Société

Le cyclone tropical intense Freddy, bien qu'en baisse de régime, constitue une grande menace pour les terres habitées des îles des Mascareignes. En effet, le bassin du sud-ouest de l'océan Indien n'a plus connu une telle menace depuis 15 ans. Avec des rafales de vent allant jusqu'à 285 km/h, Freddy se situe juste au-dessous des cyclones Geralda, Eunice et Gafilo. Des noms qui ont marqué les esprits par leurs ravages et leur intensité. Sur les réseaux sociaux, c'est déjà la panique. La majorité des commentaires et des publications prévoient une catastrophe de grande ampleur, pire que le dernier cyclone ayant…
La Commune urbaine d’Antananarivo (CUA) apporte sa version. D’après le directeur de la Société municipale de gestion digitale (SMGD), Andriamananony Thierry, le nombre de places au niveau du stationnement « stèle d’Ambohijatovo » est diminué à 5. Une organisation a été faite en rapport avec le nouveau plan d’urbanisme de la Capitale ainsi que la gestion de la circulation. Or, des bouffes mobiles sont installées sur ce lieu. « Chaque année, la CUA procède au renouvellement des parkings. Cette mesure a été prise avec d’autres départements. Ce n’est pas seulement cette partie de la ville qui est concernée par la…
La Direction régionale de l'éducation nationale (DREN) de la Région Haute Matsiatra ordonne aux 5 élèves de retourner à l'école, mais doivent suivre la discipline. La désobéissance des élèves Témoins de Jéhovah alimente encore les discussions au niveau de la communauté. Les Témoins de Jéhovah sont lapidés par les internautes. "Contrairement aux églises, les établissements scolaires devraient éduquer les élèves à devenir des citoyens responsables, connaissent leurs droits et devoirs. Si la discipline ne leur convient pas, ils devraient construire une école, selon leurs exigences. Si chaque église, parti politique ou une quelconque association feront les mêmes choses, que deviendra…
Une à deux heures par jour. Les bornes-fontaines publiques dans la ville de Maevatanàna ne fournissent de l’eau potable que durant cette période limitée dans la matinée. Une situation qui perdure depuis le passage du cyclone Cheneso, en janvier dernier. « L’approvisionnement en eau potable est limité à 2 bidons jaune par ménage, par jour. Certains ménages ne sont même pas servis durant les seules heures durant lesquelles l’eau coule. Pourtant, l’on connait tous que Maevatanàna est l’une des villes les plus chaudes de Madagascar. Outre la soif non satisfaite, l’hygiène laisse à désirer à cause de cet accès limité…
Participation active de la délégation malagasy. Madagascar s’est démarqué par sa présence à plusieurs évènements parallèles durant la 27ème Conférence des parties (COP 27) au titre de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, laquelle s’est tenue à Sharm El Sheikh (Egypte) du 6 au 20 novembre 2022. D’après Marie-Orléa Vina, ministre de l’Environnement et du Développement durable (MEDD), c’était une opportunité pour faire connaître davantage les initiatives engagées par le pays en matière d’adaptation, d’atténuation et de gestion des risques et catastrophes, ainsi que d’exploiter les canaux de financement.
En plus des difficultés sur le plan professionnel, les épileptiques sont encore victimes des préjugés dans la société malagasy. En effet, cette maladie dont les causes sont encore mystérieuses est perçue comme résultant de la sorcellerie chez nous. Les personnes atteintes de l’« androbe » souffrent d’une discrimination dans leur vie quotidienne. Pourtant, cette maladie peut être traitée.
Certes, les garde-côtes malagasy les ont empêchés d'être engloutis par l'océan au large d'Antsiranana, dimanche dernier. Mais, naufrage ou pas, le mobile de la tentative de ces quatre Mauriciens de rejoindre la Grande île nourrit de plus en plus un soupçon sur leur véritable intention. C'est un quotidien de l'île Maurice qui s'interroge sur la raison de la présence des concernés au large de la côte de Madagascar où les gardes-côtes de la Grande île et celle voisine les y ont finalement repêchés, sains et saufs. Un doute qui est d'abord nourri par le fait que l'on signalait la disparition …

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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