Un revirement inattendu. Coup de théâtre dans le feuilleton du transfert de l’entraîneur malagasy Romuald Rakotondrabe. Alors que son arrivée à la tête du club tanzanien Young Africans SC semblait acquise, le sélectionneur des Barea A’ a finalement décidé de renoncer à s’engager avec le champion de Tanzanie.
De retour à Antananarivo après un séjour de quatre jours à Dar es Salaam, Romuald Rakotondrabe, plus connu sous le surnom de coach Rôrô, a préféré mettre un terme aux discussions avec les dirigeants des Yanga. Selon ses confidences, un désaccord avec l’agent du club serait à l’origine de cette rupture de négociations. Les points de friction concernaient notamment le choix de son adjoint et les modalités de signature de son contrat, deux aspects jugés essentiels par le technicien malagasy.
Le cycle infernal des incendies continue de frapper la Capitale. Après Ankorondrano le week-end dernier, c’est au tour d’Ambohibao Antehiroka d’être touché par la tragédie. Hier matin, vers 9h30, un incendie a ravagé le Toby de l’église luthérienne (FLM) rattaché à l’hôpital du même nom — un établissement fondé à l’époque sous l’impulsion de « Nenilava », prophétesse de la délivrance.
Quasiment chaque dimanche, la portion d’autoroute reliant la rocade de Tsarasaotra à Ambohimanga devient le théâtre de courses automobiles et de rodéos à moto. Les habitants, excédés, dénoncent l’absence de réaction des autorités face à ces pratiques illégales et dangereuses.
Le vacarme des moteurs et les crissements de pneus ont remplacé, le dimanche après-midi, la quiétude habituelle des collines d’Ambohimanga. Sur la portion de huit kilomètres qui relie la rocade de Tsarasaotra à la ville historique, une cinquantaine de voitures et de motos se retrouvent chaque semaine pour des courses sauvages.
Ne pas baisser la garde sur la vaccination. Tel est le mot d’ordre du côté de la société civile, alors que Madagascar entre dans une période de transition politique incertaine. Les organisations citoyennes tirent la sonnette d’alarme, rappelant que la santé des enfants ne doit en aucun cas devenir une victime collatérale des bouleversements politiques et budgétaires.
Des feux de brousse ravageurs, des incendies destructeurs et des feux déclarés réduisant tout en cendres se déclarent en l’espace de quelques jours.
Actes criminels ! Sinistres par accident ! Dans tous les cas de figure, un ensemble de phénomènes critiques voire troublants surtout dans un contexte confus prévalant au pays appelle à la conscience nationale avant que tout ne s’embrase. Quand on joue au feu, on s’aventure dans un exercice acrobatique périlleux voire mortel !
Le programme de master en « Sustainable Business Management », lancé en collaboration entre l'Université des Mascareignes (UDM) et l'Institut Supérieur de la Communication, des Affaires et du Management (ISCAM) de Madagascar, a sorti la semaine dernière sa deuxième promotion nommée « Zina ». Cette sortie de promotion marque une avancée significative pour la formation de professionnels capables de gérer les entreprises de manière durable.
Après le succès éclatant du spectacle « Le Roi Lion », Okalou Event prépare une nouvelle aventure scénique destinée à émerveiller le public et fans du monde de Disney à Antananarivo. Le prochain spectacle féerique est intitulé « Aladdin ». Cette comédie musicale, inspirée des célèbres contes des Mille et Une Nuits ainsi que de l'animé emblématique de Disney, promet de plonger les spectateurs dans un univers enchanteur mêlant danse, musique et péripéties, pour un spectacle mémorable. Le rendez-vous aura lieu le 2 novembre prochain au Centre de conférence international (CCI), sis à Ivato.
Les services publics essentiels vacillent : enseignants en arrêt de travail, internes hospitaliers au « service zéro », agents pénitentiaires refusant les nouveaux entrants, et le personnel de la JIRAMA exigeant le départ du directeur-général — autant de fronts qui posent au pouvoir de transition l’impératif de résultats rapides et visibles.
Le personnel de la JIRAMA a durci son mouvement en réclamant ouvertement le départ du directeur général Ron Weiss, organisant sit-in et actions de protestation qui perturbent les opérations et alimentent l’inquiétude des usagers confrontés à des coupures récurrentes.
A deux semaines de l'élection du président de l'Assemblée nationale, les députés semblent avoir oublié un élément fondamental : la complétion du Bureau permanent. Ce corps censé diriger les travaux de la Chambre basse s'avère être une pomme de discorde, repoussant sine die son installation officielle. Initialement prévue la semaine dernière, l'élection des membres du Bureau permanent a été reportée en raison de prétendues "mesures d'organisation interne". La réalité, cependant, serait bien plus complexe.