Nos archives web
Super User

Super User

La semaine dernière, SIPEM Banque a tenu à Antsirabe la deuxième édition de son Forum Clients, un événement dédié aux entrepreneurs, en particulier les petites et moyennes entreprises (PME) ainsi que les très petites entreprises (TPE) de la Région du Vakinankaratra. Cette rencontre s'inscrit dans une série d'initiatives visant à offrir aux acteurs économiques locaux un espace d'échanges, de partage d’expériences, et surtout d'accès à des solutions financières adaptées à leurs besoins. 

Un événement d'envergure. Du 16 au 18 mai prochain, Antananarivo sera le théâtre d’un événement sans précédent : les « Afromada Music Awards ». Cette première édition vise à rassembler des artistes venant de tout le continent africain, ainsi que ceux issus des diasporas européennes et américaines, tout en mettant en lumière la scène musicale locale malagasy. L’Arena Ivandry vibrera sous les performances d’une trentaine d’artistes, ce qui permettra de montrer les talents africains dans toute leur diversité. Choisie pour sa richesse culturelle, la Grande île est le lieu idéal pour cet événement qui ambitionne de promouvoir le pays sur la scène internationale. 

L’affaire de l’assassinat de Ranivoarivony Narindraniaina, connue sous le nom de Rasazy Narindra, maire de Mangataboahangy, continuent de retenir l’attention des observateurs. Dix-huit suspects dans cette affaire ont été déférés au Parquet du Tribunal d’Antananarivo, le vendredi 7 mars dernier. Lors d’une déclaration hier, la procureure de la République, Narindra Navalona Rakotoniaina, a mis en avant des éléments clés qui ont conduit au placement en détention provisoire des inculpés, en attendant leur procès.

L'Ordre national, symbole de reconnaissance et d'honneur, revêt une importance capitale dans la promotion des valeurs qui unissent une nation. Lors de la première réunion du Conseil de l’Ordre national de Madagascar, le Président Andry Rajoelina a clairement énoncé que « les médailles doivent être attribuées à ceux qui en sont réellement dignes ». Cela implique un processus rigoureux où le Conseil se doit de discerner les individus qui ont apporté une contribution tangible au développement et à la prospérité de Madagascar. En portant haut les couleurs de notre pays, ces personnes doivent incarner l'exemplarité et l'engagement envers les valeurs nationales. 

%PM, %10 %005 %2025 %23:%Mar

ACTU-BREVES

Précieux G. Rajaofera, un pont interculturel entre Madagascar et l'Université du Sussex. 

Brillant boursier malagasy du prestigieux programme Chevening, Précieux G. Rajaofera, a franchi une nouvelle étape remarquable en devenant le premier ambassadeur interculturel malagasy de l'Université du Sussex. Dans ce rôle novateur, il collabore étroitement avec l'Université du Sussex pour transformer le campus en un véritable carrefour mondial de l'interculturalité. Sa vision est celle d'un lieu où la diversité est non seulement reconnue comme une valeur, mais aussi activement célébrée et vécue au quotidien. Un pilier de son action est la série « Réflexion interculturelle », un espace dynamique où les étudiants internationaux peuvent tisser des liens culturels solides et approfondir leur sentiment d'appartenance au sein de la communauté universitaire. Ces rencontres favorisent l'échange et le dialogue, renforçant l'esprit d'ouverture et de compréhension mutuelle. A travers son engagement et leadership, Précieux G. démontre un impact qui dépasse les frontières de Madagascar. Il est un véritable modèle d'ouverture et d'engagement global, contribuant à construire un avenir plus inclusif et connecté.

%PM, %10 %004 %2025 %23:%Mar

ACTU-BREVES

Précieux G. Rajaofera, un pont interculturel entre Madagascar et l'Université du Sussex. 

Brillant boursier malagasy du prestigieux programme Chevening, Précieux G. Rajaofera, a franchi une nouvelle étape remarquable en devenant le premier ambassadeur interculturel malagasy de l'Université du Sussex. Dans ce rôle novateur, il collabore étroitement avec l'Université du Sussex pour transformer le campus en un véritable carrefour mondial de l'interculturalité. Sa vision est celle d'un lieu où la diversité est non seulement reconnue comme une valeur, mais aussi activement célébrée et vécue au quotidien. Un pilier de son action est la série « Réflexion interculturelle », un espace dynamique où les étudiants internationaux peuvent tisser des liens culturels solides et approfondir leur sentiment d'appartenance au sein de la communauté universitaire. Ces rencontres favorisent l'échange et le dialogue, renforçant l'esprit d'ouverture et de compréhension mutuelle. A travers son engagement et leadership, Précieux G. démontre un impact qui dépasse les frontières de Madagascar. Il est un véritable modèle d'ouverture et d'engagement global, contribuant à construire un avenir plus inclusif et connecté.

