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Obligations

Publié le dimanche, 11 août 2019

 Le régime de l’Initiative pour l’Emergence de Madagasikara (IEM) de Rajoelina démarre en trombe. Autrement dit, le « bâtiment » battant pavillon « IEM » quitte effectivement le port vers une destination précise à savoir  « le pays de la prospérité ». Le commandant de bord, un jeune timonier et visionnaire Rajoelina, se trouve consciencieusement à la barre et cela pour que le navire ne rate point le cap. L’ »équipage » qu’il dirige pour ce long mais captivant voyage manifeste sa volonté et sa détermination de faire en sorte que les « passagers » arrivent à bon …port. Comme dans tout  « circuit » long courrier notamment en haute mer avec tous les dangers et périls à éviter, il y  a toujours un « code de circulation » à observer. En fait, des obligations à ne jamais passer outre sinon le « navire » dévie du cap et rate le « bon port » comme ce furent les cas auparavant où il avait fallu que le « navire » revienne à chaque coup à la « case de départ ». Certaines consignes ou obligations s’imposent donc.   L’obligation à la discipline. L’obéissance à la discipline est le gage à la réussite. Il existe toujours dans la gestion des affaires nationales un minimum de code de conduite à respecter. Comme dans tout management de la Cité, il y a une éthique politique à honorer. Les dirigeants d’un pays qui se soumettent aux règles générales de l’obligation à la discipline disposent une meilleure condition

La une du 12 août 2019

Publié le dimanche, 11 août 2019

L’équipe championne de Maurice place la barre très haut. Ayant déjà eu un aperçu du niveau de son adversaire, Pamplemousses SC a aussi de sérieux arguments dans ses rangs. La délégation mauricienne a débarqué à Mahajanga, hier, et veut mettre toutes les chances de son  côté. Les dirigeants du club mauricien ont injecté du sang neuf dans leur rang. On cite en particulier le dénommé Ludovic Lafoudre, ancien de l’ASPL 2000, et Jordan Résidu, de retour  au bercail après avoir joué à Pointes-aux-Sables.  Pour le match aller du tour préliminaire de la ligue des Champions de la Confédération africaine de football (CAF), qui se disputera à Mahajanga ce jour, à 14h30, le SC Pamplemousse veut se mettre à l’abri de la défaite devant le redoutable Fosa Juniors. « Nous avons des joueurs à la hauteur. L’équipe d’en face est très technique mais notre objectif reste le même. » Les trois fois champions de Maurice (2017, 2018, 2018), les hommes de Tony François, coach de SC Pamplemousse veut franchir un nouveau palier sur la scène continentale après avoir dominé le championnat mauricienn depuis plusieurs saisons. Malgré leur palmarès, les Mauriciens prennent très au sérieux les Fosa juniors.  « Le doute n’est pas permis pour nous. Nous voulons réaliser un bon résultat à Madagascar pour ensuite viser la qualification à domicile au match retour », explique Roopesh Neerunjun, le Team manager de Pamplemousses SC.

Après un semblant et une courte période d’accalmie, la ville de Toamasina a renoué avec les histoires de kidnapping. Jeudi vers 20h30, un gang composé de quatre individus armés ont enlevé un Indo-pakistanais, l’énième victime du genre. Iltafaly Sefoudine, puisqu’il s’agit de lui, est un commerçant ayant pignon sur rue dans le secteur du « Bazary be » en étant le propriétaire du magasin FIBASSOM.  La victime venait tout juste donc de quitter une mosquée après la prière du soir, et était sur le point de rentrer chez lui, rue Boulevard Joffre, lorsque les ravisseurs l’ont intercepté. D’après une source d’information locale, les bandits l’ont ensuite emmené dans sa propre voiture, une Toyota Prado. Destination : son domicile du Boulevard Joffre. Une fois sur les lieux, les ravisseurs ont entrepris de ligoter l’épouse ainsi que les enfants du négociant. Par la suite, les assaillants ont entamé la deuxième phase de leur forfait. Celle-ci a consisté à mettre la main sur les espèces et les bijoux des locataires. Loin de se contenter de ce butin, les agresseurs, sans autre forme de procès, ont de nouveau emmené de force le chef de famille avec eux. Entre-temps, les Forces de sécurité ont été informées par la famille de la victime du drame et ont procédé de suite au bouclage de la ville de Toamasina. Face à la célérité des Forces de l’ordre, les ravisseurs n’ont plus le choix que de libérer Iltafaly Sefoudine du côté d’Ampasimazava vers 22 heures. 

