Et nous y voilà encore et toujours. Les transports terrestres, de voyageurs et de marchandises, tuent. Ils « assassinent » des innocents. Ils détiennent le macabre record de meurtres. Jusqu’à présent, la Grande île ne subit pas encore la psychose des terroristes d’Al Qaida, de l’Aqmi, des Islamistes radicalisés, etc. Mais voilà, nous vivons la tourmente sous la coupe de ces terroristes locaux qui s’en prennent à la vie des autres.
Les conducteurs, des chauffards sans âme ni conscience, qui roulent à tombeaux ouverts. Ils conduisent les passagers tout droit vers l’abattoir. Des propriétaires de véhicules, dénués de tout sens de responsabilité, font circuler leurs mortels engins non conformes aux dispositifs de sécurité. Ils confient leurs véhicules à des conducteurs parfois immatures et sans expérience. Et on tue et tue toujours !
Des éléments des Forces de l’ordre et de sécurité, au cours des contrôles de routine sur la route, laissent circuler des véhicules avec des papiers irréguliers. Des engins qui ne respectent même pas le minimum des mesures techniques garantissant la sécurité des voyageurs. Corruption oblige !! Et on tue !
Et que dire de l’état lamentable de nos routes nationales notamment les RN2, RN4 et RN7 qui sont les plus fréquentées en période de vacances. Sans citer le cas des routes d’intérêt provincial (RIP) ou de District … Des routes propices aux accidents.
Des responsables publics qui pèchent encore et toujours par leur manque chronique des sens de l’anticipation sinon de la prévention. Ils interviennent encore et toujours après … la mort ! Et oui, tels des « médecins après la mort ». Inutiles ! Trop tard ! Ils ressassent des termes déjà trop entendus « Handray fepetra henjana ». A tous les coups, on entend le même refrain sans qu’il y ait des résultats probants ou tangibles quitte à améliorer les conditions de vie des pauvres et innocents concitoyens. Le Chef de l’Etat Rajoelina Andry l’a déjà évoqué plus d’une fois. En fait, il déplore le manque d’anticipation de certains membres du Gouvernement. Apparemment, il n’y a pas eu tellement d’évolution dans ce sens ! Et le pays tourne en … rond. Et on tue toujours !
Dans tout cela, de qui se moque-t-on ! Nous avions eu déjà l’occasion de tirer la sonnette d’alarme ! Mais, il semble que nous criions dans le désert. Personne ne nous entend, ne nous écoute. Plutôt, on se moque de nous tout simplement ! A la sortie de vacances des potaches, en juin dernier, à travers nos colonnes, nous sommes montés sur le toit du moins au créneau pour alerter tout au moins aviser tous les responsables publics ou privés qu’ils prennent toutes les dispositions utiles et nécessaires afin de limiter les dégâts, humains surtout, sur le circuit nos routes nationales.
A Isandra, Fianarantsoa, le conducteur s’amuse à téléphoner avec son portable alors qu’il roule à une vitesse folle. Il n’a pas pu négocier normalement le tournant. Résultat : 9 passagers ont perdu la vie sans parler des blessés graves. De même à Marovoalavo (Beforona - Moramanga), le conducteur au volant d’un camion défaillant tue 19 personnes. On ne peut pas parler de génocide mais c’est du massacre sinon d’une tuerie gratuite.
Ndrianaivo
Fanahimanana Tiaray dénonce une requête destinée à alimenter la controverse. Il réagit à l’arrêt publié par la Haute Cour constitutionnelle mardi qui déboute Fanirisoa Ernaivo de sa requête demandant l’invalidation de la candidature de Andry Rajoelina lors de la présidentielle de 2018. Dans une interview donnée à la presse hier, ce magistrat appelle à la vigilance. Il semble en effet que la requête ait davantage pour but de susciter des débats et des troubles dans l’opinion publique, explique-t-il. Cet ancien compagnon de route de Fanirisoa Ernaivo au sein du Syndicat des magistrats de Madagascar souligne à ce propos qu’il est difficile à croire que la requérante et son avocat, familiers avec la loi, ne sachent pas que juger la requête n’est pas de la compétence de la Haute Cour constitutionnelle. De l’avis de Fanahimanana Tiaray, la requête semble viser à jeter le discrédit, à décrédibiliser cette institution aux yeux du grand public, à donner l’image d’une institution qui n’est pas digne de confiance.
