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Le pays attend avec impatience la proclamation des résultats officiels provisoires de l’élection présidentielle du 16 novembre dernier. A pied d’œuvre depuis le jour du scrutin, la Commission électorale nationale indépendante va livrer son verdict à la fin de cette semaine.  Selon une publication de l’organe d’Alarobia sur son réseau social, hier dans la mi-journée, 21 Sections de recensement de matériel de vote sur les 119 existantes ont fait parvenir leurs plis de vote auprès de la CENI centrale. 

Il s'agit des SRMV d'Antananarivo I, Antananarivo II, Antananarivo III, Antananarivo IV, Antananarivo V, Antananarivo VI , Antananarivo Avaradrano, Andramasina, Antsirabe I , Antsirabe II, Mandoto, Manjakandriana, Faratsiho, Nosy be, Anjozorobe, Ambatolampy, Soavinandriana, Vohibato, Isandra, Lalangina et d'Ambohimahasoa. Les derniers plis devraient arriver dans les prochaines heures dans la Capitale. La CENI travaille ainsi pleinement et complètement sur les versions physiques des procès-verbaux. 

Reprise de la fonction élective à partir de cette semaine. Après le 16 novembre, les élus retournent à leur mandat. Ils sont les parlementaires et ceux en charge des Communes. Leur session respective a été mise entre parenthèses avant le premier tour du scrutin présidentiel.

D’une manière ou d’une autre, sénateurs, députés, conseillers communaux/ municipaux et maires ont été amenés à mettre en sourdine leur mandat électif au profit de la propagande électorale. La tenue du vote à la date fixée par la Haute Cour constitutionnelle (HCC) devrait rouvrir la route vers le bureau habituel à ces élus.

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La une du 20 novembre 2023

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Temps de réflexion


Un temps pour parler. Un temps pour se taire. Un temps pour se lever et dire à même haute voix ce que l’on pense. Un autre pour s’asseoir et réfléchir. Le fou parle sans arrêt ni interruption ! Il trouve toujours des mots ou des maux à relever sur n’importe quel sujet ou situation. Tandis que le sage sait se taire, ne serait-ce qu’un temps ! Il sait intervenir au moment opportun. C’est un signe de maturité auquel il faut prêter attention ! Le minimum de sagesse veut bien qu’après avoir fait du bruit, qu’on se taise et qu’on se mure dans un silence absolu ! Autant qu’on ne peut ou ne doit pas parler sans cesse qu’on ne peut ou ne doit pas rester muet indéfiniment dans un silence éternel !
Le silence est d’or dit-on ! Une sagesse populaire qui n’est pas évidente en soi. Il faut se l’approprier. Quelqu’un qui n’est pas capable de se taire doit s’acquérir de la maitrise du silence. En effet, la vertu du silence s’apprend ! Une pensée sinon une idée bien conçue s’élabore dans un silence olympien ou cathédral. Il faut bien qu’on se donne le temps de réfléchir sur ce qui a été fait avant de concevoir et d’entamer de nouvelles actions.
L’échéance du premier tour achevée, on attend. Irions-nous vers le second tour ? L’avenir nous le dira. L’éventualité d’un « premier tour dia vita » se dessine à l’horizon. Dans tous les cas de figure, il est grand temps à chacun, pour chaque groupe ou à chaque camp de cogiter. Finis les gesticulations et les tapages sur la place publique, c’est l’heure du bilan, entre les quatre murs. Inutile de s’amuser à des  conférences ou points de presse. C’est encore trop tôt ! On ne peut pas contester les résultats de vote alors qu’ils ne sont pas encore publiés. Un geste qui relève de la mauvaise foi.
Dans le camp de l’Opposition notamment au sein du collectif des dix candidats (C10), une sérieuse remise en question s’impose. La probabilité d’un échec cuisant ne fait pas l’ombre du doute. Au fur et à mesure où les résultats, officieux s’entend, parviennent des quatre coins de l’île, l’écart entre les deux principaux challengers se creuse. Ayant participé ou non à la campagne, les treize candidats déclarés sont toujours considérés comme tels. Les décomptes officiels, au final, afficheront toujours sur le tableau les scores obtenus par chacun.
Pour sa part, au sein de la plate-forme Orange, on attend avec quiétude. Tout de même, le sentiment d’avoir su tirer l’épingle du jeu prédomine. C’est un secret de polichinelle de faire semblant d’ignorer qui raflera la mise. Ainsi, l’heure consiste donc à s’atteler à la mise en place de la stratégie pour la réussite du second mandat. S’il le faut, il n’est pas trop tôt ni trop tard de corriger. Nous osons espérer que l’ancien- nouvel homme fort du pays saura s’entourer concernant notamment son entourage immédiat. Le deuxième mandat s’inscrit évidemment dans la ligne de la continuité et surtout celle de la finalisation des chantiers entamés.
Aussi devrions-nous profiter de ce temps d’attente afin de peaufiner la mise sur rail du second mandat qui sera concrètement celui de la vérité et la réalisation.
Ndrianaivo



