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Décidément, l'affaire dite "Raïssa" n'est pas prête de se terminer. Pas plus tard qu'hier, Raïssa Razaivola, de son vrai nom, a dû affronter de nouveau son procès, le énième du genre, à la salle 1 du Tribunal d'Anosy. Manque de pot, ni le public, encore moins la presse n'ont pas eu le droit d'y assister. Donc, pas de photographie, non plus. Il s'agissait d'un procès à huis clos de Raïssa. Le problème, c'est qu'il n'y avait aussi aucune possibilité pour tenter au moins de savoir le mobile qui a poussé le juge à prendre cette décision.

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La une du 17 août 2023


Prendre un taxi-moto est devenu très dangereux actuellement avec des bandits qui profitent de ce business pour s’immiscer dans les rangs des conducteurs. En effet, ces derniers temps, beaucoup de clients se sont plaints d’avoir été détroussés par un taxi-moto.

Les axes d’Itaosy Beravina ou celui d’Ankadimbahoaka vers Tanjombato ont été pointés du doigt par les usagers. « Du côté d’Ankadimbahoaka, un scooter m’a proposé de me conduire. Et comme il était très tard, j’ai indiqué la destination et marchander le prix. Cela n’avait rien d’exceptionnel car j’avais l’habitude de prendre ce moyen de transport. Mais sur le chemin d’Avarabohitra, le conducteur a fait mine d’avoir une panne et m’a dit de descendre. Puis il m’a menacée avec une arme blanche tout en m’arrachant des mains mon sac et mon téléphone portable », selon le témoignage de Hasina, employée d’un call center.

Les bandits profitent de l’existence des taxis-motos pour accomplir leurs méfaits. Dans leur dessein, ils ne rejoignent pas les stationnements de taxi-moto habituels comme les arrêts de bus. Par exemple, l’un deux prend pour cible, une personne seule sur la route. Pressée de rentrer et dans le désarroi vu l’inexistence de transports en commun, la victime est une proie facile.

Des précautions à prendre
Avant de décider de prendre un taxi-moto, il faut prendre des précautions. D’abord, ne jamais prendre un taxi-moto en cours de route, mais rejoindre les lieux de stationnement si possible. « Ici on se connait tous et si un élément nouveau rejoint le groupe, une mini-enquête est engagée. On peut alors indiquer au client qui est fiable et qui ne l’est pas », selon Rado, taxi-moto à Ambohijatovo. Il a ajouté qu’actuellement, des conducteurs de taxi- moto inconnus sont présents sur les lieux. « La semaine dernière, une dame a été détroussée par un taxi-moto, elle est revenue plus tard sur les lieux avec des policiers pour identifier son agresseur et a enquêté sur les conducteurs qui étaient sur place. Cependant, le bandit n’était qu’un usurpateur et n’est jamais revenu à Ambohijatovo depuis son méfait.

En outre, au vu de cette recrudescence de l’insécurité concernant le deux-roues, la Préfecture de police d’Antananarivo a décidé de rendre obligatoire le port de badge et de gilet. Ces derniers doivent être signés par l’autorité compétente.
Cette initiative a été prise dans le but d’identifier et d’uniformiser les membres de ce secteur. Les conducteurs de taxis-motos qui ne suivent pas ces instructions seront réprimés.
Il est à noter que selon les derniers recensements officieux, 82% des taxis-motos de Tanà ne sont pas des professionnels, mais des ‘altruistes’. Sur les 5 000, seulement 900 sont en règle.

Nikki Razaf

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Une urgence de plus !