L’arrêt pris par la HCC rentre dans une logique juridique implacable, selon l’opinion exprimée par Fanahimanana Tiaray. En effet, dire ou juger une requête dont le fondement est la nationalité d’une personne ne font pas partie des compétences de la HCC listées de manière exhaustive par la Constitution. En outre, il soutient que la requête venant de personnes qui militent pour le respect des lois demande à la HCC d’enfreindre les textes en vigueur. Le juriste souligne, en effet, que la requête tend à faire modifier la décision de la Haute Cour constitutionnelle ayant arrêté la liste définitive des candidats à l’élection présidentielle de 2018, sachant pourtant que les dispositions constitutionnelles et législatives prescrivant que les arrêts et décisions de la Cour ne sont susceptibles d’aucune voie de recours.
Il estime en outre, d’après ses connaissances, que la requête aurait pu être introduite auprès du Tribunal de première instance seule compétente à trancher sur les contestations de nationalité. Il précise à ce sujet cependant que si l’affaire avait été portée à ce niveau, une copie de l’assignation ou de la requête est déposée au ministère de la Justice. Toute demande à laquelle n’est pas jointe la justification de ce dépôt est déclarée irrecevable. Dans le cas d’espèce, remarque-t-il, aucune copie n'a été déposée au niveau du ministère de la Justice, ce qui constitue déjà un non-respect de la loi.
La Rédaction
Le golf est le sport individuel à ouvrir officiellement la compétition des Jeux des îles de l’océan Indien 2023 (JIOI) ce mardi 22 août au golf du Rova Andakana. Il est l’unique discipline de démonstration de cette 11ème édition des JIOI à Madagascar.
Après la prospection et la présentation des équipes participantes ce mardi, la confrontation pour une démonstration a débuté hier mercredi 23 août sur le « green » d’Andakana. Après le lancement officiel de cette édition, les pays participants ont procédé à la reconnaissance du terrain dans la matinée suivie de levée de drapeau et présentation officielle des équipes.
C’est le Président Directeur Général du Groupe SODIAT en personne, Mamy Ravatomanga, et son épouse qui ont eu l’honneur d’ouvrir officiellement la compétition. « Faire découvrir Madagascar autrement », c’est pour cette raison que SODIAT s’investit dans le golf.
La compétition a débuté, hier, avec la formule « playstroke » de 72 avec huit en simple dont deux dames et six hommes. Au classement par catégorie, Matteo Douessy (Madagascar) mène la danse dans la catégorie hommes avec une carte de 69. Il est à égalité avec Johary Raveloarison de la catégorie Pro et un autre Malagasy Kim Do Woo qui a livré une carte de 70. Le podium est provisoirement occupé par un trio malagasy. Chez les dames, les deux premières places sont provisoirement occupées par deux réunionnaises : Schmitt Melliyal qui a livré une carte de 72 et de Toumpsin Bénédict avec une carte de 77. Madagascar complète le podium par le biais de Kim Maria, la golfeuse malagasy qui a rendu une carte de 80 à l’issue des 18 trous.
Dans l’équipe 2 malagasy, Jean Baptiste Ramarozatovo est loin derrière ses compatriotes, à la 15ème place et ce avec une carte de 83 sur 28 participants masculins.
Dans le classement par équipe masculine, Madagascar figure en tête avec un total de carte 287 devant La Réunion qui a rendu un total de carte par catégorie de 315, suivie par Maurice avec un total de 319 et Seychelles restent à la quatrième position du classement provisoire avec un total de 333.
