mercredi, 27 novembre 2024

La une du 28 novembre 2024

Publié dans La Une
mercredi, 27 novembre 2024

La lutte continue !


« Orange Day ». La journée internationale de sensibilisation de la lutte contre les violences basées sur le genre se tenait ce lundi 25 novembre. Une mobilisation générale sous la houlette de la Première dame, Mialy Rajoelina, visant la conscientisation sur les méfaits de cet anachronique délit, a eu lieu dans tout Madagasikara, au Kianjan’ny hira gasy, Ampefiloha pour Antananarivo. Etant entendu qu’il s’agit une Journée mondiale, des mouvements de sensibilisation parfois même de contestation contre les violences basées sur le genre ont été constatées à travers les grandes villes du monde. Paris, New-York, Londres et bien d’autres ont vu des manifestations logées à la même enseigne. Les femmes, de toutes les couleurs, de race, de religion, ont battu les pavés des grandes capitales pour dénoncer ce qu’il convient d’appeler les féminicides. Une nouvelle terminologie pour immoler sur l’autel de la justice humaine cette honteuse et désuète pratique.
A Madagasikara, l’inusable et championne de la lutte contre les VBG, Mialy Rajoelina, dans son discours officiel tenait à adresser un message de fond aux jeunes filles. Plus de 50% de la population sont composés de femmes et de filles soit environ 14 millions d’âmes. Selon la statistique, une femme sur trois est victime ou a été victime de violence au cours de sa vie. 13% de femmes sont victimes de violences sexuelles. Mialy Rajoelina insiste sur le fait qu’on peut bien se reconstruire après avoir été victime des VBG. Au fond, ce n’est pas évident en soi mais il faudra coûte que coûte se relever et combattre le mal. Sinon, on se détruit lentement ! Elle appelle à la conscience nationale sur le danger aux conséquences pouvant être irréversibles dues aux violences physiques, sexuelles ou autres. Le moyen le plus efficace à la portée de tous, à savoir l’éducation à tous les niveaux, doit avoir sa place primordiale. Dans le noyau familial, en classe et au sein de la communauté villageoise s’entend, parents et éducateurs dont en première ligne les enseignants dans les écoles s’activent pleinement.
« Orange Day », de par sa couleur, a été choisie pour symboliser à l’échelle mondiale ce combat contre les violences, en signe de solidarité planétaire.  Les maltraitances faites aux descendantes d’Eve ne sont pas le fait d’un seul pays ou d’une seule région sinon seul continent, c’est un problème mondial pour ne pas dire universel. Elles ne datent pas d’hier non plus. Depuis la nuit des temps, on considère les femmes et les filles comme des « objets » entre les mains des hommes. Dans la société traditionnelle malagasy, on les prend pour des « fanaka malemy ». Veuillez mettre en relief le terme « fanaka » c’est-à-dire « meuble » ou « outil » ou « objet » que les hommes (époux ou amants ou même frères) peuvent utiliser à leurs besoins voire à leur guise.
C’est toute une pensée, une philosophie et une culture archaïque qu’il faudra repenser, remodeler et pourquoi pas recréer pour une nouvelle base de concept moral. Les stratégies d’action s’orientent principalement vers les parents au sein du cocon familial et également vers les jeunes.
Certes, c’est un travail qui s’inscrit dans la durée. Le plus important consiste à cultiver l’esprit de continuité.
Ndrianaivo

