mardi, 05 juillet 2022

La une du 06 juillet 2022

Publié dans La Une


Les employés au sein de la compagnie ferroviaire Fianarantsoa Côte- Est sont en grève. Ils revendiquent le paiement de leurs salaires impayés de neuf mois, selon des explications d’un porte-parole des quatre syndicats au sein de cette compagnie qui effectuent ce débrayage. De nouveau sur les rails depuis quelques mois seulement, cette compagnie se retrouve de nouveau dans une situation difficile. La FCE a en effet fermé ses portes durant six mois lors des moments forts de la Covid-19 à Madagascar. Elle a de nouveau été obligée de fermer boutique pendant trois mois en début d’année pour cause de cyclones, avant de rouvrir progressivement ses lignes. Les employés au sein de la FCE n’ont pas perçu de salaire durant ces 6 + 3 mois, raison de la grève actuelle, d’après des précisions. La ligne de chemin de fer de Madagascar reliant la ville de Fianarantsoa à la côte orientale de l'île, et plus précisément à Manakara, qui se situe elle aussi dans la Province de Fianarantsoa, fait face à d’importants problèmes de trésorerie.
Une passation entre deux directeurs en février dernier a permis de savoir qu’il ne restait que 200 000 ariary dans la caisse. Ce montant a servi à la réouverture d’une ligne après les cyclones. Chaque réouverture d’une ligne a permis le retour d’un trafic. Les bénéfices de la circulation sur chaque tronçon ont juste permis de rouvrir d’autres tronçons. Par ailleurs, il faut noter que la FCE utilise deux locomotives. Le besoin en carburant est doublé. Le nombre de passagers est resté inchangé. L’utilisation de deux locomotives a eu de fortes répercussions sur les dépenses et peu sur les bénéfices. Or, la FCE est une société à part entière. La baisse des bénéfices et la hausse des dépenses réduisent le budget de fonctionnement. Les agents grévistes saluent l’ouverture au dialogue du ministère de tutelle. Cependant, ils regrettent que les paroles ne soient pas suivies d’actions. Raison pour laquelle les demandes ont viré aux revendications, martèlent les grévistes. Outre la situation au niveau de la compagnie Air Madagascar et la hausse annoncée du tarif des taxis-be, le ministre des Transports a, en tout cas, du pain sur la planche ces derniers temps.

La rédaction

Publié dans Politique


Les images qui ont fait le tour de la toile et montrant un nourrisson chaudement vêtu et plutôt propre, mais qui avait été délibérément abandonné dans un terrain vague à Antsahatsiresy, lundi dernier, ont provoqué l’émoi parmi les internautes locaux. Depuis, la Gendarmerie a démarré une enquête, laquelle serait déjà sur la bonne voie. A preuve, la mère avait été identifiée et elle est actuellement recherchée. Cette jeune femme a travaillé comme domestique auprès d’une famille à Besarety, selon toujours cette source auprès de la Gendarmerie.
“Effectivement, cette jeune femme a bel et bien travaillé pendant un mois chez nous. C’était une rabatteuse qui l’a emmenée ici et nous l’avons embauchée. Or, au bout de trois jours seulement de fonction, nous aperçûmes qu’elle était enceinte. Cependant, notre femme de ménage a nié. Pour avoir le cœur net, nous avons décidé de la faire examiner par une matrone, qui a effectivement confirmé l’état de grossesse, sans toutefois faire un toucher. Et que cette matrone a prévu son accouchement en octobre prochain. Or, contre toute attente, elle a accouché dans la soirée du 26 juin. Et c’est nous qui avons acheté le trousseau pour le nourrisson. Quelques jours plus tard, précisément le lundi 4 juillet dernier, notre domestique nous a affirmé qu’elle allait se rendre à Talata Volonondry où elle devra élever son bébé. Nous l’avons donc accompagnée jusqu’à la gare routière d’Ambodivona.  Or, grande fut notre surprise en voyant ce qu’elle a fait de son nourrisson sur Facebook. Nous ne nous attendions pas à ce que cette fille, qui n’a pas encore sa carte d’identité car n’ayant atteint sa majorité qu’en mai dernier, allait abandonner délibérément ainsi sa fillette de 8 jours seulement et qui a sa copie de naissance”, confie une source auprès des employeurs de cette jeune domestique.
En attendant, la fillette est admise au CSBII de Sabotsy Namehana, du fait de son état de santé. Mais là, le doute s’installe sur la véritable intention de sa mère, une fois son forfait accompli. En cause, on ignore si elle était vraiment rentrée ou non à Talata Volonondry comme elle l’a avancé devant ses employeurs. D’où la nécessité de publier officiellement un avis de recherche, avec la photo de la jeune femme à l’appui.
Franck R.

