Meneur de jeu avant de s'installer au poste de milieu défensif, les performances d’Ibrahim Amada ont permis à Madagascar d'atteindre les quarts de finale de la CAN. Il rêve de participer à la prochaine Coupe du monde de la FIFA.
Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé, mercredi dernier à Abidjan (Côte d’Ivoire), le prêt de 42 millions de dollars, soit 30 millions d’Unités de compte, contracté par notre pays. Selon le rapport du ministère de l’Economie et des Finances, il s’agit d’une requête du 7 avril dernier. L’argent sera géré par l’Etat afin de financer le budget général face aux effets de la crise liée à la pandémie.
Sur le front d’une guerre biologique. Les médecins fonctionnaires, les odontologistes et stomatologistes, les infirmiers et sages-femmes de Madagascar, les personnels administratifs du ministère de la Santé publique réunis au sein de la Fédération syndicale du ministère de la Santé publique ont uni leur voix hier pour affirmer leur engagement à sauver des vies en cette pandémie.
Des milliers de personnes en grande difficulté. La Région d’Analamanga clôture sa troisième semaine de confinement total. Face à la propagation considérable de la pandémie de coronavirus dans la Capitale, les autorités ont décidé le retour au confinement total de la Région depuis le 06 juillet dernier. Ainsi, plusieurs entreprises issues de secteurs d’activités différentes se sont retrouvées en arrêt du jour au lendemain, parce qu’elles ne figurent pas parmi les secteurs essentiels décrétés par le Gouvernement. Ces dernières se retrouvent ainsi dans une situation critique.
Les membres du « Rodoben’ny mpanohitra ho an’ny demokrasia eto Madagascar », littéralement, la grande marche des opposants pour la démocratie à Madagascar, remettent de nouveau le couvercle. Au cours d’une conférence de presse hier, ces politiciens réputés être en mal de postes ont de nouveau critiqué de manière très peu constructive et peu convaincante la gestion de la crise sanitaire causée par le coronavirus, ils ont tenté de décrédibiliser le pouvoir en place aux yeux de la population.
Un des facteurs d’exclusion des femmes au sein de la communauté. Le « fady zaza kambana » ou tabou des jumeaux maudits fait partie des pratiques néfastes nuisant aux droits des femmes à Madagascar, notamment dans une partie de la Région Sud-est. Ce phénomène d’abandon et de rejet d’enfants jumeaux, considérés comme source de malheur dans la famille, persiste encore dans les ethnies Antemoro et Antambahoaka. Toutefois, la Grande- île note des évolutions significatives quant aux fléchissements de cette pratique.
Face à la dégradation des forêts de mangroves dans l’ouest du pays, à Kivalo, les villageois ont décidé de prendre les choses en main afin d’instaurer une gestion durable de ces ressources. Effectivement, ils ont compris que ces forêts leur apportent beaucoup que ce soit en termes de produits de pêche ou encore de protection du littoral. Ils décident ainsi de leur rendre la pareille. Pour ce faire, une association communautaire « Analamaitso tsy ho gnan’olo » a été mise en place pour identifier les opportunités économiques et développer ainsi un business inclusif mais surtout respectueux de la nature.
La discipline qui impose à la population le respect des consignes est une chose, la discipline de parti qui dicte aux membres une conduite à refuser le bien-fondé sinon le bienfait d’un remède en est une autre.
Face à la lutte contre la pandémie de Covid-19, les hauts responsables politiques de toutes les nations et les officiels de l’OMS parlent d’une même langue à savoir « le strict respect des consignes est le seul moyen le plus efficace et le plus rapide pour terrasser dans les meilleurs délais le virus du Covid ».
Comme de nombreux autres pays du monde, le nôtre est confronté à la crise sanitaire liée à la propagation sans précédent du virus du Covid-19. Mais dans la Capitale, la pandémie a les accidents de la circulation comme toile de fond. Ce second fléau semble se multiplier d’un coup.
Depuis le début de la crise sanitaire liée au Covid-19, les accusations de détournement des financements venant des partenaires internationaux s’enchaînent. Alors que certains fonds n’ont pas encore fait l’objet d’un décaissement en bonne et due forme, les critiques continuent d’aller bon train. Les membres de la Société civile tout comme l’opposition se relaient pour pointer du doigt un hypothétique détournement de fonds.