret total plane sur la cérémonie d’ouverture officielle des Jeux des îles, 11eme édition, qui se tiendra le 25 août au stade Barea Mahamasina, le commissaire événementiel du COJI nous rassure sur quelques détails du spectacle, notamment sur l’ouverture mais également de toutes les  cérémonies prévues durant les Jeux jusqu’à la clôture. La personne en question a bien martelé que toutes les fresques chorégraphiques seront affichées par des chorégraphes cent pour cent malagasy. Les concepteurs,  les réalisateurs, les danseurs et les musiciens  seront tous animés par des rythmes malagasy. Toute la richesse culturelle, patrimoniale, artistique et traditionnelle malagasy sera mise en valeur lors de ce spectacle d’ouverture auquel participera une bonne centaine de Malagasy.

Vers 13 heures hier, un accident de la circulation ayant impliqué un camion Mercedes-Benz 911 à la mécanique défaillante, a failli sérieusement tourné au drame sur la RN2, PK 8+400 au lieu dit Garage, dans le Fokontany d'Ikianja,  Ambohimangakely. Les faits. Une mère de famille, qui tenait son bébé d'un mois, venait juste de quitter le taxi-be lorsque le poids lourd s'était rué dans sa direction. Le mastodonte avait connu un problème de frein, selon la Gendarmerie, et a fauché au passage cette femme et son bébé avec, avant qu'il ne s'était renversé sur le côté, manquant d'écraser les piétons.

Les frais de transport des « taxi-be » dans la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) ne vont pas augmenter à 800 ariary le 1er août. L'Union des coopératives de transport urbain (UCTU) attend les résultats des négociations entre les parties prenantes concernant les nouveaux tarifs de la visite technique et de la carte violette. C'est la décision prise hier lors d'une réunion des personnels de la CUA, l'Agence des transports terrestres (ATT), le ministère des Transports et de la météorologie et l'UCTU.

Ainsi, les transporteurs vont conditionner une éventuelle hausse de prix du ticket en fonction de l'évolution de la situation.

La nécessité des technologies inclusives et transformatrices et d'une éducation numérique est cruciale pour un avenir durable. Cependant, les femmes, surtout dans les pays africains et en particulier à Madagascar, sont encore loin de l'égalité des chances en matière d'accès à la technologie numérique. Pourtant, en ayant une approche soucieuse de l'égalité des sexes en matière d'innovation, de technologies et d'éducation numérique, celle-ci peut sensibiliser davantage les femmes et les filles à leurs droits et à leur engagement civique.

Mission de trop !

Publié le jeudi, 27 juillet 2023

A quoi rime ce remue-ménage politico-diplomatique ? La SADC (South Africain Development Community) dépêche une équipe de fonctionnaires à Madagasikara. Officiellement, il s'agit d'une mission d'évaluation et d' « auscultation » de l'état de santé, de la température de l'ambiance politique plutôt du contexte politique en cette période proche des échéances du novembre 2023. 

Selon Tichème Dlamini, juge de son état, chef de mission et surtout en sa qualité de président du conseil consultatif électoral, leur présence dans le pays consiste à constater de visu les réalités politiques qui prévalent dans le pays et ce à deux mois du coup d'envoi du processus effectif, de la campagne électorale entre autres. Le mode opératoire priorisé repose sur les consultations des acteurs politiques majeurs, sans distinction, tout en axant l'approche sur l'évaluation  de l'évolution de la situation notamment après la dernière mission. 