Publié dans Politique



Le deadline fixé. L’achèvement des cours pour l’année universitaire 2021- 2022 doit se faire  au mois d’octobre prochain. La première Conférence des présidents des universités (CPU), hier à Fiadanana, l’a définie. La plupart des universités de Madagascar sont en train de clôturer l’année universitaire en cours, selon les informations recueillies. Les étudiants recevront 9 mois de bourses quoi que les activités pédagogiques doivent s’enchaîner pour ceux qui ne les ont pas encore achevés. « La prochaine rentrée pédagogique pour l’année universitaire 2022-2023 se fera le 7 novembre prochain. Les réinscriptions pour les universités qui ont pu achever précocement l’année universitaire en cours pourront se tenir entre le 26 septembre et le 31 octobre 2022 », rapporte Elia Béatrice Assoumacou, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, présente à la CPU via visioconférence. Pour l’université d’Antsiranana, où les activités pédagogiques restent à la traîne par rapport aux autres établissements, la réinscription se fera du 15 octobre au 20 novembre prochain. La rentrée administrative y est prévue pour le 26 septembre. 
Rappelons que les bacheliers de l’année 2021 sont en retard d’une année universitaire, avec la traîne des activités pédagogiques. Celle-ci pourrait s’expliquer par les nombreuses sources de tension dans les universités, dont la grève du syndicat des enseignants-chercheurs et les manifestations du personnel administratif et technique, du moins pour l’université d’Antananarivo. « Cela fait plusieurs mois que je fais des allers-retours à l’université, mais en vain. Aucune information sur les concours d’entrée et sur la rentrée n’a eu lieu. Les grèves ont envenimé les choses », nous confie Kevin R., bachelier de l’année 2021. En attendant la rentrée universitaire à Ankatso, le jeune homme a suivi des cours de langues et d’informatique, une autre manière de s’occuper. D’autres bacheliers ont opté pour la poursuite des études dans les universités privées, tandis que certains ont préféré travailler.
Par ailleurs, les présidents des universités, les directeurs généraux des IST et les responsables des Facultés, présents à la CPU, se sont convenus sur d’autres décisions. Les cérémonies d’investiture des nouveaux présidents qui auront lieu entre le 10 septembre et le 10 décembre prochain dans chacune des universités, en font partie. Quant à la loi sur l’autonomie universitaire, les textes critiqués par la Haute Cour constitutionnelle (HCC) ont été révisés, notamment les articles 2, 12, 17 et 21. Le projet de loi sera présenté lors de la prochaine réunion parlementaire, prévue en octobre prochain…
Recueillis par Patricia Ramavonirina




Publié dans Société
mardi, 05 juillet 2022

Vingt ans d’hérésie !

Double décennies de bluff ! Deux-cent quarante mois de fausse piste ! Mille quarante  semaines d’errements dont trois-cent-soixante-quatre (7 ans) de dérive de pouvoir et six-cent-soixante-seize  (13 ans) de traversée houleuse de désert ! Tel pourrait être, en gros, le condensé de la trajectoire de la vie politique de Ravalomanana et de son parti TIM.
L’ancien magnat de l’empire du lait, le TIKO, et ancien Chef d’Etat Ravalomanana Marc fête, en ces jours, avec ses ouailles le vingtième anniversaire du TIM, le parti qu’il a fondé. Mégalo qu’il est, il a voulu le faire dans le faste et grandiose sinon solennel mais son état d’opposant détracteur lui fait ombrage. Les grands restaurateurs propriétaires de grands « espaces » refusent de l’accueillir de crainte d’encaisser des représailles.
L’année 2002, l’année trouble et de crise, fut une belle opportunité pour l’homme de Faravohitra de jeter les bases de son parti. Amateur de pêche en eau trouble, Ravalomanana a su profiter de sa* double casquette à l’époque. Eh effet, étant le maire de la ville des mille et Pdg de TIKO, en même temps, il recrutait facilement nombre de partisans et de sympathisants à Antananarivo et dans certaines localités des Provinces. Des cadres ou d’anciens dirigeants de TIKO acquis à son cause, des membres de la haute société, de certains membres de l’élite intellectuelle du pays rallient avec empressement le parti de Ravalomanana. Enthousiasmés et exaltés par son parcours atypique, ils n’ont pas hésité à grossir le rang du TIM.
La crise de 2002, une de ces crises cycliques qui ont secoué le pays depuis 1972, fut un tremplin pour le maire de Tanà à s’emparer à la volée du pouvoir central et atteindre le sommet de l’Etat en occupant le Palais d’Iavoloha. En effet, en pleine crise, profitant du chaos, le champion de la nage en eau trouble, Ravalomanana Marc accapare subtilement par la ruse voire par le bluff le pouvoir. 
De retour de Dakar II, à son atterrissage à l’aéroport international d’Ivato, Ravalomanana déclara que la mission de médiation, initiée par le South African Development Communauty (SADC), organisation sous régionale pour le développement économique de l’Afrique australe et sous les bons auspices de l’UA, qui s’était tenue dans la Capitale du Sénégal, pour régler la crise malagasy mettant aux prises Ratsiraka Didier et Ravalomanana Marc, aurait abouti à un accord en sa faveur. Plus tard, le communiqué officiel de la SADC le démentit. Ainsi, dès le départ le régime Ravalo commençait par un   mensonge.
La dérive autoritaire qui suit après et ayant duré sept ans compliquait la vie de la Nation. Ravalomanana faisait l’amalgame entre les intérêts du pays avec ceux de son propre empire. Le règne sans partage qu’il affectionnait le conduit tout droit vers la dictature qui, au final, précipite la chute. Les contestations populaires de 2009 furent inévitables.
Rien de plus normal si l’ancien Président de la République allait enchainer traversée du désert et échec aux élections. La fête de l’anniversaire du TIM ne peut pas être autrement que des « rappels » dans les mémoires des bourdes et des erreurs commises à chaque tournant de la trajectoire. Il n’y a rien qui vaille la peine d’être fier !
En gros tout juste, vingt ans d’hérésie.
Ndrianaivo

