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La population de la partie est de la Grande île vit l’inimaginable. L’hôpital de référence de Toamasina, la ville du grand port, la deuxième ville du pays, ne propose plus d’imagerie médicale. Le scanner de l’hôpital de Morafeno ne fonctionne plus depuis presque trois ans. Précisément depuis octobre 2019, selon des sources locales. L’onduleur qui fournit une protection au matériel médical contre les dommages coûteux causés par des interruptions d’alimentation inattendues serait tombé en panne. Une société privée réputée de la partie Est du pays a offert un onduleur pour permettre à la machine de fonctionner l’an dernier. Cependant, le scanner aurait également perdu l’âme.
Depuis, les patients sont tous simplement renvoyés chez eux sans traitement. Faut-il pourtant souligner qu’une maladie nécessitant une imagerie est souvent classée dans la catégorie des urgences. Le seul salut qui reste pour les patients, c’est souvent de rallier la Capitale Antananarivo. Cependant, tout le monde n’y a pas accès. Le coût n’étant pas accessible à toutes les couches sociales. Un citoyen de Toamasina indique que rien que l’évacuation sanitaire de Toamasina à Antananarivo coûte entre 7 millions Fmg à 12 millions Fmg. Notez que le scanner donne beaucoup plus de précisions que d’autres examens radiographiques simples. Utilisé souvent pour le cerveau, il est également utile pour d’autres parties du corps. Il aide à détecter des maladies non visibles à la radiographie et à l’échographie. Ils sont nombreux les malades dont l’état exige un examen de scanner avant d’établir un diagnostic et de sauver ainsi leur vie.
Contacté à propos de ce sujet, le ministère de la Santé par l’intermédiaire de la direction générale de la fourniture des soins affirme que les procédures pour la réparation du scanner sont en cours. Les pièces nécessaires à la réparation de la machine ont ainsi été importées par le ministère et sont arrivées dans le pays début novembre dernier. La balle serait ainsi dans le camp de la société représentante de la marque du fabricant du scanner à Madagascar. Cette entreprise qui, selon le DGFS, devait effectuer une descente sur Toamasina hier. L’on attend ainsi un dénouement heureux à cette situation dans les jours à venir car il s’agit d’une course contre la montre. En attendant la réparation de ce scanner, combien de patients mourront entre-temps ?
La Rédaction

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LA UNE DU 20 DECEMBRE 2022

Pas de podium pour les Malagasy. En effet, les cinq athlètes malagasy reviennent les mains vides du Meeting de La Réunion d’athlétisme, le week-end dernier au stade olympique de Saint- Paul. La marche était trop haute pour les athlètes malagasy.

Fin tragique pour ce commerçant, un Pakistanais de 36 ans et répondant au nom de Mamod Goulamaly, en voulant secourir sa femme. Il a reçu quelques balles dans le corps, le fait des bandits. Cela s'est produit en début de soirée à Behoririka, hier. Les agresseurs non cagoulés, au nombre de 5, équipés d'armes à feu étaient venus l'attaquer, lui et son épouse d'une trentaine d'années, à leur domicile, qui sert à la fois de boutique à Behoririka. Effectivement, la femme de la victime n'a pas été épargnée non plus de cette attaque barbare. Quoique la dame ait survécu à ses graves blessures, elle était en urgence absolue, et il a alors fallu la transporter dans un centre de soins situé en centre-ville.

Vendus comme des petits pains dans les épiceries et les coins de la rue, les médicaments considérés comme tranquillisants ou calmants sont souvent livrés sans ordonnance et à petits prix. Ces comprimés s'avèrent pourtant très dangereux pour le système nerveux. Pire, ils seraient classés dans la même catégorie que les drogues dures. En effet, ces médicaments attaquent directement le système nerveux. Malgré cet effet dangereux, beaucoup de gens ont l'habitude d'avaler ces comprimés en cas de douleurs dentaires et les élèves en sont les premiers consommateurs.

La majorité des rizières de la plaine d’Antananarivo peuvent produire normalement cette année, au plus grand bonheur des cultivateurs. En effet, les pluies de ces dernières semaines ont évité de peu le cauchemar des années précédentes durant lesquelles, la pluie est arrivée en retard, causant une baisse de la production rizicole, plus particulièrement le « vary aloha » dans plusieurs parties d’Antananarivo comme Fenoarivo, Ampitatafika et Ambohitrimanjaka.

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Pour l'éternité ! 

Messi bat Mbappé. Les « deux frères » du PSG s'entretuent. L'aîné, le fin technicien, brise le rêve de son cadet, le génie. Les deux brillants attaquants d'un même club s'éliminent. Un doublé pour le jeune doué français, l'éternité pour l'argentin ? Et ça a été pour Lionel Messi ! 

Ce fut la finale que tous les inconditionnels du ballon rond auraient rêvé. La France et l'Argentine remplissaient à merveille leur contrat en leur qualité de meilleure formation footballistique à l'échelle mondiale. Un match à la hauteur des attentes des amoureux du football, le sport-roi, de la Planète.

Modernisation. C’est en ce sens que la Banque européenne d’investissement (BEI) a annoncé récemment le décaissement de 73,6 millions d’euros (environ 343 milliards d’ariary) à l’Agence routière pour les travaux en cours sur la RN13 et la RN6. La raison étant que les réseaux routiers de Madagascar figurent parmi les moins développés au monde. La densité routière n'est que de 5,4 km par 100 km2, et la plupart de ses routes nationales et locales sont en terre battue et en mauvais état.

A vos objectifs. La candidature à la douzième édition du prix de la photographie africaine contemporaine est ouverte. Les candidats auront jusqu'au 7 février 2023 pour envoyer leurs dossiers. Cinq photographes seront sélectionnés par un jury composé de 23 personnalités, commissaires, éditeurs et artistes. Le « Cap Prize » est un prix international de la photographie créé en 2012 par le Suisse Benjamin Füglister. Il récompense chaque année cinq photographes dont le travail a été réalisé en Afrique ou en relation avec la diaspora africaine. Sans restriction d'âge, de sexe ou de nationalité, le concours est gratuit et ne nécessite aucun frais de participation. 

Une matinée solennelle, hier à la Cour suprême à Anosy. Le nouveau procureur général auprès de cette éminente juridiction, Rakotomandimby Benjamin Alexis, a prêté serment, hier, au cours d'une cérémonie tenue en présence du Président Andry Rajoelina. Ce fut également l'occasion pour son intégration officielle en tant que membre de la Haute Cour de justice (HCJ). Etant la plus haute instance juridictionnelle de  Madagascar, la Cour suprême est  dirigée  par le  Premier président et le procureur général.

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Editorial

  • Education complète !
    Un sujet délicat ! Une initiative pilote mise sur les rails par le département de l’Education nationale (MEN) en partenariat avec le Mouvement malagasy pour le planning familial (MMPF) dans le cadre du Programme d’appui aux droits et la santé sexuelle et reproductive (PADSSR) dont le lancement officiel s’est tenu ce lundi 5 mai à Antaninarenina – Antananarivo. L’initiative vise à étoffer les jeunes y compris les adolescents (élèves) sur les risques qu’ils encourent dans les aventures précoces aux rapports sexuels. En effet, le projet pilote a pour but de réduire les grossesses prématurées, la propagation des infections sexuellement transmissibles (IST) qui ont malheureusement tendance à s’intensifier surtout dans les milieux populaires et de promouvoir l’autonomie des jeunes en matière de santé reproductive. Louable initiative !

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