Société

Météo - Après la pluie, place au beau temps

Publié le lundi, 10 avril 2023
Après une semaine chargée de pluie dans la Capitale et les hautes terres centrales, une accalmie est prévue pour ces trois prochains jours. En effet, la masse nuageuse à l’origine des fortes précipitations est en train de remonter vers le nord-est du pays. Comme on dit, après la pluie, c’est le beau temps.Ainsi, à Analamanga et sa partie nord-est, il ne restera que quelques pluies fines en fin de soirée. Ce retour du beau temps a d’ailleurs été constaté depuis hier au cours duquel les pique-niqueurs du lundi de Pâques ont été ravis si la veille, sortir sous la pluie…
C'est le week-end de Pâques, et quoi de plus beau que la visite de la ville d'eaux pour symboliser la fête. Seulement une ombre plane au tableau. Les frais de transport, notamment en taxi-brousse, a quasiment doublé depuis cette semaine. En effet, de 12.000 ariary, le tarif est actuellement fixé à 20.000 ariary pour les coopératives desservant la ville d'Antsirabe. Ainsi, comme d'habitude, les transporteurs profitent de cette période de rush pour augmenter leur tarif, au grand dam des usagers. Au stationnement« Fasan'ny Karàna », c'est la gabegie totale actuellement.
« On a très peu parlé de l’emploi et de l’économie informelle durant la pandémie de Covid- 19, mais l’arrivée de la délégation ivoirienne a permis de relancer le débat ». Coffi Agossou, directeur du Bureau pays de l’Organisation internationale du travail (OIT) pour Madagascar, s’est exprimé ainsi hier à Ivandry, aux termes du séjour de la délégation ivoirienne dans nos murs. En fait, ces experts venant de la Côte d’Ivoire ont pu partager leurs expériences en la matière aux divers acteurs, dont ceux des ministères concernés ainsi que les partenaires techniques et financiers ou encore les représentants des travailleurs …
Le monde du travail n'a jamais été aussi préoccupant qu'aujourd'hui malgré les efforts et les sensibilisations effectués pour protéger les employés et les enfants. « La situation globale des droits humains se détériore chaque année. Actuellement, on dénombre dans le monde 160 millions d'enfants qui sont déjà dans le milieu du travail », selon l'Organisation des Nations unies (ONU). Ainsi, les enfants sont parmi les premières victimes de cette détérioration des droits humains. Travaillant comme domestiques dans des foyers malagasy, nombre d'entre eux sont victimes de maltraitance en tout genre. Le viol, les coups et blessures, les tortures par brûlure…
Des cas fréquents mais souvent négligés. Le harcèlement en milieu scolaire se manifeste non seulement à travers des violences physiques, mais également morales et psychologiques et ce, entre les élèves. Les raquettes de gouter, les moqueries à partir des imperfections physiques d’un élève, ses cheveux ou sa couleur de peau, les menaces et intimidations, etc., font partie des cas les plus habituels. Le harcèlement scolaire peut se manifester depuis la petite enfance. « Les enfants harceleurs ne sont pas conscients que ce qu’ils disent sont de la violence et peuvent blesser leurs camarades. Dans de nombreux cas, ils imitent sur…
Fêter la résurrection du Christ en toute sérénité. Comme chaque année, une centaine de policiers municipaux seront mobilisés à Antananarivo durant ce week-end pascal. L'objectif étant d'assurer une bonne organisation et la sécurité de la ville afin que les habitants puissent fêtes Pâques paisiblement. Dans le cadre de ce long week-end festif, les jardins publics d'Ambohijatovo et d'Anosy seront ouverts au public. En effet, l'année dernière, la Commune urbaine d'Antananarivo a décidé de fermer ces jardins à cause de la dégradation des infrastructures due à la foule. Mais cette fois-ci, de nouvelles dispositions seront prises. D'ailleurs, les visiteurs sont encouragés…
Les harcèlements dans les transports en commun refont surface. Ce phénomène existait depuis longtemps mais n’a jamais été dénoncé par les victimes car considéré comme un sujet tabou. Consciente du danger qui pèse sur les femmes, la Commune urbaine d’Antananarivo, en collaboration avec le mouvement Women break the silence (WBTS), a effectué une campagne de lutte contre les violences et harcèlements dans les transports en commun. Intitulé "Voyagez sans crainte", plus de 10 000 chauffeurs de bus, aide-chauffeurs, chauffeurs de taxi et policiers municipaux ont reçu une formation dans le cadre de la mise en œuvre d’une nouvelle politique du…

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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