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Annoncé par le Président Andry Rajoelina durant les moments forts de la crise sanitaire liée à la Covid-19, le premier « Kaly Tsinjo » a officiellement ouvert ses portes hier, à Ankorondrano Andrefana, dans le 3ème Arrondissement. Il s’agit d’un endroit destiné à la distribution gratuite de repas chauds au profit des plus démunis à la suite de la crise sanitaire. Une soixantaine de « Kaly Tsinjo » sont répartis dans les 6 Arrondissements de la Capitale et vont être ouverts 6 jours sur 7, du lundi au samedi. Leur effectif sera même augmenté à une centaine selon les consignes du Président de la République. Les responsables des Fokontany seront en charge de la distribution de tickets pour permettre aux familles défavorisées de se restaurer auprès de ces « Kaly Tsinjo ». Le Chef de l’Etat a exigé que les bénéficiaires reçoivent de la nourriture propre, savoureuse et variée. Un menu hebdomadaire est fixé pour indiquer les repas servis chaque jour. Ceux qui servent le repas sont tenus de respecter les mesures d’hygiène et sanitaires à savoir le port de gants, de tablier et du masque.
« Nous entendons et ressentons vos souffrances à cause de la hausse du coût de la vie,  vous n’êtes pas seuls. Je serai toujours à vos côtés », a déclaré le Président, Andry Rajoelina pour rassurer la population avant d’ajouter que « l’heure est à la solidarité et l’empathie. L’Etat ne cesse de chercher des solutions pour améliorer la condition sociale de la population. »
Consignes fermes
Comme annoncé en Conseil des ministres, les « Vary Tsinjo » vendus à 1200 ariary le kilo (au lieu de 1500 ariary) et l’huile cachetée à 4000 ariary le litre sont désormais disponibles au niveau des « Tsena Mora », dans chaque Fokontany des Arrondissements d’Antananarivo. Le Président a donné le coup d’envoi de la vente de ces produits de première nécessité dans le même Fokontany d’Ankorondrano Andrefana. Pour ce premier jour, le Chef de l’Etat a offert 5 kg de riz à quelques familles.
Face à la hausse des prix du riz et des autres produits de consommation quotidienne, le Président de la République a donné des consignes fermes aux différents responsables afin d’organiser un plan qui fait office de filet de sécurité sociale pour l’ensemble de la population. Ainsi, les « Tsena Mora » seront ouverts trois fois par semaine, à savoir tous les lundis, jeudis et samedis. L’homme fort du pays a déploré l’œuvre de certains opérateurs qui profitent de la situation pour augmenter excessivement le prix du riz local. Il a ainsi interpellé le ministre du Commerce et de l’Industrie, Lantosoa Rakotomalala, afin de réunir les acteurs de la filière rizicole et concerter sur la vérité des prix. Le numéro un de l’Exécutif a aussi ordonné un suivi strict du circuit du riz à partir des producteurs jusqu’aux consommateurs. Quant à l’huile, le coût du litre ne devrait dépasser les 5000 ariary selon un calcul de l’Etat alors que le prix dépasse déjà les 5600 ariary en ce moment. Ce premier lancement à Antananarivo n’est qu’un début puisque les mêmes produits seront aussi vendus dans les autres ex – chefs – lieux de province de Madagascar.
Rappelons que d’après le compte rendu du Conseil des ministres, mercredi dernier, une réunion avec les opérateurs économiques, les grossistes ainsi que les détaillants a été organisée. Un échange sur la stabilisation des prix sur le marché a été à l’ordre du jour avec une compensation de l’Etat en contrepartie. Par conséquent, une baisse de 10% à 18% des prix des PPN est attendue dans les prochains jours.
La Rédaction