Située à 40 km au sud de la ville d’Ambilobe, dans la Région de DIANA (Nord-ouest de l’île), Ankazomborona est une zone gérée par la communauté de base d’Ankameva, dans la Commune de Berambanja. Depuis quelques semaines, cette localité propose quatre circuits pour partir à la découverte des joyaux naturels de Madagascar, et plus spécifiquement, de la Région de DIANA. En plus de mettre à l’honneur le capital naturel de la Grande île, ce site écotouristique a un fort potentiel en matière de protection et de conservation d'un patrimoine unique. WWF Madagascar a dès lors tenu à apporter son soutien aux communautés locales, à l'origine de cette initiative prometteuse. Les travaux ont débuté en 2021 et ont été financés par le Swedish International Development Agency (SIDA) du Gouvernement suédois, dans le cadre du programme Leading the Change, une des interventions clés du WWF et de ses partenaires, en collaboration avec WWF Suède.

Après les critiques sur le code électoral, le processus électoral, etc. l'Opposition, ou à tout le moins une partie de celle-ci seulement bruyante sur les médias, remet de nouveau en cause la neutralité effective de la CENI et de la HCC,  dans leur composition actuelle. Cette frange de l'Opposition annonce ainsi son intention de saisir la SADC. Et dans l'espoir que cette organisation fasse pression sur le régime afin de parvenir à une dissolution de ces organes d'Alarobia et d'Ambohidahy. Une demande qui fait rire sous cape. 

Le Syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs-enseignants (SECES) persiste et signe. Ses représentants ont manifesté sur l’esplanade d’Ankatso hier. Ils y ont arboré une banderole aux mentions explicites sur la finalité de leurs diatribes sous forme de communiqués. Les syndicalistes qualifient d’ennemis de la nation « toutes les personnes ayant contribué à la dégradation de l’éducation, de l’enseignement et de la recherche », suivant leurs propres mots.

Ils demandent la démission et l’éjection des « dirigeants incompétents ». Le jeu de mots est un peu subtil. Ils ont bien écrit « mpitondra » (dirigeants) et non « tompon’andraikitra » (responsables). S’il s’agit de seconds, le message est adressé à des niveaux inférieurs et moyens. S’ils visent les premiers, les syndicalistes du supérieur public auraient voulu quelque chose de plus élevé.

Quid d’une hausse !

Publié le mercredi, 26 juillet 2023


L’Union des coopératives des transporteurs Urbains (UCTU) annonce la hausse des frais des taxis-be à Antananarivo et environs dans le courant du mois prochain, août. Au terme d’une réunion en assemblée générale, les transporteurs de la Capitale vont revoir à la hausse de 800 ariary les frais des bus.
Du coup, une avalanche d’impacts va se répercuter sur les conditions d’existence de la population urbaine et proximité. Toute révision à la hausse des frais du transport tout comme la montée des prix du carburant à la pompe entraine, de facto, une flambée des prix touchant directement les modestes bourses de la grande majorité des gens. L’inflation verra un rebond encore plus incontrôlé et plus incontrôlable.
Une série de problématiques surgit. Au premier plan, la question de la qualité des services. Au moment où les transporteurs, les propriétaires, se décident ou du moins ont l’intention de relever les prix des tickets, la question de l’amélioration de l’état lamentable des services offerts refait surface. Les usagers se plaignent de la qualité à désirer du service. Etat dégradé sur le plan technique et saleté permanente des véhicules ! Défaillance des freins, etc. Manque de respect sinon l’arrogance des chauffeurs et aide-chauffeurs vis-à-vis des passagers ! Tout juste comme s’ils transportaient des bœufs. Une situation que les transporteurs ne juge point nécessaire de revoir dans le bon sens ni d’apporter de réel changement. Peut-être que les usagers consentiraient à payer le nouveau tarif si tout au moins ils se laisseraient convaincre par des efforts continus des professionnels du transport urbain à améliorer le quotidien de leur service. Mais, niet ! C’est toujours la galère ! Des « vodi-hazo » à la longueur du trajet. Tant pis pour les retards des élèves et les travailleurs !
Les parents qui s’apprêtent à affronter la rentrée scolaire vont devoir retrousser mille fois les manches. Les prix des fournitures scolaires grimperont, comme ce fut le cas tous les ans, pour atteindre les hauteurs inaccessibles aux simples gens. Chaque année, le mois d’août est la période la plus dure pour les parents d’élèves. De leur côté, les responsables des écoles privées, pris en tenaille entre le coût de la vie toujours croissant et la nécessité d’améliorer sans cesse les conditions de travail de l’école, n’ont parfois pas d’autre alternative que d’augmenter les frais d’études. Et le cercle vicieux se referme au grand dam des citoyens. Le commun des mortels subit en dernier ressort les effets pervers de toute augmentation de prix. Les petits salariés du secteur privé et les simples agents de l’Etat avec leurs modiques gains encaissent tout.
Mais quelle idée de vouloir renchérir ce coût du ticket ? Une idée saugrenue dans un contexte économique et social moribond ! A quelle porte voulait-on vraiment frapper ? Dans tous les cas de figure, les responsables publics, la seule autorité habilitée à arbitrer dans ce genre de situation, ne restera point les bras croisés. Il va falloir trouver ensemble la ligne médiane. Il ne faut pas oublier que les transporteurs, eux aussi, subissent les effets négatifs de l’inflation.
Quid de cette hausse des frais de transport urbain à Tanà ! Une décision délicate qui n’est pas sans conséquences immédiates dans la vie des gens.