%PM, %10 %002 %2025 %23:%Mar

la Une du 110325

%PM, %09 %950 %2025 %21:%Mar

La une du 10 mars 2025

%PM, %09 %925 %2025 %21:%Mar

Menace permanente

Question pour un champion « menace permanente ! ». Ou un énoncé pour les amateurs de mots croisés, des cruciverbistes, passionnés des exercices cérébraux, « menace permanente » pour 10 cases. Celui ou celle qui ambitionne d’avoir un corps sain et dynamique doit se soumettre à des activités physiques continues. Celui ou celle qui aspire à un esprit pointu et un cerveau vivace a intérêt faire des exercices faisant travailler les méninges au quotidien (lecture, mots croisés, sudoku, etc). La rouille atteint facilement et rapidement le cerveau inactif. « Qui veut aller loin, ménage sa monture » !

La réponse à ce jeu cérébral, vous le saviez déjà « INSECURITE ». C’est un problème permanent du monde notamment d’aujourd’hui. Aucun pays ou Etat pauvre ou riche, de Sud ou du Nord, d’Est en Ouest, ne peut prévaloir le luxe d’être épargné par la menace permanente liée à l’insécurité. Certes, il y a des nuances à relever entre « insécurité et insécurité » celle dans les pays nantis et celle dans les pays en difficulté d’ordre social et économique. Elle peut dépendre de la Région du  globe où l’on se trouve. Au Moyen-Orient ou Proche-Orient, en Afrique (proche du Sahel, subsaharienne, dans la région des grands lacs, etc). En Europe, aux Amériques, etc. Dans l’Océan Indien, etc.  A chaque Région correspond à peu près à son type d’insécurité.

Mais, il ne faut pas confondre « insécurité » et « situation de guerre » ! Un pays qui n’est pas en guerre pourrait être victime de grave insécurité. Un autre qui souffre des atrocités des conflits armés, pourrait également subir d’insécurité. La population vit ainsi sous la coupe de deux enfers !

Madagasikara, de par sa situation géographique, pays insulaire, n’a jamais connu de guerre.  Cela n’empêche pas que les malagasy souffrent des affres de l’insécurité récurrente. Mise à part la problématique de la misère contre laquelle le pays est confronté au quotidien, l’insécurité a pris ces derniers temps une ampleur compromettante et préoccupante. En ville tout comme en milieu rural, il n’y a pas un jour sans que la presse fasse état des actes sinon des délits alarmants. Panique en ville, psychose à la campagne ! Kidnappings, viols souvent suivis de meurtres à l’encontre des mineures, vols à main armée, braquage sur les routes nationales, etc. Les éléments des Forces armées ne pouvaient plus dissimuler leur limite pour ne pas avouer leur impuissance. A Toamasina, la capitale économique de Madagasikara, les bandits de grand chemin imposent leur loi. Ils tuent, dérobent et font main basse sur les biens de la population. A Mahajanga, la plus grande ville de destination, la population locale et les personnes de passage souffrent de la panique et de la psychose dues aux attaques brutales et meurtrières des malfrats. A Antananarivo, la capitale du pays et les environs immédiats, la recrudescence des actes de banditisme ont pris des allures terrifiantes. Les gendarmes et les policiers multiplient les contrôles et traquent les voyous jusqu’à sévir contre leurs vies. Mais, il reste encore beaucoup à faire. D’autres faits troublants comme les meurtres de Narindra Rasazy à Ambatofinandrahana et des coréens à Morararano Gare assombrirent davantage  le tableau.

Le combat s’annonce dur !

Ndrianaivo

L’affaire retient l’attention de tout Nosy Be. Huit gendarmes et quatre civils sont présentés ce jour devant le Pôle anti-corruption (PAC) d’Antananarivo dans une affaire de détournement de drogue dure, d’abus de fonction et de corruption. Parmi les gendarmes figurent, selon des sources informées, un officier supérieur, un gendarme principal hors classe exceptionnelle, un gendarme de première classe, un autre de deuxième classe et ainsi de suite. Ils sont soupçonnés d’implications dans une affaire de détournement de drogues saisies, de corruption et d’abus de fonction.

