vendredi, 16 juillet 2021

La une du 17 juillet 2021

Publié dans La Une


Renaissance. Créée en 1962 sous la dénomination Madagascar Presse (MADPRESS) avant de porter le nom d'Agence Nationale d'Information Taratra ou ANTA, l’agence de presse Taratra devient actuellement la référence des informations officielles. Il s’agit désormais d’une dépêche informative avec des attributions particulières. Sa mission se repose a priori sur la fourniture des informations institutionnelles et gouvernementales à titre officiel. En plus, son travail va être aussi axé sur la publication de toute dépêche d'informations exactes, vérifiées, reconnues et fiables. « A travers cette dépêche, nous allons mettre fin aux Fake news. Tant qu'une nouvelle n'a pas été publiée par Taratra, elle demeure non officielle. A titre d’exemple, le remaniement du Gouvernement tant évoqué ces derniers temps ou encore les voyages du Président de la République à l’étranger », a souligné Lalatiana Andriantongarivo, ministre de la Communication et de la Culture. Elle a profité de son intervention pour lancer un appel aux organismes, entités ministérielles et Directions de la communication respectives à collaborer avec Taratra.
Dans sa prise de parole, le n°1 du MCC n’a pas manqué de souligner les efforts déployés par ce ministère envers le monde de la communication à Madagascar. A commencer par le travail relatif à la loi de la communication médiatisée ou encore l’installation des Maisons de la culture et de la communication dans presque toutes les ex-Provinces.  Pour cette année, outre la formation des journalistes, elle a avancé qu’une formation des techniciens audio et vidéo et des animateurs TV et radio est programmée avec le ministère de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle. Et cette initiative se concrétisera dès le mois prochain.
La cérémonie de lancement officiel de cette agence de presse nationale s'est tenue hier à l’Office de la radio et de la télévision de Madagascar (ORTM), située à Anosy.
K.R.

Publié dans Société
vendredi, 16 juillet 2021

Gare aux mercenaires !

A l’approche d’un éventuel remaniement ou d’une retouche de l’équipe gouvernementale, des « démarcheurs politiques » souvent sans scrupules ni moralité s’agitent dans tous les sens sinon dans tous les états. L’objectif à terme consiste à se faire voir ou se faire remarquer d’abord par celui qui tient la manette de la décision et ensuite auprès de l’opinion publique. On se livre en vain à des gesticulations, à des clins d’œil et à des opérations de charme.
Dans le cas de l’espèce où le Chef de l’Etat Rajoelina consent en son âme et conscience la nécessité à remanier ou à retoucher le Gouvernement, il lui faudra nécessairement ou obligatoirement avoir en main une liste de personnalités ministrables à laquelle il va choisir librement. Le plus important consiste à se faire figurer dans cette fameuse liste. D’où le mobile de ces gestes de « m’as-tu vu ? ».
Gageons que le maître d’Iavoloha n’est pas dupe ! Les expériences du passé lui offrent, espérons-le, les moyens de pouvoir bien distinguer « les bons grains des ivraies ». N’empêche qu’il y a trop de loups qui rôdent dans les parages. Ils se déguisent en agneaux, sous leur peau. Il serait assez difficile et délicat pour un homme, à lui seul si expérimenté soit-il, de faire la part des choses face à cette multitude de prétendants. Il faudra bien prendre gare des mercenaires politiques ! D’où l’importance cruciale de l’entourage immédiat.
Madagasikara regorge de talents et de compétences et ce dans tous les domaines aussi bien parmi l’élite nationale qu’au niveau de la plateforme présidentielle. Il appartient ainsi au Président de la République, bien assisté de ses proches collaborateurs, de trier l’homme ou la femme qu’il faut à la place qu’il faut. Un mauvais choixporte un gros préjudice aux intérêts supérieurs de la Nation.
Compte tenu du contexte socio-politique qui prévaut en ce moment avoisinant la surchauffe, il faudrait prendre en considération certains points de vue. La patronne du perchoir de Tsimbazaza, la députée d’Ambotofinandrahana, Christine Razanamahasoa, magistrate de carrière, juge utile que la composition du Gouvernement reflète la configuration politique à l’Assemblée. C’est une pratique valable dans tout pays respectant la « vox populi ». Un ministre doit normalement subir avec succès le « passage au feu » des urnes. Un Gouvernement composé uniquement de techniciens et déconnecté de la plateforme présidentielle aura du mal à gérer les affaires nationales ainsi que la relation avec le Parlement dominé par la couleur de la formation présidentielle. Il y aura toujours des frictions sinon un clash ! Mais attention, une équipe dominée uniquement par des militants zélés moins équipés techniquement nuit à la concrétisation rapide du « Velirano ». Il appartient donc au Chef de l’Etat, le seul maître à bord, de bien « doser » la recette.
L’Opposition s’agite. Les ténors du RMDM en jonction avec les barons du TIM profitant de la brèche du moment, s’engouffrent dedans. Seulement, ces mercenaires politiques se trompent de voie, comme d’habitude d’ailleurs ! Ils croient dur comme fer que le régime orange vit en ce moment une situation de précarité et de ce fait fragilisé et donc facile à déstabiliser. Quelle erreur monumentale ! La cote de popularité du Président Rajoelina auprès de la population demeure intacte.
Ndrianaivo