La société « Jiro sy Rano Malagasy » (JIRAMA) rencontre des difficultés dans l’approvisionnement en eau. Cinq zones de la Capitale, à savoir la partie Nord-ouest, le Nord, l’Est, le Sud-est et le Sud, y compris la haute-ville souffrent d’une coupure quotidienne. Un incident relatif à ce problème a d’ailleurs causé une manifestation à Antsahameva Ankatso, hier. L’eau n’est distribuée qu’une heure par jour, entre 4 et 5 heures du matin. Et ce, depuis un mois. Du côté du fournisseur d’eau et d’électricité, les problèmes s’avèrent beaucoup plus profonds. La JIRAMA fonctionne avec des matériels qui datent de l’année 1950. Les infrastructures sont vétustes. En plus, le nombre de la population a triplé depuis voire quadruplé, alors que les réseaux de distribution restent les mêmes qu’il y a 70 ans. La rénovation de ces réseaux de distribution s’avère ainsi incontournable pour résoudre les problèmes. « Nous avons besoin de 60 millions d’euros pour le remplacement, la rénovation et la multiplication de station-service pour donner entière satisfaction aux consommateurs qui ne cessent d’augmenter au fil des années », avance Tsitohery Francesca, directeur de la communication au sein de la JIRAMA. Il s’agit une solution à long terme mais en attendant, la JIRAMA opte pour d’autres options.

Les ambassadeurs du Pakistan, Syed Rizwan Ahmed, de la République fédérale d’Allemagne, Michael Derus, et de la France, Christophe Bouchard, nouvellement accrédités à Madagascar, ont successivement présenté leurs lettres de créance au Président de la République Andry Rajoelina, au Palais d’Etat d’Iavoloha hier. Les audiences se sont déroulées en présence du ministre des Affaires étrangères Naina Andriantsitohaina. En interview, en marge de son audience, l’ambassadeur du Pakistan a souligné le bon climat des affaires. « Le climat politique et économique actuel à Madagascar est stable. C’est un environnement propice à l’implantation d’entreprises, notamment les entreprises pakistanaises aixquelles je vais en toucher mot », a affirmé le diplomate, Syed Rizwan Ahmed devant la presse. Arrivé cette semaine dans la Grande île, il y a quatre jours seulement, l’ambassadeur de la République fédérale d’Allemagne, devant les gens des médias, a tenu à  souligner d’emblée l’excellence des relations entre les deux pays. Rappelant que l’Allemagne était le premier donateur dans le champ de la conservation de la nature, le diplomate allemand indique que la contribution allemande sur le secteur de la création de l’énergie, a été au cœur de ses échanges avec le Président malagasy.

Le scandale des constructions sur le parking du marché d’Anosibe n’est pas encore près de livrer tous ses secrets que voilà un autre du même acabit pointe son nez. A quelques nuances près, les deux  cas semblent sortir du même moule. L’un et l’autre ont pour cadre des marchés municipaux, le premier à Anosibe et le second à Andravoahangy. Tous deux ont pour acteurs principaux, d’un côté, des délégués du marché, appuyés par la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA), et de l’autre des marchands réguliers desdits marchés. Le mode opératoire est pratiquement le même : des constructions à usage commercial sont érigées dans l’enceinte des marchés en question et elles sont destinées à être cédées contre des sommes s’élevant à des dizaines de millions de francs. Face à la levée de boucliers des marchands déjà en place face à l’initiative, des délégués se lèvent pour en défendre la légalité, laquelle est confirmée par la mairie. Cette dernière de déclarer en effet que les constructions litigieuses ont bel et bien reçu son autorisation. Mais si la CUA a délivré une autorisation, il doit donc bien y avoir quelque part un demandeur. Au vu de leur prise de position aussi bien à Anosibe qu’à Andravoahangy, on serait enclin à dire qu’il s’agit des délégués. Doit-on alors conclure que ces derniers, en agissant comme de véritables propriétaires, ont droits et pouvoirs sur les terrains des marchés communaux ? Ce qui serait une aberration pure et simple. Aussi extraordinaire que cela puisse paraître cependant, ce serait la stricte réalité, du moins si l’on s’en tient à ce qui se passe du côté du marché d’Andravoahangy.

Monde rural compétitif !

