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Etant parmi les pays les moins développés dans les années 1960. Actuellement, la Corée du sud devient un acteur majeur de l'économie mondiale en tant que membre du G20. Elle a bénéficié de l'aide internationale pour son développement dans le passé. Maintenant, il s’agit d’un pays donateur actif. La Corée du sud s'engage dans l'aide au développement en apportant un soutien financier et technique à de nombreux pays en développement, y compris Madagascar. 
Lors de la célébration de la Fête nationale coréenne, hier, Yvette Sylla, ministre des Affaires étrangères, a souligné l'importance du partenariat entre Madagascar et la République de la Corée. Ce partenariat se manifeste par des investissements significatifs dans divers secteurs, en particulier les mines. Ce pays apporte un soutien financier et technique à la réalisation des programmes de développement initiés par le Gouvernement malagasy. Les domaines prioritaires incluent la santé, l'éducation et la préservation de l'environnement. Yvette Sylla a également cité les réalisations récentes de cette coopération, notamment le financement du projet d'électrification à travers la construction de deux sous-stations : celle de Tanà Nord et d'Ambohibary, dans le cadre du Projet de Renforcement et d'Interconnexion des Réseaux de Transport d'Energie Electrique à Madagascar (PRIRTEM I). Vient ensuite  la réussite du « Better Education for Africa’s Rise » (BEAR II), une coopération tripartite dans le domaine de l'éducation, financé par la Corée et mis en œuvre par l'UNESCO, achevé en novembre 2022. On peut mentionner également le projet de Conservation de la biodiversité et gestion durable des ressources naturelles pour le développement communautaire intégré dans les parcs nationaux de Madagascar (BIOCOM).
Pays pivot
Divers programmes de formation sont destinés aux agents de l'Etat malagasy, octroyés chaque année par l’Agence coréenne de coopération internationale (KOICA), tels que la formation pour l'autonomisation des femmes et le renforcement des capacités pour les diplomates,  la convention de partenariat entre le « Korea Customs Service » (KCS) et la Direction générale des douanes malagasy sur l'« Amélioration du système douanier à Madagascar », ce qui a permis l'échange d'expertises entre les techniciens des deux pays dans le domaine de l'e-gouvernance en matière douanière.
En août dernier, Madagascar a également eu l'honneur de recevoir une délégation coréenne dirigée par Yoon Sang Jick, un envoyé spécial du Président coréen. Cette visite a conduit à la signature de quatre mémorandums d'entente visant à concrétiser la coopération économique entre les deux pays, notamment dans la promotion du commerce et des investissements miniers. D'après l'ambassadeur de La République de la Corée à Madagascar, « la Corée du Sud aspire à jouer un rôle de "pays pivot" sur la scène mondiale, en contribuant à la liberté, la paix et la prospérité mondiale. Elle renforce également ses relations de coopération avec les partenaires africains, en mettant l’accent sur les relations mutuellement bénéfiques et orientées vers l'avenir, particulièrement avec Madagascar ».
Carinah Mamilalaina


Triste fin pour un soldat de 2e classe répondant au nom de Lalatiana Aimé Solonirina (22 ans), qui était en service à l'ENSOA Antsirabe. Il a trouvé la mort de façon particulièrement violente car étant littéralement broyé par un camion-citerne. Le militaire se serait suicidé, du moins selon la Gendarmerie. Les faits sont survenus sur une portion de voie longeant la gare routière de Vatofotsy, Fokontany de Saharoaloha, Commune urbaine d'Antsirabe.
 Revoyons les circonstances de l'accident. Le militaire est sorti d'un petit portail de l'ENSOA, bordant la route secondaire. Puis, et sans formalité, il a directement plongé sous le camion-citerne qui venait d'un dépôt sis à Saharoaloha. La victime a été tuée sur le coup.
Il s'agit d'un suicide, selon le premier renseignement reçu. "Le militaire s'est jeté, non au-devant le poids lourd, mais a plutôt attendu à ce que le poids lourd passe à sa hauteur avant de plonger subitement sous les essieux. La mort fut sans appel et il ne fallait pas voir. Le résultat fut effroyable.
D'après les premiers éléments de l'enquête, un problème familial, ayant occasionné une tension psychologique chez le concerné, aurait motivé ce comportement suicidaire du soldat.

Le camion de marque DAF XF en cause, appartiendrait à un habitant d'Anosiala Ambohidratrimo.
Le corps du défunt a été remis au colonel, commandant de l'ENSOA après la constatation.
La brigade de police de la route est saisie de l'affaire.
Franck R.