Publié dans Editorial




Depuis la démission de Romuald Rakotondraibe, dit Rôrô, la sélection nationale de football de Madagascar est en quête d’un nouveau stratège. La Fédération malgache de football (FMF) s’active pour trouver la perle rare capable de redonner des ailes aux Barea. Et ce par le lancement d’un appel à candidatures, une pratique unique dans le monde.
Aucune nation ne lance un appel à candidatures pour désigner son sélectionneur. Les sélections nationales, même les plus grandes, ciblent directement les entraîneurs qu’elles jugent capables de porter leurs ambitions, et effectuent des discussions en coulisses pour les convaincre. Pour un petit pays comme Madagascar, cette démarche d’appel à candidatures peut paraître maladroite ce qui risque de banaliser un poste qui devrait être stratégiquement confié à une personnalité choisie avec soin.
Entre les noms qui circulent et les attentes des supporters, la tâche s’annonce aussi passionnante que délicate. Parmi les favoris des rumeurs, Arsène Malabary. Ancien du RC Lens, il coche plusieurs cases : un joueur formé à l’école européenne, premier malgache à jouer la ligue des Champions, détenteur des diplômes nécessaires et surtout une figure respectée et qui parle le même langage footballistique que  les expatriés, ces pièces maîtresses souvent difficiles à convaincre de revêtir le maillot national. Toutefois, son inexpérience en tant que coach principal pourrait lui jouer des tours. Mais après tout, il a déjà dirigé les Barea à une époque. Et s’il revenait pour un second chapitre plus abouti ?
Un nouveau souffle
Du côté des noms déjà présents dans le paysage, Gilles Hugon, fidèle adjoint de Rôrô, ne manque pas d’arguments. Ses courtes apparitions comme entraîneur intérimaire ont permis d’entrevoir un potentiel certain. Toutefois, son manque d’expérience à la tête d’une équipe principale laisse planer quelques doutes. Serait-il prêt pour un rôle aussi exigeant ? Force est par ailleurs à faire remarquer qu’il est rejeté par les anciens joueurs des Barea ayant fait la CAN…
Le CV qui fait rêver, c’est celui d’Amir Abdou, l’homme qui a mené les Comores jusqu’à une phase finale de la CAN, un exploit salué partout en Afrique. Diplômé, expérimenté et stratégique, il a de solides atouts. Mais comme tout talent rare, son prix risque de poser problème.
Dans la liste des candidats possibles, Eric Rabesandratana revient également. Après un passage mitigé à la tête des Barea, il conserve néanmoins un certain capital sympathie. Son passé de joueur professionnel lui donne une aura auprès des expatriés et de l’équipe. Un pari peut-être moins risqué que d’autres, surtout s’il s’entoure d’un staff expérimenté.
Quant à Fabiano Flora, adjoint de Rabesandratana à l’époque, son nom circule également. Ce jeune entraîneur portugais, en poste actuellement en Arabie Saoudite, a impressionné par son parcours. Mais entre son engagement actuel et les conditions locales, son retour au pays semble plutôt relever du rêve que de la réalité.
Et si la solution venait d’un inconnu ? Franck Rajaonarisamba, ancien sélectionneur des Barea, invite à penser hors des sentiers battus. « Pourquoi pas un nouveau visage ? Quelqu’un qui apporterait un souffle inédit au football malgache ? », suggère-t-il. Une idée qui pourrait séduire, à condition de trouver la bonne personne.
Qu’il s’agisse d’une figure connue ou d’un outsider, le futur sélectionneur des Barea devra faire preuve de tact, d’ingéniosité et d’une bonne dose de patience pour relever les défis qui l’attendent. La grande question est néanmoins de savoir si la FMF aura les moyens de ses ambitions. Elle qui cette fois-ci semble vouloir voler de ses propres ailes et passer au-dessus de l’Etat et le ministère des Sports pour nommer le futur sélectionneur.
La Rédaction