Le droit malagasy protège la possibilité d’exprimer ses « pensées » et ses « opinions ». Cette liberté n’est toutefois pas absolue. Des bornes sont posées en cas d’abus. Des balises que l’Opposition transgresse allègrement ces dernières semaines. A travers l’émission radiophonique « Miara-manonja », ces détracteurs du régime commettent des actes répréhensibles aux yeux de la loi et punissables par la Justice.
Les députés Me Hanitra Razafimanantsoa et Fidèle Razarapiera et consorts au sein du Rodoben’ny mpanohitra ho an’ny demokrasia eto Madagasikara se lancent en effet impunément dans des injures, des diffamations, des outrages et des provocations… au mépris des interpellations des autorités compétentes. Des méthodes détestables et indignes d’une Opposition crédible.
Les exemples foisonnent. L’Opposition a affirmé, et ce, sans la moindre preuve tangible, que le chef du gouvernement, le Premier ministre, Ntsay Christian, a remis sa démission. Les ténors de l’Opposition ont également remis en cause la dignité nationale et mis en péril la sécurité intérieure du pays lorsqu’ils ont affirmé, encore une fois sans preuves, que le Plan pour l’Emergence de Madagascar aurait été financé par une organisation terroriste mondialement connue.
Dans leur émission, ces politiciens ont aussi incité à la guerre civile. Ils ont en effet appelé la population d’une partie de l’île à se retourner contre les dirigeants de la Capitale. Les limites de la liberté d’expression ont encore été franchies lorsqu’un ancien ministre, ayant refusé une convocation des Forces de l’ordre, a appelé les gendarmes à ne plus accepter les ordres du secrétaire d’Etat à la Gendarmerie car celui-ci serait retraité. Ce même ministre est également celui qui a affirmé qu’il n’y a plus de Forces de l’ordre dans le pays. Un discours qui porte clairement atteinte à l’ordre public en plus d’être une incitation à la rébellion militaire, un crime réprimé par les lois en vigueur dans le pays.
Les discours incitant à la haine du Gouvernement, également répréhensible, sont aussi quotidiens sur les ondes de la poignée de station de télé et de radio qui diffusent cette émission « Miara-manonja ». Dernièrement, Me Hanitra Razafimanantsoa ne s’est même plus gênée pour comparer les tenants du pouvoir actuel à des animaux. En tout cas, que ces barons de l’Opposition se rappellent une chose : cette liberté d’expression n’est pas sans limites. Des lois sont en place pour sanctionner les abus.
Avec ses méthodes et sa prêche de la haine, l’Opposition se décrédibilise encore plus aux yeux de l’opinion et contribue à faire descendre en flèche le peu de popularité de Marc Ravalomanana. Un aura en berne, confirmé par le peu d’engouement pour l’excursion d’Imerinkasinina dernièrement. En dépit d’un fort relais médiatique, l’Opposition est loin d’avoir atteint les chiffres escomptés. La veille du rendez-vous Maître Hanitra Razafimanantsoa avait avancé une marée humaine. Pourtant, le jour-J, quelques milliers d’individus seulement ont répondu présent. On est très loin du miracle révolutionnaire annoncé.
Les dernières élections notamment les élections législatives, avec la perte de plusieurs bastions du TIM, et les élections municipales dans la Capitale, au cours desquelles Ny Rina Randriamasinoro a été sèchement battu, avaient déjà annoncé cette impopularité croissante de Marc Ravalomanana. Un déclin déjà visible lorsque les Malagasy ont voté en majorité pour Andry Rajoelina lors de l’élection présidentielle de 2018. Le retour d’exil en catimini de Marc Ravalomanana en 2014 illustrait déjà à l’époque un certain désamour de ses partisans. Ces derniers auraient pu se mobiliser et descendre dans la rue pour exiger la libération de leur champion, placé en résidence surveillée par le régime Rajaonarimampianina, mais cela n’a pas été le cas…
La Rédaction