Publié dans Editorial


Le grand jour approche et le grondement se fait ressentir. Effectivement, le rappeur Kalash donnera son premier show à Madagascar cette semaine, plus précisément ce samedi 9 juillet  au Palais des Sports et de la Culture, sis à Mahamasina. L’artiste français d’origine martiniquaise, tant attendu par les jeunes, débarquera dans la Grande île demain pour un séjour de 4 jours. En ce qui concerne son programme, il sera l’invité d’une émission télévisée matinale, vendredi prochain, avant de passer au lieu où se déroulera son spectacle. Ensuite, dans l’après-midi du 8 juillet, Kalash va visiter un centre d’orphelinat de la Capitale. Autant dire que son programme sera chargé jusqu’au jour J, notamment le grand concert. Et pour clôturer en grande pompe ses prestations, l’artiste entamera une soirée privée ou « After show » à l’hôtel Ibis, Ivandry.
Au sujet du déroulement du show, les organisateurs ont dévoilé que le concert se divisera en trois parties. En première partie, les artistes locaux, entre autres Arione Joy, Johanne, Mélanie Walker et Basta Lion ouvriront la scène pendant 60 à 90 minutes. Un show DJ animé par les deux meilleurs DJ de l’Empire club à Paris, à savoir DJ Tyson et DJ Elaidji, s'en suivra durant une heure. Enfin, Kalash fera son entrée à la dernière partie, durant laquelle il enflammera la scène pendant 90 minutes. Pour satisfaire ses fans, l’artiste français chantera ses morceaux les plus connus, dont « Taken », « Mwaka moon », « Moments gâchés », « Tu le sais », etc. Ses chansons extraites du nouvel album « Tombolo », entre autres « My life », « Everybody Falla », ne seront pas en reste.
Ebahies
Parmi les surprises qui attendent les spectateurs figure un duo de Kalash avec un artiste malagasy. Les organisateurs n’ont encore rien dévoilé sur l’identité de cet artiste qui aura le privilège de chanter avec Kalash, ni le titre du morceau. Pour faire durer le suspense, les responsables ont décidé de donner les réponses lors du spectacle. Par ailleurs, il y aura également des chorégraphies durant le concert. Les répétitions y afférentes s’enchaînent en ce moment et les effets spéciaux pour pimenter le show ne seront pas en reste, a-t-on communiqué. Les organisateurs ont sorti le grand jeu pour ce show d’envergure internationale et promettent aux spectateurs qu’ils vont vivre des moments intenses et inoubliables.
Les tickets d’entrée sont encore disponibles dans différents points de vente, à savoir le magasin Mass’in situé à La City Ivandry, la galerie à Smart Tanjombato et Akoor Digue. Le site www.ticketplace.io reste également ouvert pour ceux qui veulent faciliter l’achat de leurs billets. Selon les dernières informations venant des organisateurs, les billets « Lite » et « Platine » sont déjà épuisés. Par contre, d'autres catégories de ticket, dont le « Smile » à 20 000 ariary et le « Gold » à 100 000 ariary sont encore disponibles.
Sitraka Rakotobe

