Société

Vers 11h du matin samedi dernier, un taxi-brousse, roulant vers Ambovombe via Taolagnaro, a pris subitement puis totalement feu. Le drame s'est produit sur une descente, près de Bevilagny, Commune d'Ankariera sise à 40 km de Taolagnaro. Le bilan fut lourd : sept passagers du minibus Mercedes-Benz 307 meurent piégés totalement dans les flammes. Trois d'entre eux sont des enfants dont le plus jeune n'avait que 4 ans. Un couple figure parmi les victimes adultes. « Il y eut une explosion puis des flammes ont rapidement envahi l’habitacle. Tous ceux qui ont été brûlés vifs ont occupé la rangée de…
Les écoles inclusives et centres spécialisés en nombre restreint. De plus, les frais de scolarité et autres dépenses liées à l'éducation des enfants autistes sont exorbitants, hors des moyens de la plupart des parents. Le droit à l'éducation de ces enfants extraordinaires reste un défi. La mère de Lucas, un jeune autiste âgé de 17 ans résidant à Itaosy, en témoigne. « J'ai été au courant que mon fils était autiste depuis ses 4 ans. Il n'aime pas jouer ou être avec les enfants de son âge. On l'a envoyé en classe, mais on n'a obtenu aucun résultat en 3…
« Bien qu’il y ait eu un changement de dirigeant auprès de l’Office national pour l’environnement (ONE), le permis environnemental de Base Toliara reste valide ». Rija Rakotoson, directeur général de l’ONE, l’a précisé lors de sa rencontre avec le maire de la Commune rurale d’Ankilimalinike, jeudi dernier dans la Capitale. « Si l’Etat décide de lever la suspension de ce projet et si son promoteur ne prévoit pas de changement dans ses activités minières, Base Toliara pourra les reprendre puisque leurs impacts ont déjà été évalués et les mesures correspondantes ont déjà été définies », soutient le DG. L’ONE…
Malnutrition, mauvaises conditions de vie, dépression, etc. La plupart des personnes détenues dans les prisons malagasy sont en détresse psychologique. Les résultats des enquêtes menées par l’ONG « Humanité et inclusion » (HI) en 2010, 2012 et 2014, dans quelques établissements pénitentiaires (EP) à Madagascar, le confirment. En fait, 64 % des détenus trouvent que leurs conditions de vie sont très mauvaises d’une manière générale. Presque toutes les personnes incarcérées ont des sentiments négatifs. Elles sont tristes, découragées et fatiguées. 9 détenus sur 10 dépriment dès leur réveil et la majorité ont du mal à dormir. Plus de la moitié…
Contrairement aux affirmations infondées colportées sur les réseaux sociaux, La Gazette de la Grande-île n’a pas fait l’objet d’une expulsion manu militari des locaux de Pradon Antanimena appartenant au Groupe SODIAT. Effectivement, des gendarmes sont venus dans les locaux de cet établissement. Cependant, ce n’était aucunement pour une expulsion des locataires. Les éléments des Forces de sécurité ont fait le déplacement sur place pour assister les responsables venus procéder à la saisie conservatoire des biens de La Gazette de la Grande-île, hier dans le début de la soirée.
Un militant écologiste témoigne. « Les Mikea et leur lieu d’habitation qu’est la forêt sont en proie à l’insécurité. Leur survie est menacée par les activités d’un groupe qui détruit la forêt pour son élevage et ses activités agricoles. Alors qu’en face, il y a les Mikea, un peuple premier, des chasseurs-cueilleurs pacifiques qui, devant la violence, préfèrent fuir du fait qu’ils n’ont pas de protection », fait part Jean-Claude Vinson, environnementaliste. Ce dernier, se considérant et considéré comme l’ami des Mikea, les côtoie depuis maintenant 30 ans et ce de façon régulière.
Une femme sur trois a été victime de violence et de discrimination quelconques au cours de sa vie. Ce phénomène de maltraitance ne fait qu'empirer à cause des conditions économiques et sanitaires à Madagascar. La partie du sud-est de l'île est la plus touchée par la résurgence de la violence basée sur le genre (VBG). Selon le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), le taux des femmes victimes de VBG est actuellement de 15 % dans l'Atsimo- Andrefana, 39 % dans l'Anosy et 27 % dans l'Androy.

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Editorial

  • Souci national
    L’équipe nationale de football, les Barea, touche le fond. Soit ! Un fait, une réalité que personne ne contredit point. Pas besoin d’une longue démonstration par A + B pour le constater. Il suffit de voir, d’écouter et de lire pour s’en rendre compte. Situation catastrophique qui défraie la chronique. En fait, notre Onze national devient un problème national, une honte nationale. Bref, un souci national que même les moins fervents au ballon rond en parlent.Le dernier match des Barea contre nos voisins les Cœlacanthes au cours duquel l’équipe nationale concéda la plus lourde des défaites avec un à zéro balaie définitivement nos espoirs. Un échec qui confirme le classement de la CAF comme quoi Madagasikara se trouve derrière les Comores. La « Grande terre », le dernier de la classe, est l’ombre d’elle-même !Le sport, la grande fenêtre qui ouvre un pays vers le monde extérieur, un tremplin qui…

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