Publié le vendredi, 09 août 2019

Le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina a honoré de sa présence l’ouverture officielle de la 21 ème édition de la « Fier-Mada » ce mercredi 7 août au Stade Maki à Andohatapenaka. Ce fut l’occasion pour le numéro Un du pays de faire état des dispositions prioritaires prises par le régime qu’il dirige à l’endroit du monde rural. A rappeler que la Fier-Mada se propose d’être une alternative pour le développement de l’économie rurale. Un espace dédié à lancer sur orbite le rural malagasy. La Grande Ile, un pays à vocation agro-pastorale, gagnera beaucoup à revigorer ce monde souvent oublié. Saisissant entièrement l’immensité du  défi à relever, le pouvoir en place sous l’impulsion de l’IEM, ne ménage point les efforts à consentir. Entre autres, le réseau des voies communication assurant la desserte pour acheminer les produits feront l’objet de grandes actions. Ainsi, les travaux de la remise en état de l’axe Ambilobe –Vohémar , la RN 5A, sont déjà à pied d’œuvre. De même, les travaux de réparation de la RN 44 reliant Moramanga-Ambatondrazaka débuteront incessamment. Cet axe qui tord le cou des transporteurs, la bête noire des usagers sera réhabilité. Les habitants du monde rural composent depuis toujours la proportion dominante de la population malagasy. Plus de 80 % des malagasy sont des paysans. En dépit des vagues importantes d’exode rural ces trente dernières années, le monde rural garde encore le record numérique de la population nationale. D’où l’importance des enjeux autour du développement du monde rural. 

La une du 10 août 2019

Publié le vendredi, 09 août 2019

Le stade Alexandre Rabemananjara sera, ce samedi, le théâtre d’une alléchante et chaude empoignade africaine entre les Fosa Juniors FC et le SC Pamplemousse de Maurice en ligue des champions africaine.Fosa Juniors FC est un très jeune club de football de la ville de Mahajanga qui est devenu le champion de Madagascar en 4 ans depuis son double champion de Madagascar et le vainqueur de la coupe nationale à l’issue de la saison 2018-2019.Pour espérer aller le plus loin possible dans cette épreuve, les « Majungais » devront passer l’écueil de la formation mauricienne. Les Fosa  joueront la première manche à domicile. Les joueurs de l’entraîneur Titi Rasoanaivo, qui fait son retour dans l’équipe seront appelés à faire le plein devant leur public, en attendant le match retour décisif au stade Anjalay , Belle Vue Maurel, Maurice le 23 août face à l’un des habitués de la compétition. L’équipe mauricienne a déjà participé deux fois dans cette joute en 2007 et 2018.  Les Fosa semblent prêts à livrer un combat de haut niveau et  à signer leur retour en force dans une compétition africaine. La dernière fois, ils étaient devant la porte de la phase de groupe en coupe. Un enjeu qui poussera les camarades de Santatra à se surpasser. Un pari difficile mais pas impossible pour les hommes de Titi qui mesurent l’importance de réussir une bonne entame de la saison.

Fil infos

  • Fête nationale - Le Président Rajoelina pense aux plus vulnérables 
  • Disparition d'un navire dans l'Ouest - Le sort de ses 19 passagers inconnu
  • Fête nationale - LET 410 pour l’armée, bus électriques pour la population
  • Société JIRAMA - Le Président dénonce des vols et sabotages
  • Décès de 20 personnes lors d'un anniversaire - L'acte criminel confirmé ! 
  • ACTU-BREVES
  • Sénat – Exécutif - Une communication optimum entre les deux institutions réclamée par les sénateurs
  • Intoxication alimentaire ou empoisonnement à Ambohimalaza - Le traiteur placé en garde à vue
  • Lutte contre la corruption - Le sénateur Ndremanjary Jean André plaide pour la fin des immunités  
  • Ntsay Christian - « Il faut dénoncer toute forme de dérive ! »

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Editorial

  • Enfin !
    De la lumière ! Qu’importe jusqu’à quand ! Ne soyons pas trop grincheux ni trop hargneux ou d’éternels insatisfaits. Les délestages seront réduits de 6 heures à 20 heures. C’est déjà ça ! Sur le plateau de la Télévision nationale (TVM), le Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina annonce dans la soirée de jeudi dernier la réduction notable des délestages sur la zone interconnectée (RIA) mais aussi à Mahajanga et à Antsiranana. A l’issue d’une réunion du locataire d’Iavoloha, au Palais, avec les responsables dirigeants de la Société nationale qui ont pris l’engagement à condition qu’on augmente la quantité du carburant livré, ce que le Président Rajoelina concède. Et donc, la galère due aux coupures de courant intempestives devra cesser du moins limiter à des heures de la nuit, de 20 heures jusqu’à 6 heures. En personne, il l’a fait savoir pour rassurer la population. Enfin ! Toutefois, on croit…

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