Chez les dames, la compétition a été dominée par les Réunionnaises avec une carte de 76, Madagascar à la deuxième place avec une carte de 80 et Maurice en troisième position provisoire avec une carte de 85.
En deuxième journée, ce jour, les concurrents disputeront 36 trous dont huit en simple dans la matinée (2 dames et 6 hommes) et l’après-midi Foursome (deux hommes) plus quatre balles meilleure balle, et quatre balles meilleure balle pour deux dames.
Une belle occasion de concrétiser la volonté commune de renouer les relations inter- îles. Et pour le parcours du Golf du Rova de montrer qu'il est capable d'organiser une épreuve de niveau international. Très heureux de tout mettre en œuvre cet échange inter-iles, tout le monde semble motivé pour relancer cette dynamique.
A noter que le parcours a été construit et rénové suivant les normes internationales. Garant d’un certain niveau de qualité et d’accueil de grands tournois internationaux, Le Golf du Rova Andakana possède quelques-uns des plus beaux trous des parcours malagasy.
Elias Fanomezantsoa
La scène se serait produit avant-hier soir, précisément dans la nuit de mardi dernier dans le magasin Victoria Plaza à Antanimena. Toutefois, en nous enquérant auprès des enquêteurs de la Police et de la Gendarmerie, ils affirment n'avoir pas reçu un rapport sur ces faits. "Les renseignements s'y rapportant devraient être l'apanage de l'équipe que nous avons relayé", explique une source auprès d'un commissariat de la ville. Les sources au niveau de la gendarmerie ont à peu près les mêmes explications à propos de la récolte d'informations.
Cependant, nous avons mené nos propres investigations. De source officieuse, un box sis au premier étage du bâtiment, qui en compte d'autres, aurait été la cible des cambrioleurs. Et que ces derniers auraient vidé les rayons de ladite boutique de tout le matériel hi-tech dont des téléviseurs et des ordinateurs à écran plat, mais aussi des portables, sans parler des smartphones Androïd et autres tablettes dernier cri, et même des clés Usb, le tout d'une valeur se chiffrant à quelques dizaines de millions d'ariary. L'on rapporte même que les bandits, qui n'ont pu être identifiés, auraient emporté la recette de la journée, liquidités qui se trouveraient dans la caisse, et prévue à être versée à la banque. "Pour s'y frayer un passage, les malfaiteurs n'ont pas hésité à fracasser la porte d'accès vitrée et fumée dudit box", commente cette source officieuse.
Cela laisse supposer que les voleurs, malgré la présence des caméras de surveillance, auraient le temps d'agir toute cette nuit de mardi là. Pire, ils se seraient tapis quelque part à l'intérieur du bâtiment, attendant l'heure de la sortie où clients et employés devaient quitter l'endroit. Et qu'ils auraient bénéficié de complices, ayant attendu tout au pied de l'immeuble pour récupérer le butin. A propos, les malfrats, pour partir, auraient ensuite emprunté l'accès principal sis au rez-de-chaussée (voir la photo), et donnant sur la rue longeant la partie sud du bâtiment. Par bribes aussi, on a appris qu'ils étaient, un homme et une femme, à perpétrer le cambriolage, sinon à dévaliser ce box de matériel électronique hitech visé. La propriétaire a déposé une plainte. Bien entendu, la version est encore de cette source officieuse.
Mais c'est ce qui intrigue aussi, c'est que l'acte aurait échappé totalement aux agents de sécurité, qui étaient de service cette même nuit là. D'après notre investigation, ils étaient quatre à travailler ensemble, mais auraient dormi dans leur cagibi qui occupe un angle sis dans la partie Est du bâtiment. "Les quatre ont été convoqués à Fiadanana vers 17h (Ndlr, hier"), selon toujours cette source. De plus, le bâtiment sis en face de Victoria Plaza, emploie aussi des gardiens. Or, ces derniers n'ont pas été interrogés, du moins pour l'instant. Un chien pisteur a aidé les enquêteurs dans leur recherche à l'endroit, hier après-midi. "L'animal, après qu'il cherchait à l'étage, s'était immobilisé à cet endroit", confie notre source en désignant la devanture du bâtiment, côté sud.
