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L'approvisionnement en nourriture décente pour les détenus est un problème récurrent dans les centres de détention à Madagascar. En effet, le repas n'est pas très qualitatif. Il est essentiellement à base de manioc. En plus, certains centres ne parviennent pas à nourrir suffisamment leurs locataires.

L’affaire remonte le 20 janvier dernier à l’aéroport d’Ivato. Mais ce n’est seulement que cinq jours après que la douane malagasy a révélé l’information. Il s’agit de son coup de filet sur un passager de nationalité indienne du vol ET852 d’Ethiopian Airlines. Avec une méthode ingénieuse pour les dissimuler, le passager en cause a tenté de faire sortir clandestinement 1,5 kg d’or du pays. 

Des améliorations constatées entre 2016 et 2021. Les résultats de la deuxième enquête sur les indicateurs de prestation de services en Tsiafahy, Antsahadinta, Bongatsara, Antanetikely, Ambohijoky, Alatsinainy Ambazaha, Ampahitrosy, Soalandy, Ampanefy, Soavina, Anosizato-Est, Ampitatatika, Ambahavahaditokana, Fenoarivo, Itaosy, Ambohitrimanjaka, Fiadanana, Ampangabe.

Des améliorations constatées entre 2016 et 2021. Les résultats de la deuxième enquête sur les indicateurs de prestation de services en éducation (IPS), menée auprès de 800 établissements scolaires, les ont révélées. Il s'agit d'une des initiatives de collecte de données conduits par le Gouvernement malagasy. A cela s'ajoute le premier « Tableau de bord mondial des politiques de l'éducation », mis en œuvre en 2021 sur un échantillon de 200 écoles. Les enquêtes ont touché à la fois les élèves et les enseignants.

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Guéguerre fratricide 

Quelle mouche a donc piqué la majorité présidentielle ? Apparemment, il semble qu'un insecte non identifié la contamina d'un dangereux virus déclenchant une bizarre crise. Une crise qui ne dit pas son nom, provoquant une scission en interne, menace la cohésion ou l'unité des dirigeants du régime Orange.

Air peut-être, c'est le sobriquet que la plupart des usagers avaient attribué à Air Madagascar, il fut un temps. Présentement, avec le changement de dénomination, la compagnie aérienne nationale peine à se défaire de ses mauvaises habitudes. A l'illustration d'un vol international prévu pour aujourd'hui et qui sera alors reporté pour lundi. D'ailleurs, dernièrement, la compagnie aérienne Madagascar Airlines a dû modifier le programme de ses vols depuis La Réunion. Un avion ATR de la société a été touché par la foudre alors qu'il était en train d'atterrir à l'aéroport Roland Garros de Sainte-Marie. La compagnie a rapporté « un impact technique sur l'appareil ».

Officiellement, 150 tonnes de vanille ont été exportées par Madagascar. Mais il fallait être naïf pour se dire que toute la production exportée s'est faite dans les règles de l'art. Certains acteurs sans vergogne continuent de couler sciemment la filière, malgré les efforts entrepris par le Gouvernement.

Dura lex sed lex, mais certains s'entêtent 

Le Gouvernement a fixé le prix du kilo de vanille à un taux plancher de 250 USD, afin de protéger l'intérêt des producteurs et des collecteurs malagasy. Une rencontre avec les principaux acteurs internationaux de la filière a même eu lieu à Paris au mois de juin pour mettre les choses au clair et sceller les règles du jeu dans le marbre.

Malgré toutes ces mesures prises par le ministère du l'Industrialisation, du Commerce et de la Consommation, certains s'entêtent à braver les lois en vigueur.

Certaines entreprises prêtes à tout pour contourner la loi

On sait que certaines entreprises ont recours à des procédés peu catholiques pour écouler leur stock en dessous du prix plancher établi. Chez NR MADA ou encore CTAA par exemple, nos sources indiquent que les transactions se font en devises ou par rétrocessions en produits.

