Le viol, cet acte barbare qui a toujours existé depuis la nuit des temps, n’est pas en passe de disparaître. Pire, à Madagascar, il gagne encore de l’ampleur avec un terrain favorable à cause de la l’implication des proches, des amis et de la société en général. Cela favorise le non-aboutissement des dénonciations jusqu’aux peines de condamnation.Selon les derniers chiffres annoncés par l’UNICEF, seulement 19% des cas sont dénoncés et que le reste, soit camouflé ou réglé à l’amiable entre les familles des victimes et des violeurs.Une société complaisante voire complice, responsable du faible taux de sanction. D’ailleurs, le taux…