Publié dans Politique

Rebondissement dans l'affaire concernant l'assassinat de la petite Tefinantenaina Aryah Matianah Miley, dite  Miley (6 ans), à Fianarantsoa, au cours de la semaine dernière. En fait, dans une information que nous tenons d'une source, la Police n'ayant pas confirmé ni infirmé, l'arrestation de quelques suspects dans l'affaire traduit le couronnement de l'enquête menée par cette Force. Mardi dernier, tous les suspects ont été alors déférés au Parquet du TPI de Fianarantsoa. Trois d'entre eux, désignés comme les présumés auteurs de l'assassinat de la fillette, ont donc atterri en prison, du moins à titre provisoire. Si l'un a été incarcéré à la prison d'Ankazondrano à Fianarantsoa, les deux autres le sont à Tsiafahy, dans le sud de la Capitale. Bien que l'information se fait tirer au compte-gouttes, des témoins auraient affirmé avoir vu les concernés transportant le sac renfermant les restes de la victime jusqu'à l'endroit où l'objet en question a été ensuite repéré près du portail non fonctionnel du lycée Raherivelo à Fianarantsoa, sans plus de commentaires. Les trois seraient des dockers, confie encore la source. Mais là aussi, l'on avance que l'acte abominable dont on les incrimine aurait un lien avec un présumé trafic d'organes.
Par ailleurs, deux autres suspects dans cette affaire, ont été placés sous contrôle judiciaire. Enfin, un autre encore a été simplement relâché.
Au moins, l'allégation du trafic d'organes supposée, permettrait donc de lever le suspense pour chercher à comprendre cette inadmissible barbarie que ses assassins ont fait subir à la petite Miley. De plus, l'absence d'une quelconque trace de violence sexuelle sur la victime tend de plus en plus vers la thèse d'un vol d'organes supposé. La balle est dans le camp de la justice pour le confirmer ou le réfuter lors de la prochaine comparution des prévenus.
Rappelons que les restes de la victime ont été retrouvés dans un sac de charbon, le 18 novembre dernier. Et que le corps est marqué des traces de coups.


Franck R.

Publié dans Politique

Aux côtés de l’association Fitia depuis 2019. La Brigade féminine de proximité (BFP) auprès de la Police nationale a redoublé d’efforts, non seulement dans la prévention des cas de violences, mais aussi dans la prise en charge des survivantes. « Neuf bureaux de la BFP sont actuellement opérationnels dans toute l’île, 6 autres en cours de construction. L’effectif des femmes policières au sein de la BFP s’est également multiplié, passant de 65 à ses débuts à 200 actuellement, en exercice dans tout Madagascar », rapporte la Première dame Mialy Rajoelina, et non moins présidente de l’association Fitia. En tant que championne de lutte contre les Violences basées sur le genre (VBG), elle n’a pas manqué d’exprimer sa reconnaissance envers la BFP pour la dévotion et le courage de chacune de ses membres, constituées exclusivement de femmes. Elles travaillent jour et nuit pour assurer la sécurité, notamment celle des femmes et des enfants. Elles collaborent également avec les autres services, dont la « Police des Mœurs et la Protection des Mineurs » ou encore le centre de prise en charge intégré à Mahamasina pour venir en aide aux victimes de violences et aux vulnérables, subissant des injustices auprès des communautés. Aussi, les éléments de la BFP participent activement aux caravanes médicales.
Des missions complémentaires
« Les missions de l’association Fitia et de la BFP sont complémentaires, dans l’objectif  commun de prévenir les violences, de soutenir les survivantes et de venir en aide aux plus vulnérables », reconnait la Première dame. Effectivement, les éléments de la Brigade féminine de proximité effectuent des sensibilisations sur terrain et veillent au bien-être des habitants. Les policières aident les personnes âgées, les femmes enceintes et allaitantes ou encore les enfants et les personnes handicapées à traverser la rue. Mais elles font également plus, entre autres l’accueil des signalements de cas de violences et des victimes qui s’y plaignent. Ils convoquent les auteurs et présentent les lois en vigueur, les impacts des violences et font des avertissements. Après les signalements et les plaintes, les affaires sont portées dans d’autres services de la Police nationale compétents.
Dans le cadre de la campagne des 16 jours d’activisme, la championne de lutte contre les VBG s’est rendue hier au bureau de la BFP à Tsaralalàna. Une occasion pour remettre les lampes solaires « Hazavana ho anao » aux 30 femmes issues de l’ONG « Mille Espoir » à Anosibe. Ce geste témoigne à la fois le soutien sans faille et l’encouragement de la Première dame à la BFP, ainsi que son engagement dans la lutte contre les violences et dans la protection des droits des femmes, y compris les survivantes. Ces dernières sont encouragées à se mettre debout et se redresser pour mieux aller de l’avant…
P.R.