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Message fort. Le Premier ministre Ntsay Christian a donné l’ordre à la grande famille de la Gendarmerie le renforcement de la surveillance des frontières. Une recommandation faite par le chef du Gouvernement lors de la réunion des grands responsables de la Gendarmerie tenue, hier, par visioconférence au Toby Ratsimandrava.
Le Premier ministre a rappelé aux responsables éparpillés dans toute l’île, à savoir les commandants des Circonscriptions inter-régionales de la Gendarmerie nationale (CIRGN) et les commandants de groupement, que l’introduction du variant sud-africain est due à l’entrée clandestine par voie maritime des personnes contaminées. « A l’heure actuelle où le variant delta rôde autour de Madagascar et les frontières malagasy encore fermées, il faudrait être vigilant pour stopper ces entrées irrégulières dans le pays », a insisté le Premier ministre Ntsay Christian. Une recommandation qui n’est pas tombée dans l’oreille d’un sourd comme l’atteste les nouvelles directives données par le secrétaire d’Etat à la Gendarmerie, le Général Richard Ravalomanana.
Cette grande réunion des grands responsables de la Gendarmerie se tient tous les six mois afin  de coordonner les actions et dans le but également de tenir un suivi sur les recommandations émises auparavant, les réalisations faites ou non durant le premier semestre ainsi que les problèmes rencontrés. Il va de soi que la projection pour le second semestre figure également sur les sujets traités à cette réunion semestrielle des grands responsables.
A part le Premier ministre Ntsay Christian, des membres du Gouvernement sont également intervenus à la réunion en l’occurrence le ministre de la Défense nationale, Général Léon Richard Rakotonirina, le ministre de la Sécurité publique, Rodilisy Randrianarison, le ministre de la Justice, Johnny Richard Ramahefarivo et le ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, Tianarivelo Razafimahefa.
La Rédaction

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Le 20 juillet est confirmé jour férié, chômé et payé, en raison de la fête de l'Aïd al-Adha, selon un communiqué du ministère du Travail, de l'Emploi, de la Fonction publique et des Lois sociales (MTEFPLS). Cependant, ce jour coïncide avec les épreuves du Brevet d’études du premier cycle (BEPC). Face à cette situation, bon nombre de parents, enseignants et candidats sont dans la confusion totale. Ils s’inquiètent sur un quelconque changement de programme ou report des dates. « Après la sortie de ce décret, nous avons commencé à se poser la question dans la salle de classe si les épreuves qui devront se tenir le mardi seraient reportées », avance une candidate au BEPC. A cet effet, le ministère de l’Education nationale a effectué une déclaration, hier, selon laquelle le calendrier de l’examen est maintenu, malgré la fête. « N’ayez aucune inquiétude. Les épreuves se passeront suivant le calendrier prévu. Il n’y aura aucun report », rassure le directeur des examens et de la certification auprès du ministère de l’Education nationale.
Comme à l’accoutumée, la ministre de l’Education nationale, Marie Michelle Sahondrarimalala, a souhaité une réussite à tous les candidats au BEPC, y compris les candidats en situation de handicap. « Je vous souhaite un grand succès pour cette étape importance de votre parcours », souhaite-t-elle.
Pas de panique !
Il n’y a donc pas lieu de paniquer. Comme prévu, les épreuves écrites relatives à cet examen d’accès au second cycle se dérouleront du 19 au 22 juillet prochain. Cette année, 325 253 candidats participeront aux épreuves du BEPC dont 6 malvoyants, 19 malentendants et 2 autres candidats ayant un handicap physique. Ils seront répartis dans 1 056 centres d’examen sur tout le territoire national. La benjamine a 8 ans tandis que le senior est âgé de 68 ans. Tous les deux passeront leur session dans la Circonscription scolaire (CISCO) d’Antananarivo ville.
En rappel, vu le contexte actuel, plus précisément la crise sanitaire, la plupart des établissements scolaires ont pris l’initiative de ne pas confisquer les convocations des élèves qui n’ont pas pu payer leur écolage. Une décision qui vise à ne pas perturber la concentration des candidats. En contrepartie, les parents s’engagent à régler au plus vite les frais de scolarités restants. Dans le cas contraire, des mesures ont été déjà prises par les centres d’écrit pour ne pas prendre en otage les élèves. Ainsi, même si un candidat ne dispose pas de convocation, il pourra concourir à condition qu’il soit inscrit sur la liste.
Anatra R.