A cause des besoins de l'enquête, il a alors fallu, du moins pour le propriétaire chinois du bâtiment, fermer totalement Victoria Plaza, toute la journée d'hier, et jusqu'à nouvel ordre. Affaire à suivre.
Franck R.
Scène émouvante, hier, lors du rassemblement de la grande famille des athlètes qui vont défendre les couleurs malagasy aux Jeux des îles de l’océan Indien, à J-2 du coup d’envoi prévu demain au stade Barea et ce jusqu’au 3 septembre. Les 1400 athlètes qui seront en lice au plus grand rendez-vous sportif de l’océan Indien ont reçu le fameux « tso-drano », du « Raiamandreny » avant le début de la compétition. C’était aussi l’occasion de leur remettre les équipements de compétition pour chacune des 19 disciplines. Chacun des 1400 athlètes a reçu son matériel et tenue de compétition, hier, des mains du Président de la République Andry Rajoelina.
« Nous avons choisi comme devise, « La victoire dans l’unité et dans la diversité ». Le moindre effort que vous allez fournir sur le terrain de jeu sera pour le peuple malagasy, qui croit en vous et qui repose toute son espoir en vous. Je crois en vous tout comme tout le peuple malagasy que vous allez gagner la première place du podium. Ce sera l’occasion pour nous de montrer aux îles sœurs que nous sommes solidaires pas seulement à travers le sport », annonce le Président Andry Rajoelina aux athlètes malagasy.
Et d’ajouter, « Vous allez de nouveau placer haut la fierté nationale grâce à vos efforts. Je suis avec vous c’est ne pas seulement du discours mais je dis cela avec cœur et ardeur. Aucune discipline ne sera oubliée, tous les athlètes médaillés durant ces jeux auront des primes spéciales. De même pour les meilleures Fédérations. »
« Ce n’est pas pour pousser les athlètes à l’extrême, mais au-delà de la motivation c’est une récompense. Car nos athlètes ont fourni trop d’efforts en un laps de temps court. Nos athlètes méritent de gagner mais ils méritent également d’être primés », souligne le ministre des Sports André Haja Resampa.
Faire de la magie avec un petit de budget
L’Etat malagasy à travers le Comité d’organisation des Jeux des îles (COJI) a réussi à jongler avec un petit budget. Le Gouvernement malagasy a alloué 34 milliards d’ariary pour l’organisation et la préparation des athlètes malagasy en vue des Jeux des îles de l’océan Indien 2023. Avec ce budget serré, l’Etat malagasy a réussira à organiser des ‘‘Jeux des îles grandioses’’ avec la rénovation de toutes les infrastructures de la Capitale dont deux stades (Mahamasina et celui Municipal d’Alarobia), deux piscines olympiques (ANS Ampefiloha et Complexe Vontovorona), et cinq gymnases (Petit Palais, Palais des Sports, Gymnase couvert de Mahamasina, Ankorondrano, et Gymnase de l’université d’Ankatso, la préparation ainsi que l’achat d’équipements complets pour les 1400 athlètes malagasy qui évoluent dans 19 disciplines.
C’est largement loin du budget consacré par l’ancien régime lors des Jeux des îles à l’Ile Maurice en 2019 avec un budget s’élevant à 49 milliards d’ariary dépensés dans la préparation des athlètes pour chaque jeu.
Toutes les délégations venues des îles sœurs sont déjà dans nos murs. Et les chefs de délégation présents au pays ont déjà manifesté leur satisfaction. Avec ce début de sentiment de fierté, l’objectif est déjà atteint pour le Gouvernement malagasy.