L’affaire remonte au 2 août 2024, lorsque la Gendarmerie de Nosy Be a procédé à la saisie d’une importante quantité de cocaïne destinée à être détruite. Cependant, des doutes sont rapidement apparus sur la quantité réelle de drogue saisie, des versions contradictoires circulant à ce sujet. Un officier supérieur aurait même admis que deux colis ont été retrouvés en sa possession.

En raison d'une suspicion légitime, de la nécessité d'une bonne administration de la justice et pour des raisons d'ordre public, la Cour Suprême a dessaisi le Tribunal local au profit du PAC d’Antananarivo. L’enquête a révélé des faits de corruption, certains des suspects ayant reconnu les faits et restitué des sommes indûment perçues. Les accusés étaient placés en garde à vue au Service des recherches criminelles (SRC) avant leur déferrement de ce jour devant le PAC. Ce dossier, mêlant atteinte à la probité, corruption et trafic de drogue, sera examiné en détail pour établir les responsabilités et assurer que justice soit faite.

Force est de constater que le trafic de cocaïne fait les choux-gras de la presse ces temps-ci dans la Grande île. Le mois dernier, un important réseau de trafic de drogue a été mis au jour après l’interception de 16 kg de cocaïne en provenance du Pakistan et destinés à l’île Maurice. L’enquête, menée par le Pôle anti-corruption (PAC) d’Antananarivo, a conduit à plusieurs arrestations, dont huit personnes placées en détention provisoire à Tsiafahy et une femme incarcérée à Antanimora. Certains suspects, notamment des ressortissants mauriciens, restent en fuite. L’affaire implique également des membres des Forces de l’ordre et un grand hôtel de la Capitale, soupçonnés d’avoir facilité le trafic. Les inculpations portent sur des infractions liées au narcotrafic, au blanchiment de capitaux et à la corruption.

Les investigations se poursuivent avec des mesures judiciaires telles que la saisie du navire ayant transporté la drogue, le gel des comptes bancaires et l’extraction des données téléphoniques. Le PAC collabore avec Interpol pour retrouver les suspects en fuite et remonter l’ensemble du réseau. 

La Rédaction

 

Fil infos

  • Baccalauréat 2025 - Un dispositif de sécurité drastique mis en place
  • Spoliation foncière et détournement de biens publics - L’ex-député Hachimy Abdelkader recherché
  • Développement - Andry Rajoelina érige Sainte-Marie en modèle
  • Tensions à la JIRAMA - Le Président Rajoelina tend la main aux employés
  • Développement de Sainte-Marie - L’Etat appuie sur l’accélérateur 
  • Disparition du bateau AW - L’hypothèse d’un acte de piraterie privilégiée
  • ACTU-BREVES
  • Malagasy aux Seychelles - Camille Vital appelle à l’unité de la diaspora
  • Ambohimalaza - Les analyses en France confirment l’empoisonnement
  • Déstabilisation à la JIRAMA - Une minorité tire les ficelles 

La Une

Recherche par date

« July 2025 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30 31      
Pub droite 1

Editorial

  • Signal fort !
    Les riziculteurs d’Ambohijanahary, District d’Amparafaravola (Ambatondrazaka) – Région d’Alaotra – Mangoro, ont procédé à la récolte du riz, espèce hybride. Pour une première récolte, c’en est une réussite. En effet, les producteurs d’Ambohijanahary ont réalisé de rendements record si exceptionnels avec 8,6 tonnes à l’hectare. Du signal fort annonçant du début effectif du redressement, et ce, pour atteindre, entre autres, l’autosuffisance alimentaire. Un des objectifs vitaux du régime Orange en place. Tahian’Ny Avo Razanamahefa, secrétaire d’Etat en charge de la souveraineté alimentaire se dépêchait sur place pour constater de visu et superviser la récolte en présence des riziculteurs et autorités locales. Cela me rappelle le bon vieux temps des années de prospérité agricole du pays. Au cours d’une grandiose cérémonie pleine de symboles et de fierté que présidait le Président de la République, feu Philibert Tsiranana, il y avait eu la fête des prémices du riz (Santa-bary) sur le jardin…

A bout portant

AutoDiff