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1 834 milliards d’ariary. C’est le montant des recettes apportées par le secteur minier, selon le rapport des travaux d’analyse de la contribution fiscale du secteur des industries extractives dans la Grande île. Ce rapport, présenté hier à Antananinarenina par l’organisation de la société civile, avance que les recettes du secteur des industries extractives sont dominées par celles des compagnies minières. De 2010 jusqu’en 2018, les revenus cumulés, provenant de toutes les compagnies minières - hors mises à part Ambatovy et QMM - uniquement régies par le Code minier, se sont élevés à 649,59 milliards d’ariary, avec une moyenne de 94 milliards, soit 38 % des recettes globales.
Pour les mêmes années d’exercice, l’Etat a pu encaisser 918,391 milliards d’ariary du projet Ambatovy, qui est le seul régi par la LGIM (Loi sur les Grands Investissements Miniers) à Madagascar. Cette somme représente 53 % des recettes globales du secteur minier. De son côté, la société QMM par jouit d’un régime spécifique. La convention d’établissement a permis au Gouvernement malagasy d’encaisser, pour les mêmes années d’exercice, une somme de 133,205 milliards d’ariary, équivalents à 8 % des recettes globales. Ainsi, les recettes fiscales sont majoritairement issues des régimes spécifiques qui réprésentent 61 % des recettes globales. Au vu de ces résultats, les organisations de la société civile sur les industries extractives préconisent de promouvoir un investissement dans des projets extractifs à forte valeur ajoutée, tout en suscitant un débat national et une réflexion collective pour la continuité ou non de l’adoption du régime de convention d’établissement régissant un projet minier donné.

Secteur d’avenir
Par ailleurs, selon la Banque mondiale, en 2024, le secteur minier sera l’un des piliers de l’économie malagasy grâce aux retombées qu’il produira au plan national et au plan local. Il sera par ailleurs la vitrine internationale pour le développement industriel sur le territoire de la Grande île. A moins qu’un grave revers de conjoncture se produise, les mines industrielles aujourd'hui en production le seront toujours dans 10 ans. Des projets comme QMM et Ambatovy auront atteint le stade de la rentabilité. Ils seront pour le Gouvernement des sources sûres de recettes fiscales et d’exportation, même si celles-ci suivront la fluctuation des prix des métaux. L’artisanat minier fournira toujours un moyen de subsistance à des centaines de milliers de personnes dans les zones rurales.
La question de savoir si de nouvelles mines auront démarré est plus incertaine. Elle dépendra, pour les gisements connus actuellement, du climat des affaires à Madagascar et de l’évolution des marchés internationaux. De nouveaux projets seront à l’étude si l’exploration minière aura repris et mené à de nouvelles découvertes. Dans tous les cas, les projets miniers seront regardés comme des pionniers par les porteurs de projets industriels et par les investisseurs en général, y compris dans d’autres secteurs. Ce qui rend leur succès d’autant plus décisif. Il importe alors aux autorités compétentes de bien réguler le côté fiscal dans ce domaine.
Hary Rakoto

