Société

Manque d’éducation ou la pauvreté, la tentation, l’exploitation. De plus en plus de mineurs se lancent dans les délits comme le vol à la tire, les pickpockets, l’escroquerie. Certains d’entre eux sont des enfants de rues qui sont contraintes de nourrir leurs familles tandis que d’autres ont accompagné leurs amis n’ont pas pu se libérer. Ils profitent les bains de foule pour passer à l’acte ou encore se cacher dans la vente des sachets en plastique au marché. Ainsi, ces mineurs dont leur tranche d’âge avoisine les 12 – 14 ans profitent l’indulgence des victimes et recommencenttoujours. « La majorité…
« Après leur cavale depuis un mois depuis le naufrage tragique d’un bateau clandestin faisant route vers Mayotte en mi-mars dernier, les deux principaux suspects dans l’affaire furent arrêtés vers 14h à Anjiajia, dans la Commune rurale de Tsarabaria, District de Vohemar », rapporte une source auprès de la circonscription de la Gendarmerie nationale à Antsiranana. Ils ont fait l'objet d'un avis de recherche et ont été arrêtés. Il s’agit à la fois de la propriétaire prénommée Be Suzette du bateau, et d’un certain Bema, le commandant de bord. Les époux en cause, puisqu’il s’en est agi, seront déférés au…
L'initiative de consolidation de la paix récemment achevée a fourni un grand soutien aux communautés du Grand Sud de Madagascar en s'attaquant à certains des facteurs contribuant à l'instabilité. Afin d'accompagner le Gouvernement malagasy dans la mise en œuvre de sa stratégie de sécurisation du Sud de Madagascar, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) a mis en œuvre le projet « Renforcement de mécanisme institutionnel inclusif pour la consolidation de la paix dans le Sud (RMIICPS) ». Ce projet financé par le Fonds des Nations unies pour la Consolidation de la paix (PBF) a été exécuté entre…
Une prise en charge complète, depuis l’hébergement et la restauration en passant par l’éducation et les autres besoins des enfants. L’Akany Kilonga et le centre « Akanisoa » font partie des établissements qui s’en assurent pour leurs pensionnaires. Ces derniers se composent d’enfants en difficulté, des enfants des rues ainsi que des orphelins.
Les faits sanglants suivants sont survenus le 12 avril dernier à Maevatanàna. Dix militaires d'une patrouille ont voulu procéder à l'arrestation de deux bandits surnommés respectivement Nore et Datina à Soarano, Commune de Mahazoma. De leur côté, les autres militaires ont poursuivi leur chemin vers la localité de Manidibatana, Commune de Mahazoma pour une autre mission. Mais le soir venu, la première section, ayant arrêté les bandits, a finalement rejoint celle partie à Mahazoma.C'était dans ces circonstances qu'un violent incident a subitement éclaté, avec une issue particulièrement sanglante. Les faits. Vers 2h du matin, jeudi dernier, les deux suspects ont…
Parmi les 43 aires protégées de « Madagascar National Parks » (MNP). Nosy Hara, localisée à 35 km d’Antsiranana, a été déclarée aire protégée marine de catégorie II par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) en 2011. Ce parc national s’avère exceptionnel par sa biodiversité marine et côtière, regorgeant d'habitats spécifiques tels que des récifs coralliens, des mangroves, des herbiers marins, mais aussi des îlots où nichent certaines espèces menacées. S'étendant sur une vaste zone de 125.471 ha, Nosy Hara est une importante zone de pêche artisanale, regroupant de nombreux pêcheurs migrants qui approvisionnent les principaux marchés…
La menace acridienne s’accentue à partir du mois d’avril à Madagascar. Les pluies abondantes et la chaleur favorisent les éclosions et le développement des larves, voire le risque d’invasion acridienne. Actuellement, des champs de maïs sont déjà touchés dans certaines aires grégariennes, notamment les Régions du Sud, quoi que le risque d’invasion acridienne reste maîtrisé, à en croire le ministre de l’Agriculture et de l’Elevage (MINAE), Harifidy Ramilison. Les Régions du Sud de l’île, à savoir Androy, Anosy, Atsimo- Andrefana, Menabe ainsi qu’une partie de Melaky constituent les zones rouges. Une série de formations des techniciens et acteurs locaux a …

Fil infos

  • Employés du Groupe Sodiat - « Laissez-nous travailler ! »
  • Immunité - La société civile dénonce la protection accordée aux inspecteurs des impôts et des douanes
  • Nominations de préfets et de chefs de Districts - Le Syndicat des administrateurs civils répond à la polémique
  • Groupe Sodiat - 4000 employés et familles étranglés
  • Conseil des ministres - Près de 150 nominations aux hauts emplois de l’Etat
  • ACTUS BREVES
  • Concertation nationale - Le ministère d’Etat chargé de la Refondation toujours pas pleinement opérationnel
  • Actu-brèves
  • Actu-brèves
  • Présidence de la Refondation - Les 4 hauts conseillers à traiter comme des Chefs d’Etat
Pub droite 1

Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

A bout portant

AutoDiff