 



Célébrée chaque 20 novembre. La Journée mondiale de l’enfance (JME) marque la commémoration de l’adoption de la Convention relative aux droits de l’enfant, ratifiée par une centaine de pays dont Madagascar. Le droit de l’enfant fait partie des droits humains, lesquels restent encore mis à mal dans certains pays. Pour Madagascar, le Comité des droits de l’enfant a émis des recommandations, suite au rapport soumis par le pays en février 2022. La première recommandation concerne la nécessité de garantir l’accès à des services de soins de santé primaire, disposant de ressources suffisantes, surtout dans les zones rurales et reculées, y compris les ressources humaines.
Le Comité a aussi souligné l’importance de garantir l’accès à une éducation gratuite et de qualité, d’améliorer les taux de scolarisation, de fréquentation scolaire et d’achèvement de la scolarité pour tous les enfants, en particulier au niveau secondaire, en accordant une attention particulière aux disparités de genre. Aujourd’hui, plus de 40 % des enfants qui entrent au niveau primaire ne finissent pas leur scolarité. Comment pourront-ils alors contribuer au développent de leur pays demain ? De plus, 39 % des femmes âgées de 20 à 24 ans ont été mariées avant l’âge de 18 ans. Pour la plupart d’entre elles, cela signifie la fin de leurs études.
Par ailleurs, le Comité des droits de l’enfant s’est dit gravement préoccupé par la question de l’exploitation sexuelle des enfants et d’une manière générale par les abus sexuels subis par ces derniers. Il a été recommandé de mettre en place des mécanismes, des procédures et des lignes directrices pour garantir le signalement obligatoire de tout abus sexuel sur l’enfant, et de veiller à ce que ces affaires donnent lieu à des enquêtes et à ce que les auteurs soient poursuivis.
« Cette célébration nous (ndlr : l’UNICEF) donne l’opportunité de renouveler notre engagement à promouvoir les droits de l’enfant afin que chaque enfant malagasy puisse jouir pleinement de tous ses droits. Mais nos actions seraient vaines sans la collaboration étroite avec le Gouvernement, la société civile, le secteur privé ainsi que les partenaires au développement et de nombreux autres acteurs clés à tous les niveaux », a déclaré Christine Jaulmes, représentante de ladite agence onusienne à Madagascar, lors de l’inauguration du vernissage photo dans le cadre de la célébration de la JME, vendredi dernier à Ivandry. Avec le thème « Pour chaque enfant, tous ses droits », l’exposition était ouverte au public jusqu’à hier. Un concert avec Bolo pour faire connaître les droits de l’enfant s’y est aussi tenu samedi dernier.
E.F. / P.R.