Un père de famille a déposé plainte contre un artiste de renom au mois d’avril dernier. Celui-ci aurait été accusé par le plaignant d’avoir détourné sa fille de 16 ans en classe de seconde. «  Notre fille est une fan de l’artiste comme tant d’autres gens qui aimaient la musique tropicale. Mais un beau jour, elle n’est pas rentrée à la maison », relate le père de l’adolescente. Le proviseur du lycée qu’elle fréquente, continue le chef de famille, nous a révélé que notre fille ne s’est plus pointée depuis des mois dans son établissement. La quête d’information a permis de savoir qu’elle se trouvait avec l’artiste concerné dans son studio d’enregistrement où ils ont passé la nuit et la journée durant sa fugue. Mais en dehors de cette période, c’est pour cet artiste qu’elle a séché les cours et ses études au lycée.
De ces faits, le père a déposé plainte auprès de la Gendarmerie pour détournement de mineur. En dépit des convocations émises par cette dernière, l’artiste en question n’a daigné répondre ne serait-ce qu’une seule fois. Les « recherches » de la Gendarmerie s’avéraient infructueuses jusqu’à la semaine dernière.  Une personne avisée a effectivement signalé le centre d’examen où  l’artiste en question passait son baccalauréat. La Gendarmerie a effectué son arrestation pour le relâcher ensuite en attendant son déferrement au Parquet en début du mois prochain.
Un déferrement dont l’issue est très attendue par la population du Grand port de l’Est où la famille plaignante et l’accusé résident.  L’artiste de renom bénéficiera –t-il d’une liberté provisoire dans l’attente du procès et ce de son statut ou il sera de suite placé en détention préventive pour protéger l’adolescente de toutes pressions…
La Rédaction

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Editorial

  • Pour la paix !
    Pour une fois, la chance de ne plus, du moins pour un temps, entendre sinon subir les tirs de bombardements se précise. Enfin, les belligérants ont retrouvé le chemin de la paix. Quoique fragile, la paix retrouvée renait l’espoir des populations.Le Gouvernement israélien vota, dans une forte majorité, les accords de cessez-le-feu avec le Hezbollah au Liban. Toutefois, l’armée israélienne reste consignée et mobilisée sur les frontières et se réserve le droit de riposter voire d’intervenir immédiatement et à tout moment en cas de violation des accords quelle qu’elle soit la nature ou la forme. Les populations libanaises ayant fui les bombardements israéliens commencent à prendre le chemin du retour sitôt les accords adoptés. Ils tiennent, à n’importe quel prix, à rejoindre le lieu de leurs habitations, leur patrimoine, quelque soit leur état.Le conflit armé entre le Hezbollah installé au Liban, faction armée soutenue par l’Iran et partageant le même…

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