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L’heureux élu parmi les 200 entrepreneurs. Livaniaina Razanjafy a remporté, cette année, le concours de projet durant le Forum international jeunesse et emplois verts grâce à son projet « Ikiray Miel de Madagascar ». Le Forum s’est déroulé pendant trois jours à savoir du mardi au vendredi derniers au Centre de conférence international Ivato (CCI). Les noms des lauréats du concours ont été dévoilés au vu et au su de tous, durant la cérémonie de clôture le jour vendredi. « Parmi plus de 120 candidatures, 30 présélectionnés ont pu défendre leurs projets d’entreprise devant un jury d’experts. Les 10 meilleurs projets ont été primés par un accompagnement de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) qui leur permettra de promouvoir et démarrer leurs activités», énumère le communiqué officiel. Il faut dire que c’est un grand honneur pour Madagascar, étant donné que le concours s’est adressé à tous les jeunes ressortissants issus de sept pays de l’Océan Indien. Le jeune homme de trente ans a ainsi gagné un financement de 3000 euros et le trophée du meilleur entrepreneur. « Je suis très heureux de remporter ce prix. Mes efforts ont fini par payer malgré les galères que j’ai traversées. Au départ,  j’ai pris le risque d’investir dans le projet en dépit de  mon grand besoin de financement. Je me suis même endetté. Maintenant,  j’ai la chance  de pousser mes projets encore plus loin », s’exprime avec joie Liva.

 Vers mi-mai dernier, Njara, ce reporter-photographe au sein du quotidien Free-News, a été passé à tabac par des policiers, lors de l’exercice de ses fonctions au Palais des sports Mahamasina. A la suite d’une plainte de la victime, le tribunal était saisi du dossier et a jugé les policiers en cause au cours de la semaine dernière. Hier, le verdict était tombé : la Justice condamne les fonctionnaires de police impliqués pour violence et voie de fait. Ainsi, ils sont obligés de verser chacun 200000 ariary à titre d’amende,  et ce,  avec sursis. Cependant, la Justice a été favorable à la requête de la partie civile des dommages à hauteur d’un million ariary. Ainsi, une page est  tournée sur cette affaire qui traduisait une longue période de bras-de-fer entre la Police et la presse locale. Notons que l’affaire remonte durant un match au Palais le 18 mai dernier lorsqu’un officier de police, ex-journaliste, a insulté publiquement le reporter-photographe victime, et ordonné la confiscation  de son appareil photo. Il y eut une mêlée occasionnant d’assez graves  blessures chez le reporter  et son outil de travail endommagé. 

Dans le cadre de la célébration de la fête de l’indépendance, la gestion des îles Eparses revient toujours sur la table de la discussion. Mamisoa Fredy Andriamalala, Docteur en Sciences politiques (politiques publiques) et diplômé de Recherche en économie du développement et Professeur de Finances publiques et d’Economie des Politiques publiques au département Economie de l’Université d’Antananarivo, nous livre une analyse économique, politique et diplomatique exclusive sur ce sujet. D’ailleurs, son ouvrage intitulé les « Chemins de la Pauvreté et de l’Exclusion Sociale et les Politiques Publiques associées », de 1.500 pages réparties en trois tomes, qui vient d’être publié apporte des éclaircissements sur les Politiques de développement dont la diplomatie économique. Contrairement à ce que l’on croit, cette cogestion ne remet pas en cause la souveraineté de l’Etat. Interview.

La Vérité (+) : Qu’est-ce qui vous motive à vous exprimer sur le sujet délicat « Cogestion des îles Eparses » ?
Mamisoa Fredy Andriamalala (=): Ma réflexion est un devoir universitaire de citoyen de bonne volonté. Elle propose essentiellement de rejeter toute idée ou tentative d’immobilisme dans la gestion des choses publiques  pouvant nuire l’intérêt de Madagascar à l’échelle internationale. De ce fait, il est un devoir de ne pas fermer les yeux et d’apporter des contributions modestes pour lancer un vrai débat sur le devenir des îles Eparses appartenant à l’Etat malgache.  
Au vu et au su du monde entier que les résolutions prises par le système des Nations Unies en 1979 sur la restitution des îles Eparses à l’Etat malgache restent une lettre morte, sans portée ni pratique ni politique concrète. C’est l’impasse du juridisme international. C’est dans ce contexte qu’il faut lancer le débat pour trouver une alternative dans le cadre de l’accord de principe relative à la résolution de problème sur ces îles, déclaré conjointement par le Président de la République de Madagascar et son homologue français.

Première victoire. L'équipe des Barea de Madagascar a connu son premier succès à la phase finale de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) 2019, en Egypte. C'est aux dépens du Burundi que la sélection malagasy a obtenu ses trois premiers points, créditant ainsi de quatre unités son compte.

