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Grâce à l’Haltérophilie, la Grande île se hisse dans le classement avec 10 médailles dans son escarcelle dont trois médailles d’or, deux médailles d’argent et 6 de bronze. Devancée par l’Ile Maurice avec 7 médailles dont 3 en or, trois d’argent et une de bronze et devant la Tunisie qui compte 18 médailles avec 2 or, 6 d’argent et 16 de bronze.

Championne de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG). La Première dame Mialy Rajoelina confirme son engagement dans ce combat de longue haleine. Elle confirme sa détermination à mettre fin aux violences et aux pratiques néfastes, y compris le mariage des enfants. Elle réitère son appel au Gouvernement, partenaires techniques et financiers, bailleurs de fonds et sociétés civiles de considérer comme priorités, dans leur programmation stratégique, la problématique des VBG et d’investir davantage pour la promotion de l’autonomisation des femmes. Ceci dans le cadre de la finalité de mettre fin aux violences et autres pratiques néfastes. Cet appel a été lancé hier au Carlton Anosy, lors du dialogue de haut niveau sur l’égalité de genre et la lutte contre les VBG. Cet évènement, initié par le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), a réuni des acteurs clés, des hauts fonctionnaires malagasy et ceux venant des autres pays de l’Océan Indien. Des donateurs, partenaires, agences onusiennes et organisations de la société civile étaient également au rendez-vous.  

Redorer l’image de la ville d’Antananarivo. Dans le cadre de l'objectif de faire d'Antananarivo une ville propre d'ici 10 jours, une opération de nettoyage sur l'Avenue de l'indépendance et ses environs a été menée le week-end dernier par les éléments du Corps des sapeurs-pompiers œuvrant dans la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) ainsi que le personnel de la Direction de l'urbanisme. A cette occasion, le chef de corps de la Polices municipale, le commissaire Ostrom Whenss, a rappelé les dispositions du Code municipal d'hygiène (CMH) sanctionnant les personnes qui ne respectent pas les règles relatives à la propreté publique. D’ailleurs, la CUA a déjà multiplié le nombre des urinoirs et poubelles dans la ville des mille afin de lutter contre la défécation à l’air libre, ainsi que de lutter contre l’insalubrité qui mine la Capitale depuis plusieurs années.

Blocage. La Grande île se trouve toujours confrontée à des défis majeurs dans la commercialisation de sa production rizicole, selon un récent rapport présenté par la Banque mondiale. Selon les données présentées, une grande partie de la récolte nationale de riz, soit 80 %, est destinée à l'autoconsommation, mettant en lumière les obstacles considérables auxquels les agriculteurs malagasy sont confrontés pour accéder aux marchés. Un opérateur en agribusiness, préférant rester anonyme, explique que cette tendance découle en grande partie du niveau élevé de pauvreté, soulignant que le riz cultivé par les plus démunis est principalement destiné à la consommation directe. Pendant ce temps, les opérateurs dans les grandes exploitations, responsables des 20 % restants de la production, se tournent davantage vers l'exportation. 

Reconnaissance, Ravinala Airports vient d’annoncer que l'Aéroport international d’Antananarivo a été désigné en tant que « Meilleur aéroport destiné à moins de 2 millions de passagers en Afrique » pour l'année 2023, un titre décerné par l’Airport Council International (« ACI World »). Ce titre atteste des efforts continus déployés par la communauté aéroportuaire en vue d'améliorer la qualité des services à l'Aéroport international d'Antananarivo, élevant ainsi Madagascar au rang d'une destination respectant les normes internationales en matière de qualité de service et d'hospitalité. 

La fête du Nouvel an malagasy a été célébrée en fanfare. Cette année, depuis que la communauté royale a trouvé un consensus sur la date de célébration de cet évènement, bon nombre de passionnés mais également de simples citoyens ont remis le « Taom-baovao malagasy » au goût du jour. Effectivement, pour cette année, les festivités se sont déroulées   les 10 et 11 mars du calendrier grégorien. Si l’on se réfère au nombre de gens qui sont venu à Mahamasina ou encore au Colisée du Rovan’i Madagasikara  à cette occasion, on pourrait  affirmer que cette fête commence à ne plus être intime. 

Depuis sa nomination en tant que ministre des Affaires étrangères de Madagascarn le 14 janvier dernier, Rasata Rafaravavitafika s'est distinguée par son engagement  à renforcer les relations internationales de son pays. Son parcours dynamique au cours de ses deux mois ou presque à la tête du département à Anosy a dépeint le portrait d'une diplomate active et déterminée qui parcourt le globe pour promouvoir les intérêts de Madagascar. En à peine quelques semaines, la toute nouvelle numéro une de la diplomatie malgache a vu l'Europe, l'Afrique, l'Asie et l'Océanie. 

