Le Syndicat des enseignants-chercheurs et chercheurs-enseignants (SECES) des universités de Madagascar et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESUPRES) ont enfin trouvé un accord. Par conséquent, les enseignants ont décidé de reprendre leurs activités et de terminer l’année académique 2018-2019.
L’acte d’une malade mentale ou celui d’une provocatrice ? Le comportement d’une mère de famille a horrifié les passants, près du canal Andriantany aux 67ha, au cours de la matinée hier. Son geste a failli pousser ces témoins à déverser leur colère sur la concernée. Tant elle a fait montre d’une cruauté et d’une inhumanité sans pareil. Cette mère a simplement jeté son enfant dans les eaux malodorantes dudit canal. Inutile de dire que la victime était à deux doigts de se noyer. Heureusement que des personnes de bonne volonté ont réagi avec promptitude pour alerter la Police.
Madagascar figure parmi les pays où bon nombre de ressortissants chinois font des allers-retours. Face à la propagation du Coronavirus en Chine, le ministère du Travail, de l'Emploi, de la Fonction publique et des Lois sociales (MTEFPLS) a pris l'initiative de suspendre la délivrance des permis de travail pour les Chinois qui veulent exercer dans le pays. D'après Fenitra Randrianarisoa, directeur de la migration professionnelle au sein du MTEFPLS, cette mesure a été prise depuis le 1er février dernier, et ce jusqu'à nouvel ordre, afin de diminuer les risques de contamination du Coronavirus dans le pays.
Un homme est dit « de confiance » quand, par ses actes, faits et paroles, il inspire une solide assurance. Il fait montre d'une capacité et d'une compétence notoire à l'exécution de la tâche qu'on lui confie. Bref, il réussit à la mission dont il a la charge de réaliser. Idem pour un régime politique issu des urnes, par une alternance démocratique et donc nanti du pouvoir légué par le peuple à gérer le pays. On lui prêterait le qualificatif « de confiance » si, et seulement si, il parvient à prouver, en dépit des contextes difficiles, ses compétences à diriger, au mieux, les affaires nationales.
Objectif non atteint. En 2017, la compagnie aérienne nationale malagasy, Air Madagascar, a signé un contrat de partenariat avec la compagnie réunionnaise, Air Austral. Cette collaboration a notamment pour objectif de permettre à Air Madagascar de « redevenir une compagnie aérienne rentable ». Il a été dit à l’époque un retour à l’équilibre de la compagnie malagasy au bout de trois ans, mais force est d’admettre que le partenariat stratégique n’a pas eu l’effet escompté. Il entame aujourd’hui sa troisième année, mais rien n’a vraiment changé pour notre compagnie aérienne. Au contraire !
Toujours sur le terrain. Le Président Andry Rajoelina et son épouse multiplient les descentes pour être au chevet des familles sinistrées, à la suite des intempéries qui ont provoqué des inondations dans plusieurs partie de l'île. Hier, le couple présidentiel a mis le cap sur la région Alaotra Mangoro. Avant de rallier Tanambe, le Président Andry Rajoelina et son épouse ont fait le détour à Ambatondrazaka. Le couple présidentiel a été accompagné de Maoumini Ouedraogo, représentant du PAM (Programme alimentaire mondial) à Madagascar et de Marie - Chantal Uwanyiligira, représentante résidente de la Banque mondiale.
Parmi les départements où la corruption règne. Le ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement technique et professionnel (MENETP) en fait partie. D'ailleurs, la nouvelle ministre récemment nommée à la tête de ce Département l'a confirmée dans son discours lors de la passation de service, vendredi dernier à Anosy. « La corruption domine au niveau de ce ministère, en haut lieu jusque dans les établissements scolaires. Cela figure parmi les 4 obstacles qui nuisent au développement du pays et du ministère », balance la ministre Rijasoa Iasintsambatra Andriamanana Josoa. A cela s'ajoute la gabegie perpétrée non seulement par les responsables ministériels mais également par les directeurs d'établissement et enseignants.
Voilà un homme. Un grand homme au grand cœur, aux petits soins de petites gens dans la tourmente. Le Président-directeur général (PDG) du Groupe Sodiat, Mamy Ravatomanga, a dépêché son épouse Haingo Ravatomanga suivie d'une délégation au siège du BNGRC, à Antanimora, pour remettre en main propre au DG de ce bureau des dons en nature, des PPN.Entre autres, des sacs de riz, des légumineuses, du sel et des bougies, des kits d'hygiène composés de savon, seaux et cuvettes, mouchoirs non parfumés.