Publié dans Société

Ça y est ! Les dés sont jetés ! Impliqués dans le braquage, survenu le 21 novembre dernier, de l'agence de transfert Ria Money à Volo Volo, Moroni, et qui a failli coûter la vie à un caissier de 24 ans, les deux suspects malagasy ont été placés en détention provisoire dans une prison de la capitale comorienne, lundi dernier. L'information émane du procureur de la République près le tribunal de Moroni, Abdou Ismaël, lors d'une conférence de presse. Et ce n'est pas tout. Les deux prévenus malagasy se trouvaient en situation irrégulière aux Comores. Entrés dans l'île voisine en 2022 et 2023, ils n'ont qu'un visa de 45 jours non renouvelé, selon toujours cette personnalité haut placée de la justice  aux Comores.
Mais revenons sur les faits. Vers 7h15 du matin le 21 novembre dernier,  les deux suspects malagasy ont feint d’effectuer une transaction auprès de l’agence Ria en question quand soudain, profitant d’un moment où il n’y avait personne devant la caisse, ils s’en sont violemment pris au caissier de service, première personne venue à l'agence, en le blessant grièvement avec un couteau. Son hémorragie fut importante. Emmené d'urgence à l'hôpital El Maerouf où le blessé a reçu des soins, il a heureusement survécu à ses blessures.
Quant aux agresseurs, ils se sont enfuis avec 2000 euros. Mais l'un d'eux a été appréhendé par la foule sur place, avant que la police n'intervienne. C'est qu'une cliente qui voulait effectuer une opération à l'agence, l'aurait remarqué, et a par la suite donné l'alerte.
Un avis de recherche
Pendant que l'un des deux Malgaches, a été capturé vivant, l’autre, répondant au nom de Heritiana Ronald Florent Rasolonjatovo, était en cavale. La gendarmerie nationale des Comores a publié sa photo dans un avis de recherche. "Il est soupçonné de complicité de vol aggravé d’agression au couteau, le fuyard est considéré comme très dangereux", a précisé la gendarmerie. Le fugitif est «suspecté de complicité de vol aggravé et d’agression au couteau dans une agence de Ria », a indiqué la gendarmerie comorienne dans l’avis.
Mais le surlendemain même des faits, la gendarmerie nationale des Comores a annoncé que l'individu recherché pour complicité dans  l'agression armée d'une agence Ria à Volo Volo, a  été interpellé grâce à une opération conjointe menée par le groupe d'intervention de la police nationale comorienne, la Force Comorienne de défense (FCD), la gendarmerie des Comores, enfin par le soutien de la population.


F.R.

Publié dans Société

Le Syndicat des Industries de Madagascar (SIM) a marqué un tournant dans l'accompagnement des jeunes professionnels en lançant officiellement la plateforme numérique "Pôle Stage", hier à  Analakely, dans les locaux du Syndicat. Cette initiative a été présentée lors d’un événement organisé dans lesdits locaux. Selon Tiana Rasamimanana, président du syndicat et initiateur du projet, "Pôle Stage" représente une avancée majeure dans le rapprochement entre les jeunes talents et les entreprises industrielles du pays. Destinée à améliorer l’accès aux opportunités de stage dans le secteur industriel, "Pôle Stage" est une passerelle numérique qui offre aux jeunes diplômés la possibilité de trouver des stages en adéquation avec leurs compétences et aspirations. Ce projet, qualifié d'innovant, répond à un besoin crucial dans le paysage éducatif et professionnel de Madagascar.  Tiana Rasamimanana a tenu à souligner que « l'objectif est non seulement de faciliter l'intégration des jeunes dans le monde du travail, mais aussi de garantir qu'ils bénéficient de conseils pratiques pour réussir cette transition ». Pour les entreprises industrielles, la plateforme représente un moyen d'élargir leur vivier de talents. En effet, les membres du SIM pourront recruter des stagiaires qualifiés et, potentiellement, des futurs collaborateurs.
Innovation RH
"Pôle Stage" permet donc de renforcer les liens entre les industries et la nouvelle génération de professionnels, contribuant ainsi à une meilleure insertion sur le marché du travail. La plateforme se distingue par plusieurs fonctionnalités clés. Ceux qui ont déjà suivi les formations en présentiel organisées par le SIM auront automatiquement accès à un compte sur "Pôle Stage". En outre, la plateforme propose un espace dédié où des experts issus des ressources humaines et de l’industrie partagent leurs conseils et recommandations à travers des articles de blog. Parmi les thèmes abordés figurent la rédaction de CV, la préparation aux entretiens d’embauche et les bonnes pratiques en entreprise. La présentation de "Pôle Stage" a réuni plus de 20 établissements d'enseignement publics et privés, ainsi que plusieurs ministères et organisations partenaires. Les responsables des ressources humaines des industries membres du SIM joueront un rôle essentiel dans la contribution au contenu de la plateforme. Leur expertise permettra d'orienter et d’accompagner efficacement les jeunes talents. Le président du SIM a d’ailleurs insisté sur "l'importance de l'implication des acteurs industriels pour que cette initiative soit une réussite". Le projet "Pôle Stage" ambitionne ainsi de devenir une référence à l’accompagnement des jeunes diplômés malagasy dans le secteur industriel, tout en renforçant la compétitivité des entreprises locales.
Hary Rakoto