Si, dans son article du 25 janvier, RFI parle d'un bras de fer autour de la filière, elle se garde bien de citer SUN RESOURCES, une agence sise à Toamasina pour le compte d'entreprises à Dubaï, qui propose de la vanille de grade 1 certifié bio à 170 USD, livrable dans des ports à Hambourg ou Rotterdam.

Le label « Vanille de Madagascar » usurpé

L'autre pratique, encore plus honteuse, c'est de faire passer de la vanille d'autres provenances pour de la vanille de Madagascar. L'entreprise DEMONCHY par exemple, s'est approvisionnée de dizaines de tonnes en Indonésie et en Ouganda, à seulement 120 voire 90 USD le kilo. Dans quel but ? Pour les mélanger à leur stock et les vendre sous le label « Vanille de Madagascar ». 

Des pratiques mafieuses qui détruisent la filière

Quand une stratégie nationale a pour but l'objectif de défendre les intérêts des acteurs locaux dont les producteurs, préparateurs et collecteurs, certains ne s'offusquent pas de trahir leurs compatriotes pour se remplir les poches. Allez leur expliquer ce que c'est qu'être « ethic-compliant », lorsque l'intérêt commun ne leur inspire rien.

C'est donc de manière éhontée que certaines entités comme The Vanilla Trade Company proposent sur Facebook des services totalement illégaux : location d'agrément, exportation sous-main. Qui se cache derrière ces pratiques mafieuses ? Aux autorités compétentes de s'autosaisir pour le découvrir.

 

La Rédaction

La Banque africaine de développement et le Fonds international pour le développement agricole vont s’engager financièrement à Madagascar pour  ’atteinte de l’objectif d’autosuffisance alimentaire. Les deux grosses institutions vont s’engager à contribuer respectivement à hauteur de 334 millions de dollars américains, et pour 200 millions de dollars américains, pour la mise en œuvre du Pacte national de Madagascar pour l’alimentation et l’agriculture.


La déformation de la réalité, les campagnes de dénigrement de basse facture, la personnification de la chose publique, l’engouement pour les sujets diffamatoires dénués de tout fondement. Tels ont été les armes de l’Opposition ces derniers temps. Les récentes informations ont révélé que beaucoup des membres de cette Opposition sont tentés par une radicalisation du mouvement. Une partie des détracteurs du pouvoir actuel sont en effet partie prenante dans un plan machiavélique visant la déstabilisation de Madagascar pour installer in fine une période de transition dans le pays dans laquelle ces politiciens en mal de crédit obtiendraient des sièges. C’est dans ce funeste objectif que s’est tenue récemment au domicile d’un actuel parlementaire au passé sulfureux une réunion regroupant d’actuels parlementaires de l’Opposition, d’anciens ministres et des hommes des anciens régimes. L’information ébruitée sur les réseaux sociaux a été confirmée par des sources informées. Une autre mobilisation du même acabit est ainsi prévue pour ce jour. Un exemplaire de l’invitation circule massivement sur les réseaux sociaux. Rendez-vous a été donné dans une villa dans la périphérie sud de la Capitale. Sur la forme, cette réunion sera à coup sûr l’occasion pour les différents participants d’effectuer une attaque en règle contre le régime en place. Ils affirmeront que c’est l’heure du changement. Sur le fond, elle devrait servir de base aux actions futures de ce groupement de politiciens affublés par l’opinion du sobriquet de « dinosaures politiques». Ne pouvant pas s’assurer de revenir au pouvoir par la voie démocratique normale, ces opposants tentent le tout pour le tout. Leur objectif est de faire feu de tout bois pour perturber voire annihiler le processus électoral et éprouver la démocratie à dix mois de l’élection présidentielle. D’après les bruits qui courent, une descente dans la rue serait ainsi programmée avant la fin du mois ou au début du mois prochain. Le but est de pousser à un changement de Gouvernement inconstitutionnel et un partage de sièges. Les démarches de cette Opposition est pour beaucoup en tout cas vouée à l’échec. Dans le contexte difficile actuel, la population malgache sait que la voie d’un soulèvement n’est point une solution.

La Rédaction

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Présence de trop !