Publié dans Culture



Objectif presque atteint. L’opération copie d’acte de naissance, organisée par la Région d’Analamanga, en collaboration avec le ministère de l’Intérieur et celui de la Justice, sur un financement de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), touche actuellement à sa fin. Sur les 17 742 personnes ciblées par ce projet, plus de 16 000 jouissent désormais de leur droit fondamental qu’est leur inscription dans le registre d’Etat civil. Les enfants peuvent désormais être scolarisés tandis que les adultes peuvent avoir leur carte d’identité nationale, jouir de leur droit de vote, etc… « Cette campagne a pu toucher 4 générations, privées de copie depuis des années », confirme Hery Rasoamaromaka, gouverneur de la Région d’Analamanga. Le retard de la sortie des jugements supplétifs dans le District d’Ankazobe pourrait expliquer le fait qu’un millier de personnes restent sans copie. Mais ce problème est désormais résolu et ils auront les leurs prochainement, selon les informations recueillies.
Pour la Commune de Tanjombato, dans le District d’Antananarivo Atsimondrano, environ 600 enfants, jeunes et adultes ont reçu leurs copies d’acte de naissance, lundi dernier. Marie Razanadrasoa, vendeuse de sacs en sisal, en fait partie. « Deux de mes 4 enfants n’ont pas de copie faute de déclaration de naissance à la Commune », témoigne la mère de famille. C’est également le cas d’une femme âgée de 64 ans, dont les enfants et les petits-enfants sont privés de copie. « Nous allons renforcer le recensement et les sensibilisations pour les déclarations de naissance à la Commune, notamment pour les accouchements à domicile », avance le maire de ladite Commune. 
Environ 2,5 millions d’enfants malagasy n’ont pas de copie d’acte de naissance, selon l’OIF. Une des raisons pour laquelle ce projet va s’étendre dans la Région d’Atsinanana très prochainement. Son élargissement à l’échelle nationale reste un objectif à moyen ou à long terme.
Recueillis par Patricia R.



Publié dans Société


Attentes comblées. Depuis que la promotion de la filière vanille est devenue un cheval de bataille au sein du ministère de l’Industrialisation, du Commerce et de la Consommation, les opérateurs locaux suivent de près l’évolution de la stabilisation de la filière. Parmi eux, Georges Geeraerts président du groupement des exportateurs de vanille de Madagascar et vice-président du Conseil national de la vanille de Madagascar est venu renforcer la délégation malagasy qui était en déplacement à Paris pour la rencontre internationale de la vanille avant-hier. Au président du groupement des exportateurs de Madagascar d’expliquer : « La volonté d’assainissement exprimée lors de cet évènement a rencontré les attentes de nombreux opérateurs. En effet, le marché parallèle créé par ceux qui contournent la règlementation a porté préjudice aux autres ainsi qu’aux producteurs qui n’ont pas été rétribués décemment. De plus, il n’y a pas de volonté de limiter le nombre d’opérateurs à un certain nombre maximum ni de volonté de monopole. Tous ceux qui ont respecté les règles et qui s’engagent à les respecter auront la possibilité d’obtenir un agrément. Par ailleurs, du côté des importateurs, on a pu noter majoritairement une réelle satisfaction quant à la politique mise en place et un rétablissement de la relation de confiance envers l’entité paritaire qu’est le Conseil national vanille réorganisé ». Une façon pour ce responsable d’exprimer la satisfaction du groupement qu’il représente par rapport à l’initiative du déplacement à Paris.
Promotion et règlementation
Pour rappel, il s’agissait d’une sorte de mission de promotion de la vanille de Madagascar mais également pour conscientiser les importateurs et les industriels sur la mesure de fixation des prix décidée par les autorités malagasy. Suite à cette rencontre, les acheteurs devraient, eux aussi, respecter cette décision. Pour la campagne 2022 – 2023, le prix minimum de 75 000 ariary le kilo de vanille verte et de 250 dollars la vanille préparée à l’exportation seront maintenus. L’octroi d’agrément se fera en fonction du respect des normes et des réglementations par les exportateurs. Notons que le Conseil national de la vanille (CNV) a planché ces derniers temps sur les moyens de développer davantage la filière. La fragilité de la filière réside surtout dans l’instabilité des prix qui représente pourtant sa force aussi. En effet, depuis quelques années, cette filière, pourtant à fort potentiel économique, est sujette à des instabilités provoquant le déclin de la réputation de la vanille de Madagascar sur le plan international. Cela, en dépit d’une part de marché mondial estimée à 70%. Le CNV sera ainsi en charge de la détermination des prix de référence de la vanille lors des campagnes afin qu’aucun maillon de la chaîne de valeur, partant des petits producteurs jusqu’aux exportateurs, en passant par les collecteurs, ne soit lésé.



Publié dans Economie

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Editorial

  • Revers cinglant !
    Il ne manquait plus que cela. Le tableau de la désolation est complet. Parmi les pays les plus pauvres du monde ! Capitale la plus sale d’Afrique ! Pénurie alarmante d’eau ! Taux préoccupant de tabagisme, le plus élevé d’Afrique ! Indice de perception de la corruption IPC stagnant voire en recul ! Routes nationales impraticables ! Etc. Le dernier en date, l’homologation rejetée du Stade Barea ! Bref, on rafle les tristes records ! Des camouflets qui font honte.

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