Publié dans Economie

Une bonne nouvelle pour les slameurs locaux. L'Ambassade des Etats-Unis à Madagascar va parrainer Marc Kelly Smith, figure emblématique et fondateur du mouvement poétique slam, dans le cadre de la 15ème édition du Festival International de Slam-Poésie de Madagascar. Cet événement se déroulera du 28 novembre au 7 décembre et marquera la première visite de Smith sur l'île. Son arrivée est perçue comme une célébration de la dynamique communauté slam-poésie malagasy. Au cours de son séjour à Madagascar, Marc Smith interagira avec de jeunes poètes et des artistes locaux. Il se rendra dans plusieurs établissements scolaires et animera des ateliers destinés aux lycéens et étudiants de l’université d'Antananarivo. Ces activités visent à promouvoir l'art du slam-poésie et encourager l'expression créative, dans un esprit d'échange culturel renforcé entre les Etats-Unis et la Grande île. Marc Kelly Smith, souvent surnommé le "père du slam", a révolutionné la poésie contemporaine en créant un espace où les poètes peuvent partager leurs émotions et récits de manière authentique et engageante. Son style innovant a non seulement inspiré de nombreux artistes à travers le monde, mais également élevé le slam-poésie à un statut comparable aux formes poétiques plus traditionnelles. Lors d'une conférence de presse, Alex Burns, conseiller adjoint à la Communication et aux Affaires culturelles, a souligné l'importance de cette visite.  « Le gouvernement américain s’efforce de promouvoir la compréhension mutuelle par l’intermédiaire des arts. La venue de Marc Smith illustre notre engagement envers les échanges culturels et la valorisation de la langue anglaise à Madagascar. Nous sommes enthousiasmés par la montée en puissance des artistes locaux qui commencent à s'exprimer en anglais, en plus du malagasy et du français. La poésie slam, avec sa forte tradition d'expression orale, peut véritablement contribuer à réduire les barrières culturelles et à unir les communautés».
 Cette initiative souligne également la tradition orale riche partagée par les Etats-Unis et Madagascar, tout en mettant en lumière le rôle vital des arts dans le développement du respect et de la compréhension mutuels. L'Ambassade des Etats-Unis demeure confiante quant à l'impact positif de la visite de Marc Kelly Smith et à l'avenir prometteur de la communauté slam-poésie à Madagascar.
Si.R

Publié dans Culture

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Editorial

  • Barrage !
    Vote utile. Tel est le slogan mis en avant par la candidate du pouvoir n° 7, endossant les couleurs de l’IRMAR – UPAR pour la course à la Mairie de la Capitale de Madagasikara, Harilala Ramanantsoa.Dans le jargon politique électorale, le vote utile consiste à orienter la stratégie de nature à écarter par la voie des urnes le ou les candidats susceptibles de gêner la réussite finale du ou de la favorite. En fait, il faut barrer la route aux éventuels candidats risquant de jeter des bâtons dans la roue du futur gagnant et ce par la voie nettement démocratique.A l’allure où vont les choses sur le terrain, la victoire finale de la seule descendante d’Eve s’affiche sur le tableau. La voie royale paraitévidente qui va la conduire vers le parvis de l’Hôtel de ville d’Analakely. Toutefois, pour y arriver haut la main, il va falloir que tous les éléments…

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