Tout est urgent ! Tout est prioritaire !
Dès sa première intervention publique, son discours d’investiture, à Mahamasina le 19 janvier 2019, Rajoelina Andry, le président de la République, fraichement intronisé, annonça haut et fort que « Tout est urgent » dans ce pays qui est le nôtre. En réalité, tout est prioritaire. La lutte contre la misère. Le combat contre l’insécurité. La bataille contre la corruption, contre l’impunité, contre toutes les formes de délinquances, financières notamment. La réinitialisation de l’éducation civique. La prise en charge des maladies chroniques, le palu, la peste, la polio, etc…
Au lieu de s’améliorer ces problèmes chroniques, classiques, collés à la peau des malagasy, s’aggravent. Ils vont de mal en pis. Le récent rapport de la Banque Mondiale sur la situation économique post-Covid fait état d’un léger progrès dans la plupart des pays d’Afrique entre autres. Mais, l’institution de Bretton Woods déplore la stagnation voire le recul certains pays dont Madagasikara. Elle se désole de devoir le constater et encourage vivement les dirigeants de ces pays à agir conséquemment.
L’insécurité, en dépit des efforts des Forces de la Défense et de la Sécurité, les bandits de tout acabit sévissent encore et toujours de façon atroce et barbare. Le peuple en pâtit durement. La corruption renforce de plus belle son emprise et cela même jusqu’au sommet de l’Etat. Rien n’y échappe ! Les maladies chroniques sensées être éradiquées remontent en surface. Elles reviennent au galop. Le cas de la poliomyélite préoccupe sérieusement. La maladie fait dangereusement un retour en zone ! Le paludisme jugé être maitrisé résiste. Etc.  
Le pays fait face également à une autre urgence plus terrible. Un phénomène inquiétant préoccupe les esprits notamment auprès de certains mouvements associatifs observant la jeunesse. Les suicides sinon les tentatives de mettre fin à la vie à sa vie augmentent en nombre ces derniers mois. Selon l’Observatoire de la jeunesse, les vagues de suicides ou de tentatives de suicide touchent essentiellement les jeunes. En général, la catégorie d’âge au sortir de l’adolescence jusqu’à l’âge adulte est vulnérable à tout point de vue. Une tranche d’âge délicate pour diverses raisons. Les adolescents jeunes ou les jeunes adolescents négocient un tournant complexe afin d’identifier leur avenir. Ce qui ont réussi leur parcours, par un succès aux examens, par un embauche intéressant c’est-à-dire être casé quelque part ou par une motivation quelconque émergent du lot et se trouve à l’abri des besoins. Par contre, d’autres qui ne parviennent à se débarrasser du cercle vicieux des échecs ou des ratages chroniques s’enfoncent dans la détresse.
D’après Fy Indrafonjanahary, vice- présidente de l’Observatoire de la jeunesse et porte-parole dudit observatoire, les problèmes socio-économiques, sentimentaux, les échecs divers et notamment l’addiction à la drogue sont les principales causes de suicide parmi les jeunes. En fait, la dépression conduisant aux tentatives de suicide concerne toutes les classes d’âge. Mais, elles deviennent de plus en plus critiques en ces temps-ci avec la propagation de la drogue dure surtout auprès des jeunes et des moins jeunes. Les dealers rodent en permanence dans les parages des collèges et les lycées.
Les activistes de l’Observatoire tirent la sonnette d’alarme. Ils recommandent la multiplication des Centres d’écoute prenant en charge les jeunes. Une urgence de plus.

Dans une déclaration récente, les autorités ont annoncé que le Trésor public a récemment effectué le paiement de 292 factures émanant du Fonds Routier malgache (FR). Cette mesure s'inscrit dans le cadre des efforts continus visant à améliorer l'infrastructure routière du pays. Au total, un montant impressionnant de 28 108 1010 928,90 ariary a été déboursé pour honorer ces factures, représentant ainsi un investissement significatif dans le développement des routes et des voies de communication à Madagascar. Depuis sa création, le Fonds Routier a joué un rôle vital dans l'amélioration et l'entretien des réseaux routiers du pays. En collaborant étroitement avec diverses entreprises de construction et de génie civil, le FR a été en mesure de superviser la réalisation de nombreux projets routiers qui contribuent ainsi à renforcer l'accessibilité et la connectivité interrégionale. L'annonce du paiement de toutes ces factures marque une étape cruciale dans la concrétisation de ces projets. Cette initiative démontre l'engagement continu du Gouvernement à soutenir les infrastructures routières de qualité - essentielles pour stimuler le développement économique- à faciliter la circulation des biens et des personnes et à améliorer la qualité de vie des citoyens. Les travaux réalisés, grâce aux fonds alloués par le Fonds Routier, ont touché différents aspects de l'infrastructure routière allant de la réhabilitation des routes existantes à la construction de nouvelles voies de communication.
Investissement
Ces projets englobent également des efforts visant à renforcer la résilience des routes face aux conditions météorologiques variables, assurant ainsi une durabilité à long terme. L'importance des investissements dans l'infrastructure routière ne peut être sous-estimée. En effet, ces investissements contribuent directement à la croissance économique et au développement social de Madagascar. Des routes en bon état favorisent la mobilité des biens et des services, stimulant ainsi le commerce intérieur et extérieur, tout en facilitant l'accès aux services de base tels que la santé et l'éducation pour les communautés éloignées. Cependant, il est également crucial de maintenir une transparence et une responsabilité rigoureuses dans la gestion des fonds alloués au Fonds Routier. La surveillance attentive des dépenses et la garantie que les projets seront réalisés conformément aux normes de qualité et aux échéances prévues sont des éléments essentiels pour assurer la réussite à long terme de ces initiatives d'infrastructure. Ainsi, le paiement récent de ces 292 factures du Fonds Routier malgache témoigne de l'engagement du Gouvernement à renforcer l'infrastructure routière du pays. Un investissement total de 28 108 1010 928,90 ariary représente un pas en avant significatif dans la réalisation de projets routiers essentiels. La poursuite de ces efforts aidera à stimuler le développement économique, à renforcer la connectivité régionale et à améliorer la qualité de vie de la population malagasy.
Hary Rakoto

