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Ces derniers jours, de nombreux centres hospitaliers ont subi des répercussions liées aux revendications sociales et politiques qui se tiennent dans le pays. Il en est de même pour le personnel médical qui effectue des bénévolats partout. L’accès aux soins a été perturbé. Pourtant, les hôpitaux doivent rester des espaces neutres et sécurisés, car toute perturbation pourrait mettre des vies en danger. 

Selon les conventions internationales, les infrastructures sanitaires doivent rester en dehors des conflits, qu’ils soient armés ou sociaux. Par conséquent, les manifestations, les grèves ou mobilisations devraient préserver ce caractère neutre des hôpitaux. 

 

Angoisse, stress, rage, dépression, manipulation, etc. Ces émotions négatives s’intensifient en cette période difficile. Les rumeurs, « fake news » et désinformations les amplifient et sont à leur comble actuellement, notamment sur les réseaux sociaux. La rumeur sur la coupure programmée de la connexion Internet, annoncée le 26 septembre dernier, en est un exemple concret qui a créé la psychose chez les internautes. L’Autorité de régulation des technologies de communication (ARTEC) a dû démentir officiellement cette information pour rassurer les usagers, en précisant que « la connectivité demeure accessible selon les conditions habituelles dans toute l’île ».

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Des fondamentaux

Que la commémoration de la Journée internationale de la non-violence, le 2 octobre 2025, nous soit offerte pour revisiter les fondamentaux de la démocratie et de l’Etat de droit.

En guise de préalable, il nous est obligé de noter que le rappel des principes de la démocratie et de l’Etat de droit n’est pas l’apanage unique d’un seul courant d’idée ou d’un camp par rapport au pouvoir en place. Tout le monde, tout citoyen, conscient de la nécessité de faire appliquer strictement les fondamentaux de la démocratie et de l’Etat de droit ont le sacré devoir de tirer la sonnette d’alarme en cas de violation caractérisée.   

 

Le thon migrateur est le plus difficile à pêcher pour les Malagasy. Selon Mahatante Paubert, ministre de la Pêche et de l’Economie bleue, cette espèce se trouve à environ 34 km des côtes. Certains individus peuvent peser jusqu’à 700 kg et nager à 40 km/h. 

 

Après une première participation remarquée l'année dernière, la Grande île se prépare à s'imposer une nouvelle fois sur la scène internationale. Cette fois-ci, trois jeunes artistes, toutes des filles, représenteront fièrement l'île lors de la grande finale du concours « Our Generation » qui aura lieu le 11 octobre en Russie. Michella, Brenda et Riantsoa, âgées de 9 à 16 ans, incarnent l'énergie créative et l'ambition d'une jeunesse malgache, déterminée à se faire entendre à travers la musique.  

 

Avec la fin de l’AGOA, les exportations textiles malgaches vers les Etats-Unis subissent désormais 45 % de taxes douanières à l’entrée : 30 % de droits de douane normaux et 15 % de droits additionnels. Les entreprises qui bénéficiaient de cet accord cherchent aujourd’hui en urgence de nouveaux débouchés.

« Ce n’est pas seulement la fin de l’AGOA en soi qui nous met en difficulté, mais surtout la surtaxe additionnelle imposée par le gouvernement américain et la très courte période laissée pour nous réorienter », explique une responsable d’usine textile du District d’Avaradrano.

 

Dans une adresse à la Nation prononcée hier, en milieu de journée, le Président de la République Andry Rajoelina a dénoncé les manœuvres visant à déstabiliser Madagascar et a lancé un appel au dialogue et à l’unité nationale.

Selon le Chef de l’Etat, certains mouvements de contestation ont été orchestrés à l’occasion de son déplacement à l’ONU le 25 septembre, avec pour objectif de semer le chaos et de préparer un coup d’Etat. « Il y a des individus et des groupes qui cherchent à prendre le pouvoir sans passer par les urnes, au détriment de notre pays », a-t-il déclaré. Le Président a souligné que cette tentative de déstabilisation visait à fragiliser l’Etat et à montrer à l’extérieur un pays en guerre.

 

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LA UNE DU 031025

Quand la passion dépasse le terrain : au Maroc comme à Madagascar, la jeunesse admire ses champions, mais refuse de laisser la gloire sportive dissimuler les échecs des politiques publiques. Les stades remplis et les titres remportés ne suffisent plus. La Gen  Z veut des infrastructures dignes, non seulement pour les compétitions, mais pour vivre.

De Rabat à Antananarivo, un langage commun s’impose, celui des réseaux sociaux. Hashtags, montages vidéo, messages de sportifs en soutien.  La Gen Z a su transformer la culture numérique en outil de contestation. Le sport n’est plus seulement un divertissement, mais un révélateur des fractures sociales et un amplificateur de voix.

 

La contestation du 25 septembre dernier, menée en grande partie par les jeunes du collectif Génération Z, a rapidement dégénéré en une série de pillages visant des centres commerciaux et grandes surfaces de la capitale. Plusieurs jours durant, des scènes de vandalisme ont éclaté aux quatre coins de la ville, contraignant les Forces de l’ordre à intervenir avec fermeté.

 

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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