Encore un bandit de moins en matière de kidnapping. Le week-end dernier, la Gendarmerie a neutralisé, et ce, définitivement Dôfa, alias Fôngitiky, ce malfaiteur rendu tristement célèbre en termes d’enlèvements dans la localité de Brieville, district d'Andriamena. Les circonstances ayant conduit à l'élimination du concerné.

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La une du 11 mars 2024

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Que faire ?


Le rideau est tombé. Les grandes mobilisations à caractère plutôt festif s’achèvent. Les beaux discours annonçant les bonnes intentions et déclarant des engagements formels se terminent. Bref, les cérémonies de commémoration de la Journée de la femme du 8 mars sont closes. D’ores et déjà, on revient à la réalité. On redescend sur terre. Et que faire ?
Dans tout Madagasikara, la Journée de la femme a été célébrée en fanfare. Des fêtes mondaines en peu partout. Dans une petite localité de Soavimbahoaka, un petit Fokontany non loin de Fénoarivo- Atsimondrano, Commune rurale d’Ampitatafika, les autorités du Fokontany organisaient une petite fête animée par des « mpitsoka mozika » sur la place publique et quelques badauds  dansaient. Et c’est tout ! Pareil dans une contrée à mi-chemin entre Arivonimamo et Miarinarivo, à Soamahamanina, à 60 km environ de la Capitale sur la RN 1, la Commune organisait un défilé des femmes suivi d’un bal populaire. Et c’est tout ! Du pareil au même sur l’étendue du territoire national. Et après, on revient aux dures réalités quotidiennes de la vie. En tout cas, pour la grande majorité des descendantes d’Eve, la Journée du 8 mars fut une journée banale comme tant d’autres où la lutte pour subsister fait toujours rage.
Le point focal de la Journée du 8 mars se passait à Toamasina, la capitale économique de la Grande île. Tout le gotha de la gent féminine y était présent. La cérémonie présidée par la Première Dame soutenue par son époux de Chef de l’Etat et assistée par les femmes ministres et autres dignitaires, au féminin, du pays fut très haut en couleurs. Des déclarations et des engagements ont été tenus. Entre autres, Mme Mialy Rajoelina annonçait qu’elle va militer à bloc pour que les lois en vigueur soient appliquées stricto sensu. Elle poursuivra son combat pour défendre les causes de la femme, entendre fille de tout âge, épouses, etc. notamment la lutte contre les Violences basées sur le genre (VBG). En somme, Mialy Rajoelina se tiendra debout à tout moment !
Les cérémonies terminées et maintenant que faire ! A Madagasikara, 47 ans après ces cérémonies festives du 8 mars, où en est-on ? Pas seulement dans notre pays, à l’échelle continentale et même dans le monde, les conditions de femme ont-elles eu des avancées ? Peu probable ! Le patron de l’ONU déplore plutôt le recul. Les femmes afghanes revivent la galère avec le retour des Talibans au pouvoir. Dans le monde arabe archi-dominé par la religion musulmane, surtout dans certains pays ultra-pratiquants, la femme continue de subir les pires humiliations vis-à-vis des hommes. En Afrique, dans les pays en conflits armés internes comme le Soudan, les viols et violences subies par les femmes s’intensifient. Chez nous, les VBG et viols sur mineurs se démultiplient. En dépit du durcissement de la loi, castration et autres, les viols sur mineurs continuent de sévir. Justement, autour de cette nouvelle peine, des voies commencent à s’élever. Les réticences de certains organismes internationaux font écho quelque part.
Que faire ? Des mesures concrètes doivent être prises. Sensibilisation continue et mobilisation permanente. Education à tous les niveaux. Un programme national structuré inscrit dans la PGE au titre du dynamisme social, l’un des trois piliers.
Ndrianaivo

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Editorial

  • Choix stratégique
    Evidemment, la récente intervention sur les chaînes nationales du Chef de l’Etat Rajoelina Andry Nirina monopolise l’attention. Une intervention qui survient à un tournant délicat où le pays n’a pas droit à l’erreur. Le numéro un de la Nation, conscient du poids de la responsabilité pesant sur ses épaules, n’a pas manqué de tracer les voies et les moyens judicieux et réalistes pour sortir Madagasikara de la pauvreté. Trois grands axes sortent du lot. Primo, bilan des deux évènements cruciaux : la visite d’Etat du Président français Emmanuel Macron et le Ve sommet de la COI.

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