Elias Fanomezantsoa
La visite du Rovan’i Madagasikara se met au diapason avec la technologie. Ainsi, en plus des billets physiques, l’entrée dans l’enceinte du site peut être effectuée via des paiements en ligne sur la plateforme « ticketplace.io ». Le lancement du ticket digital a été effectué hier.
Cette nouvelle façon d’obtenir le ticket permet une grande mobilité des visiteurs lors de leur venue à Madagascar, mais également permet de découvrir grâce au site les offres disponibles. En effet, le tarif de groupes, d’enfants, des adultes ou des écoles y sont indiqués.
Les dispositifs de vérification sont déjà mis en place à travers un système de scan effectué sur place afin d’éviter toutes éventuelles fraudes. Le ticket conventionnel reste disponible sur place.
Pour ses autres avantages, le ticket digital permet de réaliser de nombreuses économies car il réduit l'utilisation du papier, mais aussi des consommables et encres. Un avantage très important à prendre en compte de nos jours. Le ticket électronique est respectueux de l'environnement. Le passage au zéro papier permet non seulement de moderniser et de numériser le commerce, mais également de réduire l'empreinte carbone.
La ministre de la Communication et de la Culture, Lalatiana Rakotondrazafy, a officialisé le lancement hier.
Le nombre de visiteurs prévu en hausse
Avec la tenue prochaine des Jeux des îles de l’océan Indien dans la Capitale, les responsables s’attendent à une hausse du nombre des visiteurs avec la venue de nombreux touristes et athlètes des îles sœurs sans oublier les locaux. La mise en place du ticket en ligne est donc très pratique. Il permet d’organiser le planning entre les compétitions et la visite de sites touristiques.
Depuis la réouverture du Rovan’i Madagasikara le 19 juin dernier, le site accueille 800 à 1000 visiteurs par jour. Cela va jusqu’à 2000 pendant le week-end. Avec le nouveau format offert sur place, la visite attire de nombreux étrangers et malagasy de différentes régions. Il est à noter que la visite du Rovan’i Madagasikara fait partie de "City tours", inclus dans le circuit touristique d’Antananarivo mis en place avec le ministère du Tourisme.
Nikki Razaf
Feu Claude Ravelomanantsoa dit Raglady, de là où il est, serait fier de voir trois de ses protégés au sein du FC BFV se battre pour la médaille d'or aux Jeux des îles de l'océan Indien 2023. Jusqu'à maintenant, il est le seul entraineur à avoir conduit un club malagasy en demi-finale d'une compétition africaine, en l'occurrence le FC BFV. Trois éléments de ce club mythique de la Grande île se trouvent aujourd'hui à la tête de trois sélections nationales au tournoi de football des JIOI 2023 qui débute demain et vont s'affronter pour le métal précieux.
Le golf sera parmi les disciplines présentes dans ces JIOI, grâce à l’initiative de la Fédération malagasy, et sera de nouveau en démonstration, comme ce fut le cas en 2015 et en 2018 lors des JIOI à La Réunion et à Maurice.
Durant quatre jours, du 22 au 25 août, le Golf du Rova Andakana accueillera les sélections de Maurice, de Madagascar, des Seychelles et de La Réunion.
L’épreuve de golf ouvrira officiellement les Jeux des îles de l’océan Indien 11ème édition. Après la prospection et la présentation des équipes participantes hier, la confrontation pour une démonstration débute ce jeudi 23 août sur le « green » d’Andakana.
Il y a quelques semaines de cela, un Israélien avait été arrêté avec 59 tortues endémiques dans sa valise à l'aéroport d'Ivato. La Justice malagasy l'avait placé sous mandat de dépôt avant de le juger plus récemment. L'Israélien a été condamné à deux années de prison ferme. De plus, l'accusé a été contraint de payer une amende de 400 dollars, révèle une source. D'ailleurs, tenter de faire sortir de nos frontières ces tortues, que l'on ne trouve nulle part ailleurs, est un crime grave. Un saurien vaut entre 2 500 $ à 8 000$.