Chose promise, chose due. Encore une fois, le stylisme, le modélisme, la couture ainsi que la mode sont mis en avant. Le Palais national de la culture et des sports, situé à Mahamasina, est actuellement le théâtre de différentes sortes de création.
Défi relevé pour le ministère de la Culture. Des défilés de mode réalisés par les participants ont marqué la première journée de la deuxième édition de « Mihamy Mada Fashion ». Des stylistes venant des quatre coins de l’île, notamment des Hautes terres, Sofia, Est, Sud-ouest et d’autres Régions ont présenté leurs créations à travers des modèles uniques, sur-mesure ou prêt-à-porter. Chacun s’est démarqué par leur point d’orgue d’une nouvelle collection qui s’est différenciée à travers les matières premières et la créativité apportée. Entre-temps, les invités présents ont eu droit à des shows case avec Saramba et Rootsikalo. A cela s’ajoute l’expo-vente de robes stylées, de costards et d’accessoires.

« De tel événement est dédié pour vous les artistes, pour que vous puissiez trouver des débouchés. Des raisons qui ont poussé le ministère à s’ouvrir aux créateurs et stylistes dans tout Madagascar et surtout à organiser un événement gratuit », a rassuré le numéro 1 du ministère de la Culture et de la Communication. Et de poursuivre que les créations malagasy peuvent désormais rivaliser avec les grandes marques. « Nous avons constaté que nombreux se sont intéressés au stylisme et à la création. Faire ressortir les talents cachés des jeunes demeure ainsi notre objectif. Vous savez que 85 % des participants sont des jeunes artistes qui se sont surpassés dans la mode et qui ont osé dévoiler leurs talents. Je me souviens encore que 9 mois après la première édition, une jeune fille, une collégienne plus précisément, m’a approchée lors d’une mission dans l’Est de Madagascar. Elle m’a avoué que le stylisme représente son rêve depuis l’enfance. Mais à défaut de moyens et en pensant que ce monde appartient aux professionnels, elle n’y a plus donné trop d’importance. Maintenant, je vous annonce qu’elle est présente et expose ses œuvres lors de cet évènement "Mihamy Mada Fashion" », n’a-t-elle pas manqué de partager.
Au cours d’une prise de parole, le représentant des participants a souligné leur développement à travers cette organisation culturelle et artistique. « Au cours de deux années successives, nous avons remarqué que le ministère de la Culture a revalorisé les créations. Nous ressentons également l’intérêt que portent les concitoyens à nos diverses productions artistiques à travers leurs achats et commandes », a-t-il souligné.

Notons que tout en respectant les gestes de barrières sanitaires, des conférences sous le thème « Ny lamaody vita malagasy jifain’ny vita malagasy » sont programmées au cours des deux derniers jours de cet évènement. Sans oublier le « Masterclass » axé ce jour sur la photographie de la mode à Madagascar, le mannequinat professionnel avec Nate Tex, Melky et Princio à l’animation. Mr Sayda, Mage 4 et Nael clôtureront demain cet évènement national et annuel du stylisme et de la création avec leurs chansons mythiques.
 K.R.




