Depuis quelques jours, l’enseignement à Madagascar est confronté à une période difficile. Tout d’abord, un jeune collégien du CEG Ratsimilaho, situé à Toamasina, a été tabassé à mort par ses camarades. Et ensuite, il y avait la blessure volontaire d’un enfant de 3 ans et demi dans une école privée de la Capitale, un acte commis par son institutrice. Chaque semaine, l’Office national de l’enseignement privé de Madagascar (ONEP) reçoit au moins une plainte, non seulement à propos de maltraitance d’enfant à l’école, mais également d’autres cas.