Vers mi-octobre dernier, Johary Rakotoson, alias Zôzô, qui fut de son vivant un transitaire, et non moins informaticien   avait été assassiné sauvagement dans son propre domicile sis à Besakoa, Toliara.
Avec sa lente progression, l'enquête de la Gendarmerie sur cette affaire a toutefois connu un brusque rebondissement avec l'arrestation puis la garde à vue de deux suspects dans l'affaire, mercredi dernier. Et comme dans un effet d'entrainement, ces suspects ont indiqué la piste du principal suspect ayant commandité le crime. Il s'agit du dénommé Roger Coutiti Peter, alias Petera. D'après une source auprès du service de la Gendarmerie en charge de l'enquête, ce dernier n'est autre qu'un collègue de la victime. Le fugitif, dont la tête vaut 2 millions d’ariary, est en connaissance de cause en ce qui concerne la cible. Il est recherché comme étant le présumé commanditaire. "Ils sont quatre à être impliqués. Deux sont actuellement gardés à vue. L'un d'entre eux serait le tueur à gages.  Il reste à retrouver deux autres dont le surnommé Petera, qui aurait  commandité l'assassinat ", explique cette source.
D'après un renseignement de la Gendarmerie, le fugitif est reconnaissable à cause d'une plaie à un bras. Les chasseurs de prime auront du pain sur la planche pour retrouver sa trace.
Retraçons brièvement les faits, le corps sans vie et tout en sang de la victime avait été retrouvé dans sa maison. C'est la femme de ménage qui a fait en premier la découverte macabre de son employeur. "La femme a été très surprise de voir la porte d'entrée ouverte. Puis, son sang n'a fait qu'un tour en voyant tout ce sang qui souillait le carrelage. Une grande panique s'était emparée d'elle. "N'y tenant plus, la femme était accourue informer les parents de Zôzô, qui habitent quelques mètres de là", rapporte une source auprès de ce service de Gendarmerie en charge de l'enquête sur ce drame.
Pour l'heure, la question principale est de tenter de décortiquer le mobile de cet assassinat barbare et en même temps obtenir la confirmation du rôle de Petera dans l'affaire.
Franck R.

Une triste nouvelle vient de bouleverser la scène culturelle malagasy. Chanteurs, musiciens et mélomanes sont inconsolables depuis l’annonce de la disparition de Ninie Doniah. La chanteuse Bezara Eliane Virgine, interprète du tube « Malilo », connue sous le nom de scène Ninie Doniah, vient d’être emportée par le sommeil éternel à l’âge de 56 ans. Cette talentueuse artiste, originaire du nord de la Grande île, a succombé à la suite d’un cancer du pancréas. Selon les informations, la chanteuse serait décédée lors de son évacuation de Nosy Be à Antsiranana. Elle aurait succombée dans l’ambulance, à 5 km de la province de Diego. Sa maladie a eu raison d’elle.
La nouvelle de sa mort s’est répandue comme une traînée de poudre, laissant stupeur, rage et tristesse derrière elle. Sa disparition soudaine a donné lieu à une pluie d'hommages hier, depuis Nosy Be, où elle a démarré sa carrière phénoménale, jusqu'aux quatre coins l’île où elle a conquis le public grâce à son talent. Les messages d’adieux ont abondé sur les réseaux sociaux, alors que le temps semblait s’être arrêté pour pleurer sa disparition. « La reine du "salegy" Ninie Doniah est partie. Que son âme repose en paix. Toutes mes sincères condoléance à toute la famille. Tu resteras gravée à jamais dans nos cœurs ! », chagrinent Wawa - le prince du "salegy" et la chanteuse Tence Mena. « Ce n’est pas juste. Je suis attristée et révoltée ! Mais que son âme repose en paix », communique la chanteuse Lalatiana.
Erick Manana est également ému de la perte de la légendaire reine du "salegy". « Repose en paix Ninie Doniah ! », a-t-il écrit sur sa page officielle Facebook. A titre de rappel, Ninie Doniah est une chanteuse et compositrice, adepte du rythme « salegy ». Née le 15 août 1967, elle est originaire de la ville de Nosy Be. Elle descend d'une famille de musiciens. Elle a fait son entrée dans l’industrie musicale au milieu des années 90. Ninie Doniah a porté haut le flambeau du « salegy » durant 28 ans. Elle a laissé derrière elle un héritage riche et inoubliable. Sa musique, empreinte de messages poignants et éducatifs, a su valoriser le patrimoine culturel malagasy. Toute l’équipe de la Rédaction du journal « La Vérité » exprime ses condoléances à la famille, amis, connaissances et fans de l'artiste.
Si.R