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JIOI - Antananarivo aux couleurs des Jeux



 Eclairage, installation des drapeaux officiels des Jeux, enseigne et opération coup de poing. La ville d’Antananarivo est en pleine action dans le cadre de la préparation des 11e  Jeux des îles de l’océan Indien (JIOI) qui se dérouleront du 23 août au 3 septembre prochains dans la Capitale.
 Des drapeaux des JIOI sont déjà en place dans les rues longeant la nouvelle rocade à Tsarasaotra ainsi que d’autres axes comme Alarobia, Ankorondrano, Analakely ou encore Anosy et Mahamasina. Depuis le début de ce mois d’août, la ville des Mille est aux couleurs des Jeux, et en particulier le centre-ville.
Ainsi, les agents de la JIRAMA se sont attelés, depuis plusieurs jours, sur l’installation des luminaires Cobra dans la zone d'Ankorondrano et ses environs.
« La JIRAMA poursuit son travail de décoration de la ville avec des appareils de tête Cobra pour éclairer la route la plus fréquentée la nuit. Il continue sur la rue Ankorondrano et le village Voara d’Andohatapenaka et continuera dans d’autres endroits », indique-t-on.
C’est une initiative de la société JIRAMA et le ministère de l'Energie afin de redorer l’image de la ville ainsi que la sécurité dans la Capitale, avant, durant et après les événements. D’ailleurs, ces matériels y resteront pour toujours, dans l’intérêt de la population.
De son côté, la Commune urbaine d’Antananarivo procède à une opération de coup de poing. Outre les agents de la Société malagasy d’assainissement (SMA), elle est soutenue par plusieurs entités comme le ministère de la Défense nationale tandis que d’autres ont réalisé des opérations Tagnamaro. Une centaine d’agents sont mobilisés chaque jour pour ramasser les ordures qui s’entassent dans la Capitale.
Comme à chaque évènement, beaucoup profitent de cette occasion pour en tirer profit. Les vêtements, goodies portant le logo des JIOI commencent à apparaître sur les étals des commerçants notamment au marché de l’artisanat et des articles faits main à Andravoahangy.  
Anatra R.



