Les techniciens ont surtout pu échanger entre eux et partager leurs expériences durant le tirage au sort. « C’était bien d’entendre Gernot Rohr nous parlait de la préparation du Nigeria pour le Mondial 2018 », se félicite Nicolas Dupuis, sélectionneur de Madagascar.Pour les observateurs, c’est un groupe prenable pour les Barea, il reste à surmonter le complexe.  « Il nous reste à accomplir ce devoir qui est de nous mettre dans la grande nation du football. Je pense qu’il n’y a plus de grande et petite équipe. Si nous sommes partis dans cette compétition c’est pour aller jusqu’au bout, ce n’est pas pour avoir peur d’affronter n’importe quelle équipe », avance le sélectionneur national de Madagascar. Quant au capitaine de l’équipe nationale, Faneva Ima Andriantsima, il a souligné que « nous sommes dans un groupe très difficile avec le Nigeria qui est une équipe ayant participé au dernier mondial de la Russie.

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Le braquage survenu vendredi soir dans un taxi-brousse et qui a visé trois propriétaires bovins du côté d’Ambohidratrimo, provoque un tollé général. En effet, il s’avère qu’un gendarme était dans le coup. Mais dès le samedi après-midi suivant, l’agent des Forces de l’ordre en cause s’était rendu de son propre chef auprès des autorités. Une information récemment confirmée par la Gendarmerie a indiqué qu’il a d’abord contacté cette dernière par téléphone pour annoncer qu’il était prêt à se rendre. « Nous étions informés sur sa volonté de se rendre dès samedi matin et il  l’a  fait au cours de l’après-midi », commente une source du côté d’Andrefan’ Ambohijanahary.  Avant son possible déferrement prévu normalement ce jour, il était encore soumis à un interrogatoire par ses collègues enquêteurs tout au long de la journée d’hier. Avec son grade « trois barrettes », le concerné travaille au Toby Ratsimandrava. Quant à son rôle dans ce braquage, il est le propriétaire de la Peugeot 309 qui a transporté les bandits. D’ailleurs, sa photo laissée dans la voiture, a facilité la tâche de ses collègues pour l’identifier. 

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Aucune irrégularité tolérée. Les commerçants opérant dans les pavillons d’Analakely ont fermé leurs portes hier, et cela afin de montrer leur mécontentement face au déplacement des stands de friperie devant leurs échoppes. D’après la vice-présidente de l’association des commerçants des pavillons (FIPAVA), Lantoniaina Sarah, ce n’est que le début de leur grève. Afin de resoudre ce problème, une réunion avec le Préfet de police d’Antananarivo, la CUA, ainsi que les représentants des deux camps adverses, aura lieu ce jour. « En attendant la décision de la CUA, nous continuons notre activité. Pourtant, nous ne tolèrerons aucune irrégularité dans notre enceinte », avance la vice-présidente de l’association FIPAVA.  L’installation des marchands de friperie devant les pavillons ne sera pas définitive. Normalement, une fois les travaux terminés, ces derniers reprendront leur ancien emplacement.

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A part la gabegie se trouvant sur les routes, les désordres et irrégularités sont constatés surtout sur les arrêts de bus. Bousculades ou la loi du plus fort, ce sont souvent ceux qui ont les plus gros bras qui arrivent à entrer dans le bus, ne laissant aucune chance aux plus petits mais surtout aux personnes handicapées. C’est justement pour réglementer la circulation et mettre de l’ordre au niveau des transports en commun que les  « cadenceurs » existent depuis quelques temps. Certes, ces derniers sont peu nombreux pour le moment, mais leur objectif est justement de garantir la sécurité et la sûreté des passagers mais aussi des transporteurs dans la Capitale. Justement, une formation spéciale pour ces cadenceurs a été donnée par le ministère des Transports, et cela à travers la Direction de la sécurité et la sûreté des transports et du tourisme. C’était hier dans la salle de conférence du ministère à Anosy où une vingtaine de cadenceurs ont répondu présents.

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Suspicion de corruption. L’affaire concernant l’évacuation sanitaire d’une prisonnière sent à mille lieues la corruption. D’ailleurs, elle –même l’aurait déclaré lors de son audition par la Police suite à la doléance déposée par son poursuivant qui n’est autre que le propriétaire d’une zone franche dans laquelle elle travaillait pendant une décennie. Elle y était en tant que cadre supérieur et bras droit  de l’investisseur étranger qui possède à part cette usine à Madagascar sise sur la RN2, deux autres, une en France et une aux Etats-Unis. De cette absence permanente du propriétaire, c’est à la Dame en question, une certaine C.R, à qui il a confié la gestion de son usine. Une confiance trahie par cette employée qui a réussi à détourner 2 milliards Ar dans l’entreprise. Le pot aux roses découvert, C.R. a reconnu les faits et est placée en détention préventive à Antanimora, le mois de novembre dernier.

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Deux ministres seront attendus à Toamasina cette semaine, si tout se passe comme prévu. Le pillage de la forêt primaire de Vohibola n’en finit pas de faire parler de lui. Deux tangalamena (chefs traditionnels) à savoir Joël Talata, 84 ans, et Victor Rasoa, 63 ans, avec dix autres villageois, ont été injustement accusés dans cette affaire d’une dimension planétaire en raison de sa forte médiatisation par les agences internationales. Arrêtés chez eux dans des conditions inconvenantes tôt dans la matinée de dimanche 7 avril, ils étaient placés en garde à vue dans un hôtel privé au bord du canal des Pangalanes avant leur transfert à Toamasina. Ils y étaient soumis à un traitement souillant leur honneur d’hommes respectables. Une expérience traumatisante à vie pour eux. Ils racontent leur mésaventure une semaine plus tard.

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Sens du devoir et de la responsabilité. La première des Premières Dames malagasy à avoir le sens du devoir national, Mialy Rajoelina Razakandisa se distingue entre toutes. Elle porte dans son cœur et son âme le sens de la responsabilité envers les concitoyens surtout les concitoyennes en peine. Mialy ne supporte point de voir ou constater le malheur des malagasy. Elle ne peut non plus rester inactive face à aux cris de détresse de ses semblables. Nombreux sont les défis qui l’attendent en tant que Première Dame. Une Femme  d’honneur et d’excellence dans le sens du devoir et de la responsabilité envers les compatriotes ! Déjà depuis la Transition, en tant qu’épouse du Président, Mialy Rajoelina fondait l’Association Fitia.

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Editorial

  • Soixante jours !
    Les deux semaines qui ont vu la présentation des membres du nouveau Gouvernement, sous la houlette du Premier ministre, chef du Gouvernement Herintsalama Andriamasy Rajaonarivelo, arrivent bientôt à leur fin. Onze jours se sont écoulés, il reste quarante neuf jours des soixante jours, temps imparti dicté par le président de la Refondation, colonel Michaël Randrianirina, lors de son discours d’installation dudit Gouvernement le 28 octobre 2025 au palais d’Etat d’Iavoloha. En effet, le Chef de l’Etat Randrianirina a donné, d’un ton ferme, soixante jours francs aux nouveaux membres du Gouvernement de faire leurs preuves, de quels bois ils brûlent, selon une certaine expression ! Le Président de la Refondation de la République se démarque du sentier battu en réduisant la « période de grâce » ou « d’essai » à 60 jours au lieu de 100 traditionnellement appliquée. L’origine des « Cent jours » remonte à l’Empire, phase de l’Histoire…

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