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Nouvelle organisation au sein de l'Union des églises chrétiennes de Madagascar (FFKM). Après le décès du Pasteur Dr David Rakotonirina, qui avait assuré la présidence du FFKM tout en étant le leader de l'église luthérienne de Madagascar (FLM), les commandes de cette entité religieuse sont provisoirement confiées à l'Archevêque d'Antananarivo, Monseigneur Odon Marie Arsène Razanakolona. Le numéro un de l'église catholique assurera donc l'intérim jusqu'au changement officiel de la présidence tournante qui revient à l'EKAR l'année prochaine. Cette présidence tournante qui est tour à tour assurée par l'un des leaders religieux des quatre églises membres chaque année à savoir l'EKAR, la FLM, la FJKM et l'EEM.

 

Cela fait quatre mois jour pour jour que la Covid-19 a été détectée pour la première fois sur le sol malagasy. Au 20 mars 2020, 3 cas importés de ce nouveau coronavirus avaient en effet été dépistés à Madagascar. 122 jours plus tard, au 20 juillet 2020 presque 7153 personnes ont été officiellement infectées par ce virus, répartis dans la quasi intégralité des 22 Régions de Madagascar, dont 62 sont décédées, selon le dernier bilan du Centre de commandement opérationnel - Covid-19. D'après toujours les chiffres officiels, Analamanga (Antananarivo), reste la Région la plus touchée tant en nombre de personnes contaminées que de décès, suivie de la Région Atsinanana (Toamasina I et II).

213 Malagasy étaient bloqués à l'étranger suite à la suspension des liaisons aériennes. Rapatriés le 6 juillet dernier par le vol d'Ethiopian Airlines, ils ont été placés, à leurs propres frais, en quarantaine  dans différents établissements hôteliers depuis, certains à Ambatomirahavavy, à Talatamaty tandis que d'autres ont été pris en charge à l'HJRA en raison de leur santé. Leur placement à l'isolement s'est achevé hier et après un dernier contrôle, les 213 ont été autorisés à rejoindre leurs foyers et  familles. Exceptionnellement, les 56 personnes habitant dans les régions ont pu quitter la Région d'Analamanga et ce en dépit de l'interdiction de sortie et d'entrée de cette localité, devenue le centre de la pandémie pour Madagascar.

 

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LA UNE DU 21 JUILLET 2020

La tribune atteint le deuxième niveau, les travaux débutent pour les gradins. Six mois après le début des travaux de rénovation du stade de Mahamasina, le chantier entre dans une autre phase. Le projet présidentiel concernant la réhabilitation du stade de Mahamasina, baptisé « Kianja Barea », va bon train. Malgré le décalage sur la date prévue de son inauguration, suite à la pandémie de coronavirus qui prévaut dans le pays et dans le monde entier, le délai prescrit semble bien respecté pour les trois comités de coordination du projet composés par la Présidence de la République, les techniciens de LNTPB et de l'entreprise CSCOD.

 

Un gendarme basé à la Brigade d’Amboasary, District d’Anjozorobe, fait actuellement l’objet d’une plainte à propos d’une affaire de viol dont la victime est une jeune fille de la Région. Après son arrestation, son audition puis finalement son récent déferrement le 16 juillet dernier, le gendarme en cause est maintenant placé sous contrôle judiciaire, et cela, jusqu’à sa prochaine comparution.

 

C’était encore l’effusion de sang avec 5 corps qui gisaient finalement  inertes sur le sol ! Vendredi dernier, un violent affrontement a fait s’entre-déchirer entre d’une part des villageois, et de l’autre des présumés dahalo ayant fait une razzia à Marotsiraka, dans le District d’Amboasary-Sud. Les assaillants se sont emparés de 50 zébus appartenant aux membres du fokonolona de Marotsiraka. Ces derniers n’ont pas voulu se laisser faire et ont déclenché la poursuite. A un moment donné, ils ont réussi à accrocher les agresseurs. L’affaire a dégénéré car les deux camps adverses ont échangé des tirs. C’était dans ces circonstances que les protagonistes, dont un membre du fokonolona, meurent fauchés par les tirs.

 

La consigne émise par le Président de la République Andry Rajoelina qui consiste à ne plus refuser des malades n’est pas appliquée au niveau des établissements sanitaires publics situés dans la Capitale. Ces derniers jours, de nombreux patients présentant les symptômes du coronavirus dont quelques-uns développent des signes graves, se plaignent du fait de ne pas être reçus au niveau des hôpitaux.

 

Plus de deux semaines de traitement mais aussi de panique, de vigilance et de prières. Bon nombre de personnes contaminés par le Covid-19 osent désormais sortir de leur silence et en parler, notamment ceux qui sont guéris. Ce n'était pas le cas au début de la pandémie, où ils se cachaient pour éviter les regards accusateurs et l'exclusion sociale. « J'avais les mêmes symptômes qu'un rhume, à savoir les légers maux de gorge et de tête ainsi que de la fièvre. Mais j'étais plus alarmée par la perte d'odorat et du goût, au bout du 4ème jour. C'est à ce moment que j'ai consulté un médecin, lequel m'a prescrit un test du coronavirus et dont le résultat était positif. J'ai suivi un traitement à domicile, composé notamment d'antibiotiques, d'anti-inflammatoires et de vitamines. J'ai été confinée dans une autre chambre pour éviter que mes enfants soient aussi contaminés, vu que les résultats de leur test étaient négatifs. Après deux semaines de traitement, j'allais mieux, voire guérie », témoigne Landy Rasoaritiana, mère de famille résident à Tsimbazaza.

 

Fisolokiana avo lenta. Lehilahy roa sy vehivavy iray mpisoloky milaza ho mahavita lelavola no voasambotry ny zandary ao amin’ny Tobim-paritra Antsirabe, ny 18 jolay lasa teo. Noho ny loharanom-baovao azon’izy ireo, nanao ny vela-pandrika ny zandary.

 

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