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Les femmes survivantes de violences se mettent débout et se redressent. Tel est le thème adopté cette année pour la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, célébrée chaque 25 novembre. Une campagne y afférente, marquée par la couleur orange, a été lancée par le secrétaire général des Nations unies en 2008. Symbole de dynamisme et d’optimisme, l’orange représente un avenir exempt de violences contre les femmes et les filles. La « Journée orange » constitue une occasion pour les acteurs de s’unir et de renforcer leurs engagements dans la lutte et l’élimination des violences.

 

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« RIZ Plus »

Loin des tam – tam, des bling – bling, des folklores propagandistes et surtout des séances de photogéniques en vogue, malheureusement ces temps-ci, des évènements d’intérêts cruciaux pour l’avenir immédiat, à moyen terme et à long terme du peuple malagasy, se passent à travers le pays.

Le projet RIZ Plus ou projet de productivité et de résilience des moyens de subsistance ruraux fait son bonhomme de chemin. Il contribue à l’objectif essentiel à savoir « Eliminer la faim, assurer la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition et promouvoir l’agriculture durable » dans le cadre de l’Objectif de développement durable (ODD) diligenté par l’ONU et s’inscrivant directement dans la Politique générale de l’Etat (PGE) autrement dit « l’autosuffisance alimentaire ».

 

Problématique. La Journée du développement industriel en Afrique (JIA), bien que célébrée chaque année le 20 novembre, a été marquée à Madagascar le 22 novembre 2024, avec une ambition claire : poser les fondements d’une transformation économique et industrielle durable. Ce retard de quelques jours n’a cependant pas empêché l’événement de rassembler une grande partie de la jeunesse malagasy, consciente des enjeux majeurs auxquels fait face le pays. Organisée par le « Mouvement Panafricain Leader » et appuyée par le ministère de l’Industrie et du Commerce (MIC), cette édition a mis en lumière les défis d’un développement industriel responsable.

Le milieu rural n’est pas synonyme de désintérêt pour la littérature. La récente édition du « Tsenaben’ny boky » qui s’est tenue dans la Commune d’Andriampamaky en est la preuve éclatante. Organisée par l'association littéraire « Opération Bokiko », cet événement a attiré une foule hétéroclite, allant des collégiens et lycéens aux agriculteurs avides de découvrir l'univers des livres. Cette troisième édition, qui s'est déroulée le vendredi et le samedi derniers, visait à renforcer la présence des livres dans des zones où ils sont souvent absents. Les organisateurs ont ainsi réaffirmé leur engagement à promouvoir la culture en milieu rural. 

 

Chassez le naturel, il revient au galop. Marc Ravalomanana, l'ancien Président de la République, a une nouvelle fois montré son penchant pour l'autoritarisme et l'insolence lors d'un meeting en soutien à Tojo Ravalomanana, son fils, candidat à la Mairie de la Capitale. « « Non, pas de ça ! Les ordres viennent du Président (ndlr : de lui-même), pas de toi », devait-il ainsi affirmer à un collaborateur dont le seul tort a été de vouloir apporter une organisation au déroulement du meeting. La déclaration lapidaire de Marc Ravalomanana  suffit à rappeler à tous que le "patron" reste fidèle à son style. 

 

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ACTU-BREVES

Le Gouvernement au chevet des sinistrés à Masondranokely Nosy-Varika. 

Suite à un incendie ayant détruit 231 maisons dans ce quartier le mardi 19 novembre 2024, des membres du Gouvernement ont effectué une mission sur place le vendredi 22 novembre 2024. Ainsi, la ministre de l’Intérieur, Madame Rahajavololoniaina Niritsisoa, la ministre de la Population et de la Solidarité, Madame Razafinjato Aurélie, et la ministre de la Communication et de la Culture, Madame Mara Volamiranty Donna, accompagnées du député élu localement, se sont rendues sur les lieux. Elles ont constaté les dégâts, apporté leur soutien et remis des aides aux sinistrés au nom du Président de la République et du Gouvernement. L’occasion a également permis de renforcer la sensibilisation auprès de la population sur la prudence à adopter dans l’utilisation du feu, afin d’éviter que de tels incidents ne se reproduisent.

 

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La Une du 23/11/24

Le football malagasy traverse une crise sans précédent, et les signes de cette déliquescence ne sont pas difficiles à repérer. Le niveau des membres du comité exécutif de la Fédération malagasy de football (FMF) semble être la cause de cet échec. Ces responsables, loin d’être à la hauteur de leurs responsabilités, ont contribué à mener l’équipe nationale dans le fond. Pire encore, les présidents des ligues régionales de football ne sont pas exempts de critiques. Leur vote en faveur de dirigeants incompétents -souvent motivés par des considérations financières plutôt que par un réel amour du sport- est une trahison manifeste envers le peuple malagasy. Un peuple qui, malgré tout, continue d’aimer passionnément ses Barea, son équipe nationale.

 

Un grand soulagement. Après plusieurs mois de chaleur et de sècheresse, les premières pluies se sont abattues dans la Capitale, hier. Bien que les prévisionnistes de Météo Madagascar aient déjà annoncé une forte pluie dans les Hautes terres centrales en cette fin de semaine, beaucoup n’y ont pas prêté attention. Par conséquent, ils ont été pris au dépourvu avec les désagréments qui vont avec : embouteillages monstres, rareté des taxi-be, etc.

 

Après un procès marathon, ayant duré la journée et toute la nuit de jeudi dernier au tribunal de première instance (TPI) d'Ankazobe, des 38 personnes impliquées dans l'assassinat survenu le 7 janvier dernier, du maire d'Andranomiely, le verdict tombe : sur les 5 militaires incriminés, 2 d'entre eux ont été condamnés à 10 ans de travaux forcés à Tsiafahy, pour meurtre. Il en est de même pour leur co-accusé l'adjoint au maire, condamné à 7 ans de travaux forcés,  pour complicité. Une femme impliquée dans l'affaire a, elle aussi, écopé d'une peine de 5 ans de travaux forcés, pour avoir hébergé les malfaiteurs.

 

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Editorial

  • Idem !
    Et nous y revoilà ! Dix personnes écopent une peine de détention préventive à la prison de Moramanga. Elles sont accusées de fuite de sujets lors de l’examen du BEPC dans la Circonscription scolaire de Moramanga. Encore et toujours des fuites de sujets. Tous les ans, ou presque, le pays doit faire face à des délits de fuites de sujets d’examen officiel. Neuf candidats à l’examen du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC) 2025 ainsi que le proviseur d’un lycée privé sis à Belavabary, de la même CISCO, ont été placés sous mandat de dépôt à la prison de Moramanga à l’issue de leur comparution devant le juge d’instruction. Idem des cas de fuites de sujets. Le ministre de l’Education nationale déclarait, à ce sujet, comme suit : « tolérance zéro à l’encontre des fauteurs de trafics de sujets d’examen officiel ». Avec tous les respects à votre endroit Mme …

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