A environ trois mois et demi de l’élection présidentielle, on s’achemine vers un nouveau record de candidatures. A ce stade, l’on recense une dizaine de candidats déclarés ou pressentis pour ce scrutin. Bien sûr, d’autres personnalités viendront vont se rajouter à la liste. Et bien entendu, un certain nombre d’entre eux abandonneront d’ici le 6 septembre, date de clôture de réception des dossiers de candidature ( période qui s’ouvrira d’ici une semaine jour pour jour le 23 août),  officiellement faute de parrainage, parce qu’ils auront rallié un autre candidat, etc.
Au rythme actuel, l’on s’attend de nouveau à ce qu’au moins une vingtaine de candidatures soient ainsi enregistrés auprès de la Haute Cour constitutionnelle. On ne devrait alors pas être très loin des chiffres enregistrés lors des précédents scrutins présidentiels.
Pour rappel, en novembre 2018, ils n’étaient pas moins de 36 à prétendre accéder au fauteuil de Président de la République au Palais d’Etat d’Iavoloha. 30 candidats ont obtenu moins de 1% voix soit environ 50.000 voix sur un total de 4,8 millions de vote, ceux que l’on appelle les « zérovirguliens », lors du premier tour de l’élection présidentielle. En 2013, 31 candidatures avaient été retenus par la Cour électorale spéciale à l’époque.  La moitié de ces prétendants à la magistrature suprême du pays n’ont pas atteint la barre de 1% à l’époque.
Iznogoud
En tout cas, il semble évident que rien ne semble pouvoir freiner l’ardeur de ceux qui, à l’image du célèbre personnage de bande dessinée le grand vizir Iznogoud, ambitionnent de devenir calife à la place du calife. Rien n’y fait, ni la peur du ridicule liée à la perspective de finir la compétition avec un score anecdotique et encore moins le coût – prohibitif pour le citoyen lambda – des cautions financières.
En effet, pour écarter les candidatures farfelues et éviter une débauche d’ambitions qui ne manqueraient pas de peser sur les finances publiques, les autorités ont décidé de mettre en place le principe du versement préalable d’une caution financière. Cette trouvaille n’a, jusque-là, pas réussi à infléchir la courbe des aspirants.
Remboursable uniquement à ceux qui recueillent 10% des suffrages exprimés, elle est passée de 20 millions d’ariary à 50 millions d’ariary, lors de la dernière présidentielle de 2018. Les autorités actuelles ont pris la décision radicale de quadrupler le montant de la caution qui s’élève aujourd’hui à 200 millions d’ariary, soit un peu moins de 40.000 euros. Soit 800 fois le salaire minimum.
Critiquée par l’Opposition, la réalité avec le nombre pléthorique de prétendants à Iavoloha attendus semble montrer qu’il en aurait peut-être fallu beaucoup plus, pour décourager ceux qui briguent le poste occupé actuellement par le Chef de l’Etat sortant, Andry Rajoelina, lui-même fortement pressenti pour être candidat à sa propre succession et grandissime favori à ce titre.
Lalaina A.


Comme il l’avait annoncé au cours de son dernier déplacement dans le Nord du pays, le Président Andry Rajoelina est prévu rencontrer le Pape François au Vatican, ce jour. Ce déplacement au Saint – siège s’inscrit dans le cadre d’une audience privée, et donc d’une visite privée selon les précisions de la Présidence. Ainsi, le Chef de l’Etat s’est envolé vers Rome accompagné de son épouse, Mialy Rajoelina et de leurs trois enfants. Le ministre des Affaires étrangères, Yvette Sylla, est également du voyage.
« En tant que croyant et fidèle de l’Eglise catholique Romaine, le Président de la République souhaite se ressourcer spirituellement et décide de porter en prière la vie de la Nation malagasy », indique toujours la Présidence. Le Président va rencontrer le Pape François pour la 3ème fois. Leur première entrevue remonte en avril 2013, un mois après l’élection du Saint – Père tandis que la seconde fut dans le cadre de la visite pontificale à Madagascar en septembre 2019. Par ailleurs, ce tête-à-tête en privé avec le Souverain Pontife pourrait aussi être l’occasion d’aborder les questions du renforcement des relations diplomatiques entre Madagascar et le Saint-Siège. Une rencontre entre le Chef d’Etat malagasy et Monseigneur Miraslow Wachowski, Sous – secrétaire pour les Rapports avec les Etats au sein du Vatican figure aussi au programme de ce déplacement à Rome. 
S.R.


