Deux ans et 6 mois après la découverte des premières contaminations au coronavirus en Chine, la Covid-19 continue toujours de faire des victimes. Et presque deux ans après avoir décrété l'urgence internationale, la situation sanitaire demeure la même. La dernière réunion du Comité d'urgence concernant la maladie à coronavirus, vendredi dernier, a annoncé le maintien de la pandémie de Covid-19 au rang "d'urgence de santé publique de portée internationale", le plus haut degré d'alerte de l'organisation.
Depuis 2016, un projet de Filets sociaux de sécurité (FSS) a été mis en place avec l’appui de la Banque mondiale et de l’Unicef et mis en œuvre par le FID. Il est composé de trois principaux programmes dont le transfert monétaire pour le développement humain dont le « Vatsin’ankohonana » et « Fiavota », l’argent contre travail-productif et les réponses aux crises comme le « Toseke vonje aigne ». Il prévoit des dispositifs de Protection sociale réactive aux chocs (PSRC).
Changeons un peu d'air ! La problématique relative à la question des prix du carburant à la pompe submerge trop. Réaction normale et compréhensible dans la mesure où la moindre fluctuation vers le haut ou vers le bas influe directement sur le coût de la vie en général. Dans le cas de figure où les- dits prix vont vers le haut, le principe lié à l'effet de domino déclenche systématiquement une avalanche. Tout dépend du degré d'importance de la hausse des prix à la pompe.
Les réalisations des pays membres de la Convention de Nairobi en matière de protection, gestion et valorisation du milieu marin et côtier ont été mises en exergue. Ceci lors de la première réunion en présentiel des représentants des pays membres dudit arrangement régional, la semaine dernière à Nosy Be Hell-Ville. Le point focal national de Madagascar n’a pas manqué de partager les faits constatés dans le pays ainsi que les activités entreprises pour y faire face, notamment dans la Région Boeny.
A vos plumes. Les inscriptions pour le concours de Chansons sans Frontières, 17e édition, sont ouvertes depuis le 4 juillet dernier. C’est une manifestation organisée par l’Association Fusaca et Accord Production, parrainée par l’Organisation internationale de la francophonie. Comme à l’accoutumée, les auteurs malagasy francophiles sont invités à participer à cet événement d’envergure internationale d'écriture d'un texte de chanson en français gratuit. Pour ce faire, les participants doivent écrire une chanson de trois couplets et un refrain, sans oublier d’inclure un titre à l’œuvre, sous un thème bien défini. Et pour prendre un meilleur départ, les organisateurs viennent de dévoiler le thème pour cette 17e édition.
Anosipatrana, Ambohipo, 67Ha, etc. Ces axes font partie des rues d'Antananarivo qui ont accueilli des travaux de réfection, ces derniers mois. Pourtant, des dégâts ont été déjà enregistrés, notamment des fissures de béton. Ils ont même été de nouveau fermés aux usagers depuis des jours. Une fermeture qui a défrayé la chronique notamment sur les réseaux sociaux. « Avec le trafic occasionné par la fête nationale, la réouverture des routes en construction a été sollicitée, et ce bien avant le délai fixé pour la réparation.
En déclin. Selon le dernier rapport de l’Initiative sur la transparence des industries extractives (EITI), le secteur minier à Madagascar peine à retrouver une vitesse de croisière notable. En effet, de 2018 à 2020, la contribution des industries extractives dans les recettes fiscales a diminué. Elle est de 230,82 milliards MGA en 2018 contre 92,18 milliards MGA en 2019 (soit une baisse de 60%) et de 43,10 milliards MGA en 2020 (soit une dégradation de 53% de 2019 à 2020). Une tendance qui persiste jusqu’à présent, selon les projections de certains observateurs dans le secteur.