« J'assume la responsabilité de notre défaite contre le Ghana. Mais ce n'est que le début du tournoi. Nous avons perdu contre une équipe de très haut niveau, mais il est trop tôt pour décider qui se qualifiera. Nous sommes en retard mais je pense que nous rattraperons cette défaite contre le Tchad lundi (ndlr Ce jour) », telle est la déclaration du sélectionneur malagasy à l’issue du match perdu in extremis face aux Blacks Stars lors de la première journée de qualification au Mondial 2026 dans le groupe I. « Durant le temps additionnel, j'ai signalé les joueurs car le Ghana nous a mis une grosse pression. Mais la fatigue a pris le dessus, ce qui a déconcerté les joueurs à la dernière minute. Mais c'est ça le football, les petites erreurs comme celles- ci se payent cher face à des grandes équipes comme les Blacks Stars. Donc on vit avec, je prends toutes mes responsabilités en tant que coach".
Pour lui, la priorité est de relever le moral des joueurs à l’issue de cette défaite concédée (1-0) à la dernière seconde face au Ghana, notamment pour faire face au deuxième match face aux Sao de Tchad ce jour au Stade d’Oudja Maroc.  Le match sera retransmis à la TVM à 20h (heures locales) soit à 22h à Madagascar.
Rappelons que faute de terrain homologué au Tchad, la Confédération africaine de football a opté pour le pays du Maghreb avec l’aval de la fédération tchadienne de football.
Romuald Rakotondrabe évoque un travail psychologique à faire pour galvaniser les Barea face au Tchad lundi.
« Notre priorité est de remonter le moral  des joueurs afin qu'ils puissent être prêts pour le match de lundi", explique le technicien malagasy à l’issue de la rencontre. « Et qu’il faut se battre  pour engranger les trois points de victoire », renchérit le patron des Barea.
Rappelons que le Tchad a été battu par le Mali par 3 buts à 1 lors de ses premiers matchs. Les Comores, adversaires du jour du Ghana, mènent  provisoirement en tête devant le Mali après avoir battu le Centrafrique  par 4 buts à 2 à Maluzini Comores.
Elias Fanomezantsoa


D’aucuns ont remarqué qu’un lobbying est mené ces derniers temps, notamment dans la presse et sur les réseaux sociaux, en faveur de Raymond Ranjeva. Ce dernier, rappelons-le, a pris position aux côtés de la présidente de l’Assemblée nationale, Razanamahasoa Christine, pour s’opposer ouvertement au pouvoir en place sous le couvert d’un soi-disant « plateforme de médiation ». Dans ses propos,  l’homme ne cache point son intention d’écarter toutes les actuelles Institutions  de la République  - de la Présidence par intérim au Sénat, en passant par la Haute Cour constitutionnelle (HCC) et la Commission électorale nationale indépendante (CENI) -  qu’il juge purement et simplement d’illégales. Bien entendu, à l’exception, il l’a dit, de celle présidée par son alliée Razanamahasoa Christine. Pour dire les choses telles qu’elles sont, Raymond Ranjeva rêve de mettre en place un régime de transition dans lequel, cela va de soi, il ambitionne de siéger.  Mais qu’est-ce qui peut bien pousser ce professeur de Droit de haut vol et ancien juge international à vouloir  accéder au pouvoir par voie extraconstitutionnelle ? Une ébauche de réponse pourrait être apportée au vu de son parcours professionnel.
On aura remarqué en effet que, contrairement à ses pairs professeurs d’université à la faculté de droit d’Antananarivo, jusqu’ici, Raymond Ranjeva est le seul  qui n’ait pas été à la tête d’une Institution de la République de Madagascar. Ainsi, le professeur Honoré Rakotomanana a déjà été président de la HCC (1982 à 1991) puis élu par deux fois président du Sénat (2001 à 2002 puis de 2016 à 2017). Pour sa part, le professeur de Liberté publique, Norbert Lala Ratsirahonana, fut nommé Premier ministre le 28 mai 1996 et devint Chef de l’Etat intérimaire de la République le 5 septembre 1996, lorsque le Président en exercice, Zafy Albert, a été empêché. Mais même  le « jeune » professeur de Sciences administratives, Jean Eric Rakotoarisoa, a déjà occupé le poste de président de la HCC du 12 mars 2014 au 12 mars.2021. Pour sa part, Raymond Ranjeva, jusqu’ici, n’a jamais siégé dans les hautes sphères de la République. C’est là, sans doute, la source de sa frustration.
A 81 ans (il est né le 31 août 1942) l’homme est un has been dans le paysage politique et, vu son opposition affichée au régime Rajoelina, a désormais très peu de chances d’accéder à un poste haut placé, électif ou non, pour les 5 prochaines années,. D’où sa stratégie de « chevaucher » à tout prix le mouvement Christine Razanamahasoa.
La Rédaction


