Depuis 2016, la Convention sur le commerce international des espèces de faune et flore sauvages menacées d'extinction (CITES) a décidé de durcir les sanctions de Madagascar face à l'inertie du Gouvernement dans la lutte contre le trafic de bois de rose, en interdisant à 181 pays d'acheter ces ressources exploitées illicitement. Suite aux efforts déployés par les autorités depuis le début de l'année, une délégation malagasy a donc participé à la 18ème session de la Conférence des Parties de la CITES et la 70ème réunion du comité permanent, qui a débuté le 17 août dernier, à Genève.