Publié dans Economie


Si au début de l’année, la question de changement ou d’un remaniement du Gouvernement a été écartée d’un revers de main par les responsables au sein de la Présidence, le sujet revient avec insistance au cœur des discussions depuis ces dernières semaines.
Au cours de l’émission hebdomadaire « Tsy ho tompon-trano mihono » sur les chaînes publiques, la ministre Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo s’est exprimée sur le sujet et a estimé qu’un remaniement était plus probable qu’un changement du Gouvernement. « Le Président est le seul décideur. Cependant, de mon point de vue personnel, je ne pense pas que la décision ira jusqu’à un changement de Gouvernement, car la relation de confiance entre le Président de la République et le Premier ministre reste encore présente. C’est mon ressenti personnel par rapport aux relations entre les deux têtes pensantes de l’Exécutif », indique celle qui est porte-parole du Gouvernement. « Cela ne veut pas dire qu’il n’y aura pas de changement de Gouvernement. La décision appartient exclusivement au Président de la République », a-t-elle martelé. 
Evaluations
Si elle ne confirme ni n’infirme l’éventualité d’un changement du Gouvernement ou d’un remaniement, Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo informe en tout cas que les ministres ont subi leur évaluation, après le sursis accordé par le Président de la République depuis le début de l’année. La porte-parole du Gouvernement ne précise cependant pas quand est-ce que l’évaluation a eu lieu. L’éventualité d’un départ de certains ministres n’est pas à exclure. En tout cas, à entendre la ministre, la décision d’un remaniement ou non dépendrait donc actuellement du Chef de l’Etat.
« Au moment qu’il jugera opportun, le Président de la République, qui est en possession des résultats des évaluations, prendra la décision qu’il juge nécessaire. Il avisera selon que les résultats d’un tel ou d’un tel autre sont satisfaisants. Il décidera qui doit être remplacé ou pas », souligne-t-elle. « La question de l’opportunité ou le nom des ministres qui seront retenus ou non, sont des questions auxquelles réfléchit sûrement le Président », estime la ministre. Outre les évaluations, elle estime également que la décision pourrait également être basée sur la capacité des ministres à réaliser les programmes prioritaires fixés par le Chef de l’Etat.

La Rédaction

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Les investisseurs s’interrogent de plus en plus sur la notion d’impact positif et négatif des entreprises, dans la mesure où cet impact se conjugue avec leur performance sur le long terme. C’est l’une des thématiques principales discutées durant la sixième édition du salon RSE ou responsabilité sociétale des entreprises qui se déroule présentement en ligne. « Qu’est-ce qui va se passer pour que l’activité de l’entreprise soit durable et comment le secteur privé peut-il jouer un rôle dans l’atteinte des Objectifs de développement durable (ODD) ? », s’interroge Barijaona Ramaholimaso, président de la Commission économique et financement des entreprises du GEM.
En effet, les entreprises sont de plus en plus appelées à rendre compte de la façon dont elles contribuent à surmonter les grands défis mondiaux et, à ce titre, de la façon dont elles s’approprient les ODD. Certaines les utilisent encore comme un objet de communication avant tout, ou pour affiner leur politique RSE. En parallèle, de plus en plus d’entreprises se dotent d’une raison d’être et souhaitent donner du sens à leur modèle d’affaires. Ce type d’approche n’en est toutefois qu’à ses débuts. Quoi qu’il en soit, la traduction du langage universel des ODD dans leur propre syntaxe et la définition d’indicateurs pertinents et adaptés permettant de rendre compte de leur contribution, reste un défi de taille pour les entreprises.
Dès lors, le recours à des investissements et financements spécifiquement dédiés aux ODD reste encore relativement modeste, malgré la progression rapide des produits et services, autour de la finance durable, notamment en ce qui concerne le changement climatique. D’un autre côté, les investisseurs s’interrogent de plus en plus sur la notion d’impact positif (et négatif) des entreprises, dans la mesure où cet impact se conjugue avec leur performance sur le long terme. Certaines pratiques sont ainsi en plein essor, comme l’allocation de capitaux conditionnée par l’impact des entreprises et de leurs projets, ou encore le renforcement du dialogue des investisseurs avec leurs parties prenantes.
Des initiatives collaboratives voient le jour pour rendre ces démarches plus opérationnelles et développer des outils communs plus standardisés. Elles donnent lieu par exemple à des bases de données ou des méthodologies de mesure d’impact qui répondent à une réelle attente de simplification et de transparence. Ainsi, les participants à la sixième édition du salon RSE recommandent que les investisseurs souhaitant contribuer à l’Agenda 2030 gagneront à interroger leur stratégie d’investissement actuelle au regard des ODD et à comprendre et cartographier les impacts, contributions et obstructions des capitaux investis en fonction des ODD. Ces derniers pourront alors former leurs équipes d’investissement à ce cadre, pour que celles-ci prennent en compte l’impact sur les ODD dans leurs évaluations du modèle d’affaires des entreprises.