La récente publication de Transparency International - Initiative Madagascar (TI-IM) soulève des préoccupations sérieuses quant à la crédibilité de cette organisation de la société civile. La directrice exécutive de TI-IM adopte une approche particulièrement tendancieuse, remettant en question l'intégrité de ses rapports.
Lors de la diffusion du rapport préliminaire avant les élections, la directrice a elle-même reconnu que les données présentées étaient des allégations non vérifiées. Il est déconcertant de constater qu'elle persiste dans cette méthode en publiant un rapport final tout aussi biaisé, dépourvu de preuves tangibles pour étayer les allégations de corruption électorale à hauteur de 46 milliards d’ariary visant le candidat numéro 3, Andry Rajoelina.
Les reproches portés à l'encontre de TI-IM mettent en lumière le manque de rigueur dans la collecte et la vérification des informations. Le rapport semble être basé sur des spéculations et des approximations, sans le travail de vérification nécessaire pour garantir sa crédibilité. TI-IM oublie de fournir des preuves concrètes pour étayer ses affirmations, sans quoi ces rapports restent entachés d'a priori et dépourvus de toute fiabilité.
Cette façon de faire n’étonne pas les observateurs. Faut-il en effet rappeler que la directrice de TI-IM semble être motivée par une animosité flagrante envers le Président Andry Rajoelina, compromettant ainsi son objectivité. Cette partialité jetant une ombre sur l'intégrité de l'organisation elle-même, remet en question sa capacité à jouer un rôle impartial dans le domaine de la lutte contre la corruption.
Il est impératif que les rapports de TI-IM ne se transforment pas en tribunes partisanes, mais restent fidèles à l'éthique de transparence et d'impartialité. La nécessité de recoupement et de vérification des données ne peut être négligée dans la quête de la vérité, surtout lorsqu'il s'agit d'accusations graves de corruption électorale. Les assertions non étayées et les insinuations sans fondement ternissent la réputation de TI-IM en tant qu'acteur impartial. La directrice exécutive devrait s'efforcer de rétablir la confiance du public en présentant des preuves substantielles plutôt que de se laisser emporter par des sentiments partisans.
La rédaction

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Editorial

  • Quid de la vérité ?
    « Toute vérité n’est pas bonne à dire ». Un apophtegme ancré dans la pensée des gens. Un précepte qui traduit une forme de réflexe moralvoulant éviter le choc au sein de la communauté. Le quotidien que vous avez entre les mains ambitionne l’inverse « Toute vérité est bonne à dire ». Unemaxime révolutionnaire voulant défier l’ordre des choses. Un défi qui se propose de ramer à contre-courant de la pensée établie. A nos fidèles lecteurs d’en juger ! Avons-nous été à la hauteur de la devise ? Nos ancêtres les « Ntaolo », dans leur démarche d’esprit précautionneuse estiment que la « vérité » est insaisissable, difficile à circonscrire. Ils évitent la prétention de dire avoir de façon formelle la « vérité ». Ils préfèrent s’abstenir et ne pas l’affirmer ouvertement. C’est difficile et compliqué ! Les « Ntaolo » se cachent derrière des termes « peut-être ceci ou…

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