Un rendez-vous à ne pas manquer. A travers le tournoi Inter-îles de l’océan Indien, le  golf va être présent durant les Jeux des îles 11ème édition à Madagascar, en tant que discipline de démonstration. Le tournoi international aura lieu du 22 au 25 août prochains sur le green Golf du Rova Andakana.
« Le Golf du Rova devient de plus en plus exceptionnel dans l’océan Indien. Déjà reconnu pour sa technicité, son esthétique et la qualité du service, le Golf du Rova a déjà conquis les plus grands joueurs. Nous tenons à remercier Monsieur et Madame Ravatomanga pour leur gentillesse de nous laisser le terrain disponible au tournoi », s’exprime Ranaivo Andrianasolo, président de la Fédération malagasy de Golf.
 Les cinq îles de la région y seront représentées entre autres, Madagascar, Seychelles, Ile Maurice, et la France à travers les deux départements : l’Ile de La Réunion et Mayotte. Chaque île sera représentée par six joueurs dont  un pro, trois amateurs et deux seniors dans chaque équipe. 
Madagascar aura  l’avantage de présenter deux équipes mais la deuxième sera hors classement. Cependant, les joueurs peuvent concourir sur le champ individuel. En ce qui concerne la présentation du tournoi et des membres de l’équipe nationale malagasy, l’équipe 1 sera la plus capée des golfeurs malagasy avec Johary Raveloarison tandis que l’équipe 2 sera menée par Jean Baptiste Ramarozatovo.
« Un tournoi de sélection s’est tenu les 30 et 31 juillet derniers permettant à la direction technique nationale d’établir une liste de la sélection nationale. Nous avons pris le meilleur de chaque catégorie, pour composer l’équipe 1, alors que les deuxième et troisième ont composé l’équipe 2. Les champions de Madagascar en titre pour les ‘‘amateurs’’ comme le cas de Mathéo et Manitra Ratsimbazafy, c’est grâce aussi à leur performance qu’on les a invités à intégrer l’équipe nationale », explique Johary Raveloarison.
Le tournoi se disputera en 72 trous Stroke play.  Sur les 18 trous d'un parcours, le nombre total de coups est de 70, 71 ou 72. La norme étant 72. La première journée, les participants joueront 18 trous avec huit en simple dont deux dames et six hommes. La deuxième journée, les concurrents disputeront 36 trous dont huit en simple pour la matinée (2 dames et 6 hommes) et l’après-midi, Foursome (deux hommes) plus quatre balles de match, meilleure balle deux hommes et quatre balles meilleure balle pour deux dames. Et durant la troisième journée, les concurrents joueront 18 trous. Pour les hommes, c’est le total 4 meilleures cartes sur 6 par jour plus deux cartes détermineront les vainqueurs. Chez les dames, c’est le total de la meilleure carte plus une carte équipe qui détermineront la meilleure.
Un classement individuel homme et celui individuel dame sur le total de trois tours du même joueur et joueuse seront récompensés selon la catégorie (pro, amateur et senior).
« Sans les sponsors : EcoPrime, Henri Frais et Fils, CT Motors, Telma, Le Show Room, Bet 261, LMBOI, Jovenna et Hita ou Huillerie de Tamata et les partenaires médias : La Vérité, Madagascar Matin, Inona no Vaovao, Les Nouvelles, Express, Tv Plus et Viva, la tenue du tournoi aurait été vaine », avoue le président de la Fédération lors de la conférence de presse de présentation honorée par la présence de Mamy Ravatomanga et de son épouse, hier au Golf Galaxy Andraharo.
Elias Fanomezantsoa

Madagascar 1
Madagascar 2

Equipe MADA 1
Johary Raveloarison (Pro)
Matheo Douessy
Do Woo Kim

Julien Rasoloarimanana (
Fils Rakotondrafara (SNR)
Luca Ratsimbazafy (SNR)

Manitra Ratsimbazafy (Dames)
Maria Kim (Dames)
Equipe MADA2
Jean Baptiste Ramarozatovo (Pro)
Matteo Rakotofiringa
Amir Vasta
Ny Ony Rakotonavahy

Michel Morizot (SNR)
Hery Rafindarivo (SNR)
Monique Noyon (Dame)
Holy Gagneux (Dame)



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LA UNE DU 16 AOÛT 2023

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Editorial

  • Come back historique
    Donald Trump revient ! Retour en zone en puissance. Le 47 ème Président des Etats-Unis d’Amérique a solennellement prêté ce lundi 20 janvier dans la Salle d’honneur de la Capitole devant un parterre de personnalités dont les anciens locataires de la Maison Blanche, certains multimilliardaires et des sympathisants triés au volet et entièrement acquis à la cause. Cette Nation étoilée, traditionnellement reconnue comme la première puissance du monde, ne cesse de nous épater, de nous éblouir et parfois même de nous bousculer. Dans un discours fleuve apparemment non écrit, Donald Trump, l’ancien-nouveau locataire de la Maison Blanche, étale de long en large son fameux leitmotiv « American first », les « Américains d’abord », dans une rhétorique qui envoûte l’Amérique. D’un ton parfois provocateur et incisif, Donald Trump reprend sa revanche et du haut de son piédestal de Président des Etats-Unis d’Amérique investi officiellement. Il tire à boulets rouges ses…

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