Hary Rakoto

Publié dans Economie


Le Bord de Mahajanga sera en liesse. Le samedi 31 juillet prochain, le championnat de Madagascar de Semi-Marathon, baptisé ‘‘Telma Semi-Marathon’’ de 21, 098km, fera son retour dans la ville des Fleurs. En effet, Mahajanga a abrité la dernière fois une compétition d’athlétisme en 2017.
Initialement prévu le 10 avril dernier mais reporté à maintes fois en raison de la pandémie de Covid-19, ce rendez-vous fera le bonheur des passionnés de course hors stade.
Pas moins de 150 participants sont attendus par la Fédération malagasy d’athlétisme à ce sommet national de Semi-Marathon. Comme son nom l’indique, la compétition sera sponsorisée par le 5G Telma, premier partenaire du sport à Madagascar. Le favori, Mampitroatse (COSPN), qui évoluera à domicile et Hajanirina Andriamparany (Cosfa) sont très attendus chez les hommes tandis que Mbola (CNaPS) et Seheno Rahariniriana (3FANS) restent les favorites chez les dames.
Au programme trois courses dont celle réservée aux femmes, « Rodobem-behivavy », sur une distance de 3km et s’ensuivront la course open de 5km ouvert à tout le monde, cadet et plus tandis que le Semi-Marathon sera ouvert aux licenciés et non licenciés. Outre les médailles et les lots, 500 000 ariary de prime attendront le vainqueur, 350 000 ariary pour le second et 250 000 ariary pour le troisième. Le sponsor partagera de nombreux goodies aux participants. « Tous les préparatifs sont prêts pour l’organisation avec Telma. Les techniciens sont déjà à pied d’œuvre et on n’attend que le jour J », annonce Norolalao, présidente de la Fédération malagasy d’Athlétisme (FMA) lors d’une conférence de presse au siège de Telma, hier. Elle a également souligné que « La saison 2022 débutera plutôt que prévu, au mois de septembre, car la préparation des athlètes en vue des Jeux des Iles 2023 débutera dès 2022. Le championnat de Madagascar sur piste sera pour fin août cette année. »
Pour la course 5km, 50.000 ariary seront offerts au premier, 45000 ariary pour le deuxième et 35000 ariary pour le troisième et, bien sûr, les primes seront accompagnées par des lots et des médailles. Quant à la course « Rodobem-behivavy », ce sera juste une course d’animation mais non pas une compétition. Effectivement, les participantes pourront terminer la distance de 3km à leur propre rythme même en marchant. Cette dernière ouvrira le bal à 14h30 et la crème de la discipline va clôturer la journée.
Elias Fanomezantsoa

Départ
Rodobem-behivavy (3km) : Chambre de Commerce, Résidence Faritany, NN et arrivée devant Banque Centrale.
 5km de Boeny : Banque Centrale, Baobab, Hôtel de ville, Capji, retour vers Baobab.
Semi-Marathon (21,098km) :
Alliance Francaise, Banque Centrale au bord de la mer, Baobab, vers Hôtel de Ville, Bois sacré, Hopital « Marapenitra », Rond-point Village, Jardin d’Amour, Bord, ligne de départ et retour sur le même parcours.

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Editorial

  • Rêve brisé ! 
    Rajaonarimampianina Hery, l’ancien Chef d’Etat, risque de voir partir en fumée son rêve de devenir président de la Commission de l’Union africaine. Un poste prestigieux ayant rang de Chef de Gouvernement voire Chef d’Etat selon les circonstances et les cas de figure. Cette Commission est l’organe exécutif de l’Union africaine. Elle est chargée de la mise en œuvre de la politique générale de l’UA arrêtée au niveau de l’assemblée générale, l’instance suprême de l’Union africaine. Le président de la Commission dirige et coordonne les actions des commissaires de l’UA. Il est responsable devant l’assemblée générale présidée de façon tournante par le Chef d’Etat ou du Gouvernement d’un pays membre. La présidence de la Commission est assurée de façon tournante également mais au niveau de chaque sous-région. Le prochain mandat de président de Commission à partir du début de 2025 revient à l’Afrique de l’Est. Et Madagasikara figure en pole position…

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