Parmi ses griefs, le Collectif des candidats critique le processus électoral, sans pour autant fournir de preuves. Des critiques qui montrent une mauvaise foi des onze prétendants à Iavoloha regroupés au sein de ce mouvement. En effet, depuis le début du processus électoral, la Commission électorale nationale indépendante (CENI) montre patte blanche en matière de transparence.
Dans un souci de fiabilité et de transparence du processus électoral, la CENI a organisé plusieurs dialogues avec les parties prenantes, dont la dernière s'est tenue, hier à Alarobia, au siège de cette commission électorale. Ce dialogue vise à créer les conditions les plus favorables à la conduite d’un processus électoral apaisé, à travers des discussions ouvertes sur les différents volets du processus et les préoccupations des acteurs.
Il est loisible de critiquer à ce sujet la politique de la chaise vide adoptée par les candidats de l'Opposition. Ceux-ci boycottent systématiquement les séances d'information initiées par la CENI dernièrement destinées pourtant à lever tous leurs inquiétudes sur tous les aspects du scrutin. Ces candidats qui ne se privent pas de remettre en question le processus électoral, sans pour autant fournir des preuves. Une énième manifestation de la mauvaise foi de ces candidats.
Surveillance des fraudes
En matière de transparence, la CENI a procédé en début de semaine à la distribution  d'un disque dur à chaque candidat à l'élection présidentielle contenant les données statistiques du registre électoral national et de la liste et l’emplacement des bureaux de vote. Cette dotation répond à un souci de la transparence par rapport au processus électoral, devait expliquer le président de la CENI, Dama Arsène Retaf Andrianarisedo.
Toujours dans ce souci de transparence, la CENI, en collaboration avec le PNUD et la Commission nationale indépendante de la défense des droits de l’homme (CNIDH), a lancé la semaine dernière la plateforme I-report permettant de faciliter la surveillance des fraudes, lors des élections. Cette plateforme ouverte à tous, aura pour objectif de lancer un système d’alerte précoce contre toute fraude ou infraction durant les élections.
Audit
Par ailleurs, la CENI a également entrepris d'effectuer un audit du registre électoral. Ainsi le fichier électoral a subi deux audits, des opérations auxquelles ont pu participer des techniciens issus des partis politiques de l'Opposition dont le Tiako I Madagasikara de Marc Ravalomanana. Ces techniciens avaient notamment conclu que le Registre est suffisamment fiable pour permettre la tenue des prochaines élections.
Le candidat Marc Ravalomanana s’est même réjoui de la réalisation de l’audit du fichier électoral. Les organismes internationaux, dont notamment l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), dans son rapport d’audit du Registre électoral national de Madagascar (2022-2023), avaient aussi adoubé ce registre. Tout cela pour dire que la liste électorale est aussi sûre que possible. D'ailleurs si la CENI avait des velléités de fomenter des irrégularités, elle n'aurait pas remis ladite liste aux candidats.
Force est ainsi de souligner que jusqu'à présent tous les outils que la CENI pouvait donner en guise de garantie de sa volonté d'avancer vers une élection présidentielle transparente et intègre ont été faits. Alarobia est exempt de reproches dans ces domaines.
L.A.

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LA UNE DU 06 OCTOBRE 2023

Jour-J, tout est prêt pour le « Road to BAL ». Le Club omnisport de la police nationale (CosPN), l’équipe malagasy en lice dans cette campagne africaine des clubs champions, est déterminé à aller plus loin dans la compétition.  Trois jours de compétition sont au programme à partir de ce vendredi 6 octobre au dimanche 8 octobre. Un match par jour se tiendra au Palais des Sports de Mahamasina à 17h. C’est l’équipe seychelloise de  Beau Vallon Heat et la formation comorienne d’Ushindzi qui ouvriront la confrontation ce jour. Un match décisif car le malheureux vaincu de ce choc sera déjà dans une impasse pour la suite de la compétition.  L’équipe malagasy sera en lice demain samedi à 17h face à l’équipe comorienne. Un club à ne pas amoindrir car les Comoriens ne sont pas venus au pays pour passer des vacances mais ont pour mission de s’arracher l’unique ticket pour l’Elite « Sixteen ». 