Controversée, la présence que l’église comptera effectuer dans tous les bureaux de vote de la Grande île provoque une vague de tollé et de remise en cause. Les quatre grandes églises du FFKM viennent d’entamer une nouvelle étape qui confirme leur volonté de s’ingérer dans les affaires politiques nationales à partir de la « bombe » d’Antsonjombe. La présidence tournante échouant entre les mains du président du FJKM conforte le phénomène. De ce fait troublant, les prélats continuent leur bonhomme de chemin à fouler aux pieds la plate-bande des autres.
Lors de la passation de flambeau entre le président sortant, l’évêque anglican Samoela Jaona Ranarivelo, et le président entrant pasteur Irako Ammi Andriamahazosoa, président de la FJKM, le nouveau chef du FFKM devait déclarer que l’église se mobilisera activement et effectivement dans le processus de contrôle et suivi des scrutins à venir dont en premier lieu la présidentielle. Une structure dite « Andrimaso » sera présente dans tous les bureaux de vote sur toute l’étendue du territoire national  aux fins donc de suivre voire d’observer sur place le déroulement du vote jusqu’à la proclamation des résultats (provisoires) par bureau de vote. Les Andrimaso vont transmettre les résultats par bureau au siège du FFKM. Une initiative qui permettra aux prélats du FFKM d’avoir une idée (vraie ou fausse) de l’allure générale du scrutin qui pourrait (au conditionnel) le publier sur la place publique.
De qui se moque-t-on ! En vertu de quel droit une entité en dehors des structures évoluant en dehors de la CENI et de la HCC, les seules habilitées à s’occuper, en amont et en aval, des processus du vote à Madagasikara, s’arroge-t-elle le droit de siéger dans chaque bureau de vote au moment du déroulement du scrutin ?  C’est ni moins ni plus une présence de trop !  Seuls les délégués mandatés par les candidats pourront y siéger en permanence et signer au nom des candidats les procès-verbaux du déroulement et des comptages des voix. A noter que les observateurs agréés par la CENI pourront entrer dans le bureau de vote non pas pour y siéger mais seulement pour constater de visu le déroulement du vote pendant un certain temps et repartir pour circuler dans d’autres bureaux sans pouvoir d’ailleurs publier avant terme ce qu’ils ont pu voir sur terrain.
En toute évidence, l’initiative controversée du FFKM, sous l’impulsion du nouveau président tournant, réjouit le camp d’en face. Toute tentative contribuant à « abattre » le Président en place, le super favori, est à encourager. Au sein de la paroisse FJKM, il existe un terrain favorable sinon acquis à la tendance de l’Opposition. L’ancien Chef de l’Etat Ravalomanana Marc, candidat déclaré à la prochaine présidentielle, peut bien se targuer d’avoir une base solide parmi les fidèles même au sein du clergé réformé. Le « Hetsiky ny mpitondra fivavahana » témoigne largement de son ascendance au sein de l’église protestante. Lui-même étant un ancien vice-président du Bureau Foibe FJKM.
Si chacun s’occupe sérieusement de la tâche qu’on lui a assignée, le pays avance. Par contre, s’il existe des entités qui s’entichent à s’immiscer dans les affaires des autres, le pays tournera en rond et aura du mal à se débarrasser du cercle vicieux de la pauvreté.

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Editorial

  • Ixième évasion ! 
    Passoire ! Rien n’a changé, au contraire tout s’aggrave. On sort comme on entre dans ce pays … librement. En dépit de bons mots, de belles promesses et de beaux engagements, les défaillances d’hier se répètent aujourd’hui et demain, à chacun de nous de le deviner. Le Chef de l’Etat Rajoelina Andry tape pour la énième fois sur la table. Lors de son célèbre intervention radiotélévisée du 4 mai, le Président de la République dénonce énergiquement et juge inacceptable la faille permettant au désormais le fugitif, le colonel Patrick Rakotomamonjy fauteur de délits avérés, de prendre le large en parvenant à se faufiler entre les mailles d’un Camp réputé hyper sécurisé en pleine Capitale. Inadmissible et impensable !

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