 

Suspendue durant deux jours, les 25 et 26 juin derniers à cause de la célébration de la fête de l'indépendance, la réfection des routes à Antananarivo a repris depuis hier. Sur ce, les axes concernés sont fermés à la circulation durant quelque temps. Il s'agit d'une portion de route à Androndra (passage à niveau), au marché d'Ambohimanarina jusqu'à la station Galana Ambohimanandray, la RN1 : Anosibe menant vers Anosizato, RN2 : Ankadindramamy jusqu'à Ampasampito,  RN7: Andoharanofotsy menant vers

 

« Il faut que les autorités malagasy prennent immédiatement des mesures pour que toute personne soupçonnée d'une quelconque infraction soit protégée de la torture et de toute autre forme de mauvais traitements. Et que des mesures décisives soient prises pour faire cesser la torture et les homicides imputables aux forces de sécurité », tel est le dernier rapport de l'Amnesty international publié le 26 juin dernier concernant Madagascar dans le cadre de la célébration de la Journée internationale pour le soutien aux victimes de la torture.

Un voyage afin d’oublier la dure réalité à laquelle les filles sont exposées au quotidien, mais aussi une opportunité d’envisager un meilleur avenir en agissant concrètement. L’extrême pauvreté et la recherche à tout prix d’opportunités économiques sont les principales causes de l’exploitation des enfants dans les pays en développement. Malheureusement, Mada-gascar ne fait pas exception et est évidemment concerné par ce problème. Plusieurs actions de lutte contre le travail infantile ont été ainsi mises en place par le Gouvernement et les organismes humanitaires du secteur privé.

La journée de la Fête nationale était assez turbulente du fait des accidents qui l'ont marquée. Les statistiques provisoires du service des urgences de l'HJRA font état de 2 morts et plus de 150 consultations, du moins jusque dans la matinée du 26 juin. Comme à l'accoutumée, les accidents de circulation ont terni les festivités. Hier matin, un piéton a perdu la vie lorsqu'un véhicule non identifié l'a renversé en pleine ville. La Police l'a transporté d'urgence à l'HJRA Ampefiloha où le malheureux a finalement succombé des suites de ses blessures. Le véhicule en cause a tout simplement disparu et personne n'a pas pu l'identifier.

 

Célébration dans la joie ou la modestie, selon les moyens de chaque ménage. Le 59e  anniversaire de l'Indépendance de Madagascar a été une occasion, pour la majorité des malagasy, de faire la fête. Certains ont alloué un budget spécial, allant jusqu'à 200 000 ariary, pour l'achat de jouets, lampions et repas. D'autres ont laissé de côté les « dépenses excessives » et se sont focalisés sur les réjouissances. « Nous avons concocté un modeste repas, comme celui de dimanche, avec du riz et de la viande avec achards et de la salade de fruits au dessert.

 L'Armée, l'avant-garde

Publié le mercredi, 26 juin 2019

La fête de l'indépendance est avant tout la Fête de l'Armée. Le retour de Madagasikara à l'indépendance coïncide avec la création de l'Armée malagasy. A la veille de la date historique du 26 juin 1960, jour où le pays recouvre de nouveau sa souveraineté, l'Armée malagasy vit le jour. Intimement liée à la naissance de l'Etat malagasy, l'Armée est le symbole de la souveraineté et de la fierté nationale. On ne peut pas concevoir une République sans une Armée. Par ricochet, une fête nationale sans un défilé militaire est cocasse. En tout cas, il s'agit d'une tradition universellement pratiquée.

 

Fil infos

  • Visite d’Etat - Madagascar et la France scellent six accords
  • Commission mixte sur les îles Eparses - Un second rendez-vous le 30 juin prochain à Paris 
  • Ve Sommet de la COI - Mobilisation exceptionnelle des Forces de l’ordre
  • Actu-brèves
  • Décès du Pape François - Andry Rajoelina salue la mémoire d’un homme de paix
  • Intégration régionale - Andry Rajoelina plaide pour la libre circulation dans la COI
  • Visite d'Etat d'Emmanuel Macron à Madagascar - Des signatures d'accords en perspective
  • Trafic de tortues protégées - Un député et ses complices envoyés à Tsiafahy
  • Route des Hydrocarbures - Fin du chantier avant les fêtes de Pâques
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Editorial

  • Royalement !  
    Tapis rouge avec les honneurs à l’aéroport international Ravinala Airports à Ivato ! Tapis rouge avec le summum de la préséance protocolaire au Palais d’Etat d’Iavoloha. Le Chef de l’Etat français Emmanuel Macron et son épouse, en visite d’Etat sur le sol malagasy, ont été reçus royalement par le pas-tout entier. Le couple présidentiel français a été accueilli à l’aéroport par Premier ministre, chef de Gouvernement, Ntsay Christian. Immédiatement, le cortège présidentiel se dirige vers le Palais d’Etat d’Iavoloha où le Maître des céans Rajoelina Andry Nirina et son épouse l’attend.

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