Vers 22h15, mardi dernier, un terrible bruit de chocs de ferraille a fait sursauter les riverains du quartier d’Amparibe Ambohidahy. Un véhicule que certains décrivent comme vraisemblablement un 4x4 Hyundai Terracan venait de heurter quatre autres voitures rangées tranquillement sur le côté de la chaussée. Le résultat fut effroyable : une Peugeot 206 la plus touchée, une berline Audi, une Mercedes ainsi qu’un autre 4x4 furent complètement ou partiellement endommagés, voire réduits à des amas de ferraille.
Chasse aux taxis clandestins. Depuis 2020, 3 000 taxis-ville ont pu régulariser leur statut. Ils disposent désormais d’une licence biométrique, délivrée par la Commune urbaine d’Antananarivo.
Le domaine de la santé mentale à Madagascar n’est pas encore une priorité. En effet, seulement 0,01 % du budget alloué au ministère de la Santé publique est affecté au traitement et suivi des personnes ayant des problèmes de santé mentale. En plus de cela, les médecins spécialisés ne peuvent pas gérer tous les cas. Ils ne sont que 16 dans toute l’île et la plupart restent concentrés dans la Capitale, alors que l’on estime 47 % des malgaches souffrant de cette maladie. Cela a été évoqué lors du lancement du projet HIFALI II (Hetsika Iombonana ho an’ny Fahasalaman’ny saina eny Ifotony) hier. C’est un projet qui intègre le programme Touching Minds Raising Dignity (TMRD), axé sur la santé mentale et le soutien psychosocial.
Cinq entreprises créées en 21 ans. Lalaina Razafitombo, entrepreneure dans l’Atsimo Andrefana, a pu le faire. Elle figure d’ailleurs parmi les premiers à opérer dans le domaine de l’informatique à Toliara, en 2002, avant d’étendre ses activités dans d’autres domaines comme l’immobilier, le placement, l’évènementiel, l’import- export, la coiffure et l’esthétique, etc. Cette coordinatrice de l’antenne « Entreprendre au féminin dans l’océan Indien » pour ladite région reconnait toutefois les difficultés rencontrées.
Pas d’inquiétude. Pour que chaque fan de la musique urbaine puisse bien prendre du plaisir sans être dérangé par les contraintes du comment rentrer chez soi à la fin du concert, les organisateurs avec leurs partenaires ont décidé de permettre au transport en commun de travailler jusqu’à très tard la nuit. Rappelons que, la première partie du concert débutera vers 18 heures, ce qui laisse à penser qu’il finira aux alentours de 22 heures. Et pour que les spectateurs arrivent à bon port ( chez eux), les bus sont autorisés à circuler jusqu’à 22 heures et demi.
Face aux nombreuses polémiques autour des prévisions de coupure de l’électricité qui sera opérée au niveau du réseau interconnecté d’Antananarivo en fin de semaine, la JIRAMA, à travers son directeur général Rivo Radanielina, a tenu à apporter quelques éclaircissements. D’emblée, le DG de la JIRAMA explique que les techniciens de la société, en collaboration avec les partenaires, sont actuellement dans la dernière étape en vue de l’installation d’un 4ème groupe à Andekaleka. Des travaux qui s’inscrivent dans la concrétisation du « Velirano » présidentiel visant à doubler la production en électricité.
Le 11 octobre dernier, et à la stupeur générale, la réserve naturelle d’Ambohitantely à Ankazobe, a pris feu, du moins partiellement. Le sinistre aurait été occasionné par un feu de brousse signalé depuis mi-septembre dernier. Depuis, on assiste à une lutte acharnée des secours issus de tous les milieux pour tenter de fixer le feu qui semble opiniâtre. Depuis mardi dernier, la Police nationale, par le truchement de sa Force d’intervention (FIP) d’Antanimora, s’est également impliquée à Ambohitantely à côté des sapeurs-pompiers de la Commune urbaine d’Antananarivo, une première dans l’histoire. Jusque dans la journée d’hier, ces policiers munis d’extincteurs et autres produits contre les flammes étaient encore en plein action, c’est-à-dire sur le front, et en première ligne.