Société

La Police a également fait communiquer un bilan du récent week-end pascal dernier. En effet, 59 personnes ont été interpellées pour diverses infractions par les commissariats de l'Atsimondrano, de l'Avaradrano mais surtout aussi de Tsaralalàna dans la Capitale. En fait d'infractions, l'on dénombre 34, rien qu'au niveau du commissariat central de Tsaralalàna. Et parmi les faits les plus marquants, l'élimination d'un agresseur de personnes qui rentraient d'une excursion aux 67ha.
L'insécurité ne cesse de s'étendre et s'amplifier dans plusieurs quartiers de la Capitale. En effet, profitant des embouteillages et le ralentissement du trafic, les bandits choisissent maintenant les zones où des bouchons persistent afin d'effectuer leur sale besogne. Après l'axe Anosibe-Anosizato, c'est le tronçon de rue près du CENAM (Centre national de l'artisanat malagasy) au 67 Ha qui est le dernier terrain de chasse des détrousseurs. De préférence, ils ciblent les « taxis-be ». Munis d'armes, ils détroussent les voyageurs en possession de téléphone portable, sac à main, argent liquide,... L'action se passe en quelques minutes, les malfrats, profitant du…
Des tirs ! Des explosions mais aussi un mort, celui du tristement célèbre Djaffar Younous, dans le phénomène d’enlèvements d’Indopakistanais, principale cible des tireurs. Mais la fusillade a fait aussi un blessé en la personne d'un gendarme qui conduisait le véhicule, sans parler des dégâts sur ce dernier. C'était le bilan de l'assaut armé déclenché par des tireurs circulant en scooter contre le convoi de la Gendarmerie qui a transporté Djaffar Y. sur le chemin de la prison de Tsiafahy, la nuit du 7 avril dernier.Tout a démarré par un renseignement qui a atterri chez la section de recherches criminelles…

Météo - Après la pluie, place au beau temps

Publié le lundi, 10 avril 2023
Après une semaine chargée de pluie dans la Capitale et les hautes terres centrales, une accalmie est prévue pour ces trois prochains jours. En effet, la masse nuageuse à l’origine des fortes précipitations est en train de remonter vers le nord-est du pays. Comme on dit, après la pluie, c’est le beau temps.Ainsi, à Analamanga et sa partie nord-est, il ne restera que quelques pluies fines en fin de soirée. Ce retour du beau temps a d’ailleurs été constaté depuis hier au cours duquel les pique-niqueurs du lundi de Pâques ont été ravis si la veille, sortir sous la pluie…
C'est le week-end de Pâques, et quoi de plus beau que la visite de la ville d'eaux pour symboliser la fête. Seulement une ombre plane au tableau. Les frais de transport, notamment en taxi-brousse, a quasiment doublé depuis cette semaine. En effet, de 12.000 ariary, le tarif est actuellement fixé à 20.000 ariary pour les coopératives desservant la ville d'Antsirabe. Ainsi, comme d'habitude, les transporteurs profitent de cette période de rush pour augmenter leur tarif, au grand dam des usagers. Au stationnement« Fasan'ny Karàna », c'est la gabegie totale actuellement.
« On a très peu parlé de l’emploi et de l’économie informelle durant la pandémie de Covid- 19, mais l’arrivée de la délégation ivoirienne a permis de relancer le débat ». Coffi Agossou, directeur du Bureau pays de l’Organisation internationale du travail (OIT) pour Madagascar, s’est exprimé ainsi hier à Ivandry, aux termes du séjour de la délégation ivoirienne dans nos murs. En fait, ces experts venant de la Côte d’Ivoire ont pu partager leurs expériences en la matière aux divers acteurs, dont ceux des ministères concernés ainsi que les partenaires techniques et financiers ou encore les représentants des travailleurs …
Le monde du travail n'a jamais été aussi préoccupant qu'aujourd'hui malgré les efforts et les sensibilisations effectués pour protéger les employés et les enfants. « La situation globale des droits humains se détériore chaque année. Actuellement, on dénombre dans le monde 160 millions d'enfants qui sont déjà dans le milieu du travail », selon l'Organisation des Nations unies (ONU). Ainsi, les enfants sont parmi les premières victimes de cette détérioration des droits humains. Travaillant comme domestiques dans des foyers malagasy, nombre d'entre eux sont victimes de maltraitance en tout genre. Le viol, les coups et blessures, les tortures par brûlure…

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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