Le ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (MICA) a convoqué, hier, toutes les parties prenantes dans la commercialisation des produits de première nécessité (PPN) suite au Conseil des ministres. La concertation a duré toute la matinée dans la grande salle du ministère de l’Economie et du Plan, situé à Anosy. Un technicien du MICA a simulé la structure des prix et a préalablement défini dans sa présentation les marges bénéficiaires des opérateurs, notamment les importateurs, les grossistes, les détaillants, les collecteurs et les transporteurs. Le débat a abouti à la fixation des tarifs pour le riz importé, le sucre, l’huile et la farine. L’objectif consiste à faire baisser de 15 à 20 % le prix sur le marché. « Pour le riz importé à 25 % de brisures, le " kapoaka " sera vendu à 500 ariary - soit 1 750 ariary le kilo sur le marché. Quant à l’huile, l’huile de palme en vrac sera proposée à 5 000 ariary le litre. En ce qui concerne le sucre importé, qui est frappé par la hausse du prix sur le marché international, il devrait être vendu à 2 800 ariary le kilo, tandis que le prix du sucre local sera fixé à 2 600 ariary. A noter que la campagne du sucre local est déjà achevée. La prochaine production sera prévue en juin. On essaie donc de stabiliser le prix de ce produit jusqu’à la fin de l’année. Par ailleurs, la farine importée sera proposée à 2 400 ariary le kilo, celle produite localement sera vendue à 2 200 ariary », récapitule brièvement Lantosoa Rakotomalala, ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat. Le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Lucien Ranarivelo a, pour sa part, annoncé la baisse de prix imminente du riz local à cause du lancement de la campagne de riz précoce.
Malgré l’initiative du Gouvernement, certains opérateurs sont réticents, notamment les importateurs. Leur bénéfice a nettement diminué et ne couvre pas les charges. « On importe le riz à 70 000 ariary le sac et on le revend à 80 000 ariary. Durant la présentation de la structure des prix, le Gouvernement a fixé la vente auprès des grossistes à 77 500 ariary. Or, cela ne couvre pas toutes nos dépenses. Les charges coûtent entre 6 000 et 7 000 ariary par sac, pour ne citer que le dédouanement et le transport. Il nous faut un allègement ou un soutien de la part de l’Etat pour que ce tarif soit en vigueur », avance Andriamihaja Fanomezantsoa Yves Georges, importateur. D’après les dernières informations reçues, le numéro un du MICA s’est entretenu avec les importateurs suite à cette réunion pour discuter à propos de l’application de cette nouvelle disposition.
La Rédaction


Madagascar aura la Tunisie, championne en titre de l’Afrobasket Men dernière édition, pour débuter la première journée de la 3ème fenêtre de qualification à l’édition 2021. Malgré un léger changement au sein de son effectif, le sélectionneur national Tojo Rasamoelina  aura du pain sur la planche pour composter le ticket qualificatif. Au programme de la compétition, Madagascar affrontera l’équipe hôte de cette 3ème phase à 16h locale, le 17 février prochain. Le 20 février, la Grande île trouvera la Centrafrique à 19h et enfin, la RDC pour la journée du 21 février.
Le sélectionneur a orienté son choix sur plus d’expatriés hormis Rija Lahotan (Us Aubenas – France) qui était déjà là depuis le début de cette phase qualificative. Il a appelé en renfort le binationaux Kiady Mijoro Razanamahenina (Get Chalon – France) et deux autres malagasy expatriés à savoir, l’ancien joueur de l’ASCUT Lalason Ratsimabazafy qui évolue actuellement au BCM Mayotte, et Sitraka Raharimanantoanina, l’ancien joueur de Dream Team qui évolue actuellement en France avec l’Elan Chalon. Ce dernier est le plus jeune mais aussi le plus grand de cet effectif.
Le choix de l’entraîneur est logique car le manque de compétition a beaucoup handicapé ses éléments lors de la deuxième phase au Rwanda. Madagascar a terminé quatrième du classement provisoire alors qu’il suffit de terminer troisième pour gagner le sésame.  Effectivement, les joueurs vendront cher leur peau pour décrocher le rêve d’aller disputer de nouveau un Afrobasket, à part celui qui a été tenu à domicile. Les membres de l’équipe nationale malagasy de basketball a quitté le pays le 11 février, via l’aéroport de Nosy Be, pour rejoindre Monastir, Tunisie.
Elias Fanomezantsoa

Liste des Joueurs:
1-   Lahontan Rija - 1m72 - Us Aubenas - France
2-   Razanamahenina Kiady Mijoro - 1m85- Get Chalon - France
3- Randriamampionona Elly - 1m88 - (GNBC)
4- Mandimbison Constant Fabrice - 1m95 - (GNBC)
5- Botou Vallery Olivier - 1m92 - Ascut
6- Ratsimbazafy Lalason Nirina Michel - 1m92 - BCM MAYOTTE
7- Ravelomanantsoa John Price Luciano - 1m92 - ASCUT
8- Faralahy Monja Romain Mickaolos - 1m96 - SEBAM
9- Rasolomanana Anthony Nelson - 1m97 (SEBAM)
10- Mory Francis Ramanampamonjy - 1m95 (GNBC)
11- Solondrainy Alpha Jean Arnol - 1m98 (COSPN)
12- Raharimanantoanina Sitraka - 2m07 (Elan Chalon - France)






Renforcer la recherche sur les espèces de bois précieux. Madagascar dispose de quelques espèces de bois de rose, d’ébène et de palissandre. L’identification de ces espèces est primordiale à leur protection, exportation et conservation. Dans ce cadre, l’école supérieure des sciences agronomiques de l’université d’Antananarivo a mis en place un projet intitulé « gestion durable des bois précieux Dalbergia et Diospyros de Madagascar ».

Après un mois et demi du double homicide survenu vers fin décembre 2020 à Ankadifotsy, crime qui a coûté la vie à Sarah Meyer Pinet (43 ans), directrice d’agence de BGFI Tanjombato de son vivant et de Bakoly (63 ans) sa cousine, l’enquête menée actuellement par la Police semble peiner toujours à trouver un créneau pour apporter la lumière sur cette affaire.  Bien que les Forces de l’ordre aient préféré une certaine prudence pour ne pas s’exprimer encore, une petite investigation menée de notre côté tend à affirmer le contraire, au point de s’interroger si la Police est désormais sur le point de tenir une, ou plutôt des pistes.

Six axes entrepris l’année dernière. La Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) a pu financer et achever les travaux y afférents en 2020. Les travaux pour les 4 autres axes prévus dans la première phase de réfection des rues à Antananarivo débuteront prochainement, à en croire Bodosoa Razafimandimby, directeur des Bâtiments et Travaux publics (BTP) auprès de la CUA. Il s’agit des axes Vassacos, Antohomadinika, Andraisoro et Nanisana. « La réfection de toutes les rues en piteux état au sein des 6 Arrondissements de la Capitale figure parmi les priorités. Toutefois, les travaux se feront par vague, précédés par des études et diverses procédures », souligne notre source.

 

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Année d'épreuves

L'année 2020 s'en va et 2021 débarque ! A la lueur de ce que l'on vit, la bataille s'annonce âpre. Année blanche ! Année noire ! Et cætera. Comme partout ailleurs, l'année 2020 nous a tordu d'une manière ou d'une autre le cou. En fait, la planète Terre a subi l'une des plus pires épreuves de son histoire, exception faite pour des Régions reculées. A 12 mois et plus d'apparition, le virus de la Covid-19 perdure et détruit. Après un court moment d'accalmie, elle regagne d'intensité, reprend du souffle et dans certaines Régions, varie et change de forme de frappe.

25 ans. C’est la durée de la convention d’établissement du projet QIT Minéral Madagascar (QMM) dans les gisements de sables minéralisés de Taolagnaro. Le contrat a été ratifié par l'Assemblée nationale de Madagascar le 26 janvier 1998 et promulgué comme loi de Madagascar le 19 février de la même année. Le contrat stipule que Rio Tinto détient 80% de l’action contre 20% pour l’Etat malagasy. Ce dernier est représenté par l’Office des mines nationales et des industries stratégiques (OMNIS) au conseil d’administration.

 

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Editorial

  • Education complète !
    Un sujet délicat ! Une initiative pilote mise sur les rails par le département de l’Education nationale (MEN) en partenariat avec le Mouvement malagasy pour le planning familial (MMPF) dans le cadre du Programme d’appui aux droits et la santé sexuelle et reproductive (PADSSR) dont le lancement officiel s’est tenu ce lundi 5 mai à Antaninarenina – Antananarivo. L’initiative vise à étoffer les jeunes y compris les adolescents (élèves) sur les risques qu’ils encourent dans les aventures précoces aux rapports sexuels. En effet, le projet pilote a pour but de réduire les grossesses prématurées, la propagation des infections sexuellement transmissibles (IST) qui ont malheureusement tendance à s’intensifier surtout dans les milieux populaires et de promouvoir l’autonomie des jeunes en matière de santé reproductive. Louable initiative !

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