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Education - Hommage au corps enseignant

Un dévouement, une passion. « Sans les enseignantes et les enseignants, l'éducation ne remplirait pas le rôle qui lui est assigné, car enseigner ne signifie pas uniquement apprendre à l'élève une série de faits et nombres. C'est inspirer, libérer le potentiel de l'enfant, lui offrir de nouvelles perspectives. Enseigner, c'est aider les enfants à concrétiser leurs rêves d'un monde meilleur ». La Journée mondiale des enseignants est célébrée tous les 5 octobre. 

« Les enseignants dont nous avons besoin pour l'éducation que nous voulons », tel est le thème de cette année. Il s'agit de reconnaître le rôle important que jouent les enseignants dans l'éducation et le développement des individus et des sociétés. 

L’opération de soins gratuits pour les riverains du quartier d’Isotry a été un franc succès. En effet, le bataillon médical du ministère de la Défense nationale a mis la main à la pâte en offrant des soins gratuits et en distribuant des médicaments pour les personnes défavorisées de ce quartier. Cette action civilo-militaire entre dans la politique « Santé pour tous ».

Au jour de lancement de l’opération, environ 600 personnes sont venues pour se faire ausculter à l’EKAR Anatihazo-Isotry. Et au final, ce chiffre a dépassé le millier lors de la dernière journée. Lors des consultations, il a été relevé que ce sont les maladies pulmonaires qui sont les plus fréquentes. « En cette période d’intersaison, grippe, toux et autres maladies respiratoires apparaissent. Les patients ont ainsi reçu les médicaments s’y référant selon le stock disponible. Ce genre d’action va continuer dans d’autres quartiers. 

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Quid du dialogue 

Qui dialogue avec qui ? Sur quelle base le dialogue devrait-il avoir lieu ? A quel sujet devrait-on s’en tenir ? Et vers quelle issue le dialogue espérait-on aboutir ?

Suite aux échauffourées de lundi entre Forces de l’ordre et le Collectif des candidats et leurs sympathisants, des appels au dialogue et l’apaisement se multiplient. Des cris apparemment lancés dans le désert !

En principe, un dialogue se justifie par l’existence de deux forces en présence. De  deux blocs contradictoires dont les positions se radicalisent au fur et à mesure où le contexte évolue vers le point de non- retour. Chaque camp croit dur comme fer le bien- fondé de sa démarche. Mais, un dialogue montre sa nécessité dans le sens où il y a un vrai problème à dénouer ensemble.

Les perspectives économiques de l'Afrique subsaharienne restent sombres, avec une reprise économique qui tarde à se concrétiser. Selon le dernier rapport "Africa's Pulse" de la Banque mondiale, l'instabilité croissante, la croissance faible des principales économies de la région, et l'incertitude mondiale continuent de peser sur la croissance économique régionale. La croissance économique en Afrique subsaharienne devrait ralentir à 2,5 % en 2023, en baisse par rapport aux 3,6 % enregistrés en 2022. L'Afrique du Sud ne prévoit qu'une croissance de 0,5 % en 2023, en raison de problèmes dans les secteurs de l'énergie et des transports. Le Nigeria et l'Angola connaîtront une croissance de 2,9 % et 1,3 % respectivement, principalement en raison de la chute des prix des matières premières et des pressions sur les devises. 

Suite à la lettre d’information déposée par les six députés du parti «Tiako i Madagasikara », mercredi dernier, faisant office de demande d’autorisation, le Préfet d’Antananarivo a donné sa réponse hier. Souci de maintien de l’ordre, préservation de la circulation des citoyens et protection des activités commerciales dans le centre – ville, tels sont les motifs évoqués par le préfet de Police d’Antananarivo, Angelo Ravelonarivo dans sa lettre adressée aux six députés. Il justifie ainsi le refus de la Préfecture d’autoriser le rassemblement au 13 mai par l’objectif de prendre en considération l’intérêt public.

 

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Editorial

  • Mouroirs
    Triste vraiment triste ! C’est désolant de devoir parler de la mort alors qu’on vient tout juste de passer des moments d’allégresse durant la célébration la date du 26 juin 2025, le 65ème anniversaire du retour à la souveraineté nationale. Une réjouissance légitime ! En effet, après avoir passé et vécu 64 ans sous le joug du pouvoir colonial, parfois inhumain et même bestial, le pays revient dans sa dignité, à l’indépendance. Encore faut-il en croire « de quelle indépendance » s’agit-il ! Dans tous les cas de figure, on a droit à une fête. Et ça a été ! Mais, il va falloir redescendre sur … terre.

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