Nos archives web
Super User

Super User

%PM, %12 %910 %2021 %20:%Avr

Dis-moi … ?

Dis-moi quel remède tu prends, je te dirai quel bord politique tu es ? O mon pauvre pays, quelle damnation tu encours ! Depuis Gallieni, en début du siècle dernier, Madagasikara fait l’objet d’une domination perverse et d’une division ignoble.

 

Les hôpitaux saturés. Le Gouvernement a sollicité les établissements hôteliers dans l’accueil des malades atteints de la Covid-19. Une décision annoncée lors du Conseil des ministres, mercredi dernier. Questionnée sur l’avancement de ce projet, Johann Pless, président du Conseil d’administration de la Fédération des hôteliers et restaurateurs de Madagascar (FHORM), a partagé le soutien des hôteliers au Gouvernement.

La branche textile du groupe Socota à vendre. A en croire différentes sources, la famille Ismaïl, propriétaire du groupe, serait en négociation avec le groupe Ciel Textile pour lui céder la branche textile du groupe Socota. Présente à Madagascar à travers la Cotonnière d’Antsirabe depuis 1952, l’entreprise a couvert la majorité du marché du tissu à Madagascar avant l’arrivée des friperies et les produits d’importation. Le groupe s’est par la suite orienté essentiellement vers l’exportation en portant haut le « Vita Malagasy » auprès des grandes marques prestigieuses comme Zara, Bershka, Camaieu, Cape Union Mart, Décathlon, Edgars, Marks & Spencer, Orchestra, Oysho, Puma.

 

%PM, %12 %906 %2021 %20:%Avr

Restrictions - Consignes peu respectées

Il paraît difficile de mettre sous contrôle le contexte sanitaire à Madagascar. Malgré la gravité de la situation due à la virulence de nouvelles souches de l’agent pathogène de la Covid-19, certains osent encore braver les mesures préconisées. Alors que le minimum des gestes barrières, le port du masque, a encore du chemin à faire pour intégrer les habitudes collectives, des gens appartenant à des catégories qui doivent montrer l’exemple à suivre sont aussi adeptes du laisser-aller laisser-faire.

 

Les nouveaux membres de la Haute Cour constitutionnelle vont se réunir à partir d’aujourd’hui ou demain, selon certaines indiscrétions. A l’ordre du jour des locataires d’Ambohidahy figurera très vraisemblablement l’élection de leur nouveau président. Pour rappel, les hauts conseillers disposent de 8 jours à compter de leur entrée en fonction pour élire leur nouveau président. Ils ne devraient donc pas attendre le dernier moment pour tenir cette élection. Ayant prêté serment le 8 avril dernier, ils disposent normalement jusqu’à la fin de cette semaine pour élire leur président. L’opinion publique, qui trépigne d’impatience depuis quelques jours, saura alors qui va succéder à Jean Eric Rakotoarisoa à la tête de la HCC.

 

%PM, %12 %887 %2021 %20:%Avr

LA UNE DU 13 AVRIL 2021

%PM, %11 %930 %2021 %21:%Avr

La une du 12 avril 2021


Chaque ariary dépensé sera vérifié ! Le premier semestre de cette année sera ardu pour les agents au sein de la Direction générale du contrôle financier (DGCF), un département rattaché au ministère de l’Economie et des Finances. Ces agents vont passer au crible l’exécution du budget de l’Etat dans le cadre de la loi de Finances 2019. Plus de 88 missions seront menées auprès des ministères et leurs services techniques décentralisés respectifs. « Ces missions de contrôle à posteriori dont 20 au niveau central et 68 au niveau régional ont débuté en mi-février de cette année. Elles s’articulent autour de quatre objectifs principaux. On peut citer l’appréciation de l’efficacité du contrôle interne (CI) réalisé par l’Ordonnateur secondaire (ORDSEC), l’application des procédures mises en place dans la chaîne des dépenses publiques, la vérification sur pièces des dépenses en confrontant la réalité physique par rapport aux dossiers techniques. La DGCF apporte en même temps de conseils en matière d’exécution budgétaire », note le communiqué publié par le ministère de tutelle. Pour précision, cette tâche s’étale sur deux mois, mais ceux qui sont chargés de ces missions bénéficient d’abord d’une remise à niveau avant leur descente sur terrain.
Des sanctions prévues
A l’issue de ces missions, le directeur général rédigera un rapport durant lequel il énumèrera les fautes détectées par ses agents. A noter que les fautes détectées seront sanctionnées par le Conseil de discipline budgétaire et financier (CDBF) ainsi que la Justice. La CDBF traite les fautes de gestion telles que les irrégularités relatives aux procédures d’engagement, de liquidation, d’ordonnancement et de mandatement des dépenses effectuées par les ORDSEC. Par ailleurs, le directeur général du contrôle financier saisira directement les juridictions répressives s’il découvre un cas de favoritisme, conflit d’intérêt, faux en écritures publiques, abus de fonction ou détournement de deniers publics. Quoi qu’il en soit, le Gouvernement actuel entend renforcer la bonne gestion des finances publiques.
Recueillis par Solange Heriniaina




En 48 heures, le Centre de commandement opérationnel (CCO) Covid-19 a recensé 14 patients emportés par la Covid-19. Cinq parmi les personnes ayant succombé ont suivi le traitement à Analamanga. Trois autres patients ont été hospitalisés dans la Région de Sava. A cela s’ajoutent six victimes signalées dans les Régions d’Atsimo-Andrefana, Atsinanana, Diana, Boeny, Vakinankaratra et Itasy. Avec ces nouveaux décès, Madagascar a franchi hier le cap des 500 morts suite à la Covid-19. Statistiquement, au cours de ces sept derniers jours,  31 patients ont rendu l’âme après avoir développé le syndrome de détresse respiratoire aiguë.  Récemment, lors de son intervention télévisée, le Président de la République Andry Rajoelina a précisé que les 300 premiers décès ont été enregistrés au cours de la première année de l’épidémie.
« Le pays est effectivement de plus en endeuillé par rapport à cette deuxième vague. La prudence est de mise pour rompre la chaîne de transmission et d’arrêter ce massacre. Ainsi, il faut respecter les gestes barrières sanitaires et renforcer les défenses immunitaires à travers les aliments et même les remèdes traditionnelles. Par ailleurs, dès qu’un symptôme se présente, il faut songer à consulter un médecin afin qu’il puisse vous prescrire des médicaments. Le retard au niveau du traitement explique parfois ces difficultés respiratoires conduisant jusqu’à la mort. Effectivement, une fois que le poumon est atteint par le virus, le manque d’oxygène deviendra fatal », a avancé un médecin opérant auprès d’un grand hôpital de la Capitale.
Rappelons que la Grande île     a signalé le premier décès lié au coronavirus le 17 mai 2020, environ deux mois après l’annonce de la première contamination. Il s’agissait d’un homme de 57 ans souffrant de diabète et d’hypertension artérielle, hospitalisé au Centre hospitalier universitaire de Toamasina. A l’époque, le pays n’a enregistré que 304 porteurs du virus et ce sont notamment les patients développant une comorbidité qui constituent les victimes. Actuellement, le virus emporte même les individus qui paraissaient en très bonne santé.
Recueillis par K.R.

%PM, %11 %929 %2021 %21:%Avr

Et… la vie continue !

La pandémie de Covid-19, variant sud-africain, assomme le pays. Le dernier bilan affiche la gravité et la dangerosité du virus. On parle, sans ambages, de record de nouveaux cas. La barre de cinq-cent-cinquante (nouveaux cas) est dépassée en une journée (du 8 au 9 avril) ! Et celle du décès atteint même au-delà de dix. La page « nécro » des quotidiens de la Capitale est prise d’assaut. Analamanga détient toujours le triste palmarès avec quatre-cent-trente-neuf (nouveaux cas). Et on n’est pas encore au bout de nos peines. Personne n’est en mesure d’anticiper à quand le bout du tunnel ! Catastrophique ! Apocalyptique ! Mais, attention ! La vie continue ! Et les problèmes classiques sinon « traditionnels » continuent aussi de sévir, redoublent même d’intensité. Que les tenants du pouvoir ne se trompent pas. Au front, ils ont en face non pas un seul « ennemi » (le variant sud-africain) mais plusieurs qu’il faut affronter à la fois. C’est dur mais il en est ainsi. Pour sa part, que le peuple se ressaisisse. La négligence et l’imprudence coûtent mortellement cher.
La pauvreté, l’éternel partenaire ou plutôt l’impitoyable étau serrant les petites gens, étouffe encore plus fort. Le nombre des nouveaux pauvres croit avec arrogance. La pandémie de coronavirus complique la situation à tel point que la statistique de la population de niveau moyen, la classe moyenne, baisse inexorablement.
L’insécurité semble profiter de l’état d’urgence sanitaire. Apparemment, les bandits de tout acabit frappent sans trop de résistance en face, sans peur ni souci des représailles, étant dit que les Forces de défense et de sécurité (FDS) concentrent leurs efforts à endiguer la pandémie. A Antananarivo, à en croire aux déplorables méfaits, le couvre-feu leur donnerait des ailes. En tout cas, dans tout le pays, la recrudescence des attaques à main armée sème la terreur. On se tombe des nues de constater le degré de cruauté voire de barbarisme avec lesquels ils opèrent. Dans le Sud, il n’y a pas que le phénomène « dahalo », les impacts du « kere » accaparent toujours l’attention des dirigeants en particulier les FDS.
L’inflation, la bête noire du petit peuple, parait gagner en vigueur dans ce contexte sanitaire frileux. Elle complique la vie. Le prix des denrées alimentaires de première nécessité (PPN) telles que le riz local (« vary gasy ») et l’huile alimentaireest toujours hors de portée. Les grossistes et les détaillants agissent comme leur bon semble.Certes, l’Etat n’est pas indifférent aux soucis des masses populaires. Il propose du riz et de l’huile aux prix abordables en direction des bourses précaires. Mais, le problème persiste. Les agents du MICC en collaboration étroite avec les responsables du Fokontany doivent multiplier les descentes sur terrain, ne serait-ce qu’un geste de dissuasion.
Et comme le mal ne vient jamais seul, la « fièvre de la Vallée du Rift (FVR) assiège de nouveau nos animaux d’élevage. Il se trouve que les Régions d’Atsimo-Andrefana, de Vatovavy-Fitovinany et de DIANA en sont les principales victimes. Il va falloir agir vite pour que le virus ne se propage.
Et nous y voilà, la pandémie de coronavirus, variant sud-africain, nous frappe de plein fouet.
Et… la vie continue avec son long cortège de malheurs tous azimuts.
Ndrianaivo

Fil infos

  • Huile impropre à la consommation - La traçabilité de "Roots" confirmée
  • Actu-brèves
  • Conseil des ministres décentralisé - Cap sur l’île Sainte-Marie
  • Stade Barea - Homologation, aux calendes grecques
  • ACTU-BREVES
  • Coliseum de Fianarantsoa - Un projet présidentiel devenu réalité  
  • Système d’identification des personnes - L’Assemblée et le Sénat valident la réforme  
  • Atteinte à la sûreté publique - Le colonel R. Patrick condamné à 20 ans de travaux forcés
  • Série d’inaugurations à Fianarantsoa - Andry Rajoelina au plus près de la population
  • Conseil des ministres décentralisé  - 27 milliards pour la réhabilitation de la RN7

Recherche par date

« July 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30 31      
Pub droite 1

Editorial

  • L’autre Sommet !
     « Un train peut cacher un autre ! » Au mois d’août prochain, le pays s’apprête à accueillir un autre Sommet, celui de la SADC (South African for the Development Community), Communauté pour le développement de l’Afrique australe. Madagasikara, de sa situation géographique, fait partie intégrante de l’Organisation sous-régionale regroupant les Etats de la partie australe de l’Afrique. La SADC, créée en 1992, regroupe 16 Etats membres dont la République de l’Afrique du Sud, l’Angola, le Botswana, Comores, la République démocratique du Congo, Eswatini, Lesotho, Madagasikara, Malawi, Mozambique, Namibie, Seychelles, la République Unie de Tanzanie, Zambie, et Zimbabwe. C’est une organisation régionale à vocation économique et politique. Elle vise à promouvoir le développement économique, la paix, la sécurité et l’intégration régionale des pays de la région australe de l’Afrique. A ses débuts, la SADC incarnait la lutte contre la ségrégation raciale, contre le colonialisme et l’impérialisme de l’Occident. Presque les…

A bout portant

AutoDiff