Aujourd’hui pourtant, cet avantage compétitif de Madagascar grâce à Telma, avantage qui a pourtant permis de positionner Madagascar comme l’eldorado des nouvelles technologies en Afrique et surtout de créer des dizaines de milliers d’emplois autour du numérique et du digital, fait l’objet d’une opération de « déstabilisation organisée » selon la Direction de Telma. Interview.
La Vérité : Les équipements 5G de Telma seraient scellés par l’ARTEC ?
La Direction de Telma : « C’est une information totalement incorrecte et nous nous réservons le droit d’attaquer l’ARTEC en justice pour cette communication irresponsable et inexacte ! Aucun équipement Telma n’a été mis sous scellés et Telma continue aujourd’hui à accéder à tous ses équipements réseaux y compris 5G… Et surtout Telma va continuer à déployer son réseau 5G dans toutes les grandes villes du pays ».
Focus sur MADAGASCAR -numéro 1- et l’AFRIQUE DU SUD -numéro 3- en 2020…
Avec une vitesse Internet « 4 fois plus rapide qu’en Afrique du Sud », Madagascar est depuis 4 ans le moteur du développement numérique en Afrique… Pourquoi ? Voici deux exemples, des deux côtés du canal du Mozambique, qui résument bien la situation :
•Tout d’abord, l’opérateur Sud-Africain fixe, Telkom vient d’annoncer en juillet 2020 le remplacement progressif de son réseau Internet fixe cuivre par de la fibre optique :
« Le remplacement se fera de manière graduelle. L’objectif stratégique final étant de mettre hors service l'ancienne technologie en cuivre et la remplacer entièrement par la fibre optique. La fibre est une grande partie de la technologie tournée vers l'avenir qui habilitera et élèvera les communautés à travers l'Afrique du Sud, en particulier lorsqu'il s'agit d'aider les particuliers et les entreprises à surmonter certains des nombreux défis infligés par la Covid-19 », a expliqué Steven White, le directeur du développement et de la gestion des produits chez Telkom.
A l'heure où Madagascar enregistre une recrudescence des nouveaux cas de contamination liés au Covid-19, les partenaires font preuve de solidarité avec le régime. Le réseau Aga Khan de développement (AKDN) ainsi que la communauté Ismaili ont, ainsi, tenu à contribuer aux efforts de l'Etat dans la lutte contre la pandémie du coronavirus.
Le premier semestre du ministère de la Santé publique se caractérise par les actions de riposte au Covid-19. « L'attribution principale du ministère de la Santé repose sur la proposition des contenus dans le cadre de la riposte au Covid-19 auprès des membres du Gouvernement ainsi que des Partenaires Techniques et Financiers et d'autres acteurs concernés. La décision d'application revient par la suite au Président de la République et au Premier ministre.
La conjoncture qui prévaut, en ces temps-ci, dans le pays nous oblige à revenir à la charge sur le concept de la discipline en essayant d'essarter davantage le « terrain » pour scruter un autre type de discipline, la discipline de groupe.
Discipline citoyenne ou sociale. Le contexte critique de l'état d'urgence sanitaire auquel fait face le pays impose à chacun la soumission à une discipline.
Absents dans les étagères depuis quelques jours. L'Azithromycine ainsi que tous les médicaments qui peuvent le remplacer sont actuellement en rupture de stock dans les pharmacies d'Antananarivo. Les médecins prescrivent ces médicaments pour le traitement des cas asymptomatiques ou modérés du Covid-19. Avec la recrudescence du nombre des personnes contaminées, les demandes concernant ces médicaments surpassent les offres. « Depuis ce matin, j'ai fait le tour d'au moins 5 pharmacies pour en acquérir, mais en vain.
La députée de Madagascar, élue dans le District de Tsihombe, dans l’Androy, veut la tête du porte-parole du Gouvernement et non moins ministre de la Communication et de la Culture. Dans une publication sur ses réseaux sociaux, hier, Masy Goulamaly a lancé un appel au Président de la République Andry Rajoelina dans lequel elle demande ni plus ni moins que le limogeage immédiat de ladite ministre.
Retour à la case départ. Mercredi dernier, le divorce entre Air Madagascar et son partenaire Air Austral s’est officialisé. Toutes les parts d’Air Austral ont été reprises par la CNAPS (Caisse nationale de prévoyance sociale). L’heure est maintenant au bilan et à la recherche des solutions car la compagnie aérienne malagasy se trouve actuellement dans un piteux état, encore plus critique qu’avant la signature de ce partenariat « stratégique » au cours du dernier trimestre de l’année 2017.
La Police mène tambour battant le combat contre le non-respect des gestes barrières et afin de les faire appliquer dans les différents quartiers de la ville. A la guerre comme à la guerre ! Face à la ruse de certains pour chercher à déjouer sa vigilance, cette Force doit également recourir à